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Documents d’accroche : CARTE DES ALEAS ET RISQUES NATURELS MAJEURS Séisme au Japon, le 17 janvier 1995 Séisme à Haïti, le 1 janvier 2010 Magnitude 7,3 7,3 Espace concerné Köbe Port au Prince Nombre de morts 6432 Plus de 210000 Nombre de blessés 43792 Plus de 300000 Manuel Bac Pro.2 nde , Editions Magnard, 2009. D’après les données Le Monde.fr

Documents d’accroche : CARTE DES ALEAS ET RISQUES NATURELS MAJEURS

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Documents d’accroche : CARTE DES ALEAS ET RISQUES NATURELS MAJEURS. Manuel Bac Pro.2 nde , Editions Magnard, 2009. D’après les données Le Monde.fr. Séance 1. LES RISQUES DANS L’AGGLOMERATION CHALONNAISE. Doc.1. LES RISQUES DANS L’AGGLOMERATION CHALONNAISE. Raffinerie du Midi. Bioxal. - PowerPoint PPT Presentation

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Page 1: Documents d’accroche : CARTE DES ALEAS ET RISQUES NATURELS MAJEURS

Documents d’accroche :

CARTE DES ALEAS ET RISQUES NATURELS MAJEURS

Séisme au Japon, le 17 janvier 1995

Séisme à Haïti, le 1 janvier 2010

Magnitude 7,3 7,3

Espace concerné Köbe Port au Prince

Nombre de morts 6432 Plus de 210000

Nombre de blessés 43792 Plus de 300000

Manuel Bac Pro.2nde, Editions Magnard, 2009.

D’après les données Le Monde.fr

Page 2: Documents d’accroche : CARTE DES ALEAS ET RISQUES NATURELS MAJEURS

Séance 1Séance 1

LES RISQUES DANS L’AGGLOMERATION CHALONNAISELES RISQUES DANS L’AGGLOMERATION CHALONNAISE

Page 3: Documents d’accroche : CARTE DES ALEAS ET RISQUES NATURELS MAJEURS

BioxalBioxal

EuroperoxydesEuroperoxydes

Raffinerie du MidiRaffinerie du Midi

LES RISQUES DANS L’AGGLOMERATION CHALONNAISELES RISQUES DANS L’AGGLOMERATION CHALONNAISE

Légende :

Zones inondables

Etablissement industriel à risques, classé SEVESO seuil haut

Limite de commune

Doc.1

Page 4: Documents d’accroche : CARTE DES ALEAS ET RISQUES NATURELS MAJEURS

BioxalBioxal

EuroperoxydesEuroperoxydes

Raffinerie du MidiRaffinerie du Midi

LES RISQUES DANS L’AGGLOMERATION CHALONNAISELES RISQUES DANS L’AGGLOMERATION CHALONNAISE

Légende :

Zones inondables

Etablissement industriel à risques, classé SEVESO seuil haut

Limite de commune

Page 5: Documents d’accroche : CARTE DES ALEAS ET RISQUES NATURELS MAJEURS

BioxalBioxal

EuroperoxydesEuroperoxydes

Raffinerie du MidiRaffinerie du Midi

LES RISQUES DANS L’AGGLOMERATION CHALONNAISELES RISQUES DANS L’AGGLOMERATION CHALONNAISE

Légende :

Zones inondables

Etablissement industriel à risques, classé SEVESO seuil haut

Limite de commune

Page 6: Documents d’accroche : CARTE DES ALEAS ET RISQUES NATURELS MAJEURS

Carte IGN Chalon-sur-Saône, 1:25000Carte IGN Chalon-sur-Saône, 1:25000

Doc.2

Page 7: Documents d’accroche : CARTE DES ALEAS ET RISQUES NATURELS MAJEURS

LES IMPACTS DE L’INONDATION DE 2001LES IMPACTS DE L’INONDATION DE 2001

Environ 80 communes du Val de Saône sont très touchées. 108 communes sur les 234 riveraines de la Saône, ont fait l’objet d’un arrêté de catastrophe naturelle « inondations » pour le mois de mars 2001, 150 sur le bassin de la Saône et plus de 700 en France.

120 personnes ont été évacuées, une vingtaine ont été relogées d’urgence par les mairies. Les pompiers ont effectué une centaine d’interventions par jour. A Mâcon, où les égouts refoulaient dans les rues du centre-ville, 35 commerces sont sinistrés. A Chalon-sur-Saône, Saint Rémy et Mâcon, environ quarante entreprises ont cessé leur activité et mis leurs salariés au chômage technique. En tout, plus de 800 ha de zones artisanales et industrielles ont été submergés. 66 routes départementales sont coupées sur le bassin, 22 axes secondaires dans l’Ain. Cette crue pénalise également l’activité agricole en période de démarrage de la végétation.

Une analyse des sociétés d’assurance sur cette période révèle que les dégâts directs déclarés ont atteint 168 millions d’euros pour les particuliers, « impactant » environ 40 000 logements dont 8 000 pour l’agglomération lyonnaise. Extrapolé aux activités professionnelles, ce bilan pourrait atteindre 280 millions d’euros.

Extrait du bulletin de l’Etablissement Public Territorial du Bassin Saône Doubs, septembre 2007.

Environ 80 communes du Val de Saône sont très touchées. 108 communes sur les 234 riveraines de la Saône, ont fait l’objet d’un arrêté de catastrophe naturelle « inondations » pour le mois de mars 2001, 150 sur le bassin de la Saône et plus de 700 en France.

120 personnes ont été évacuées, une vingtaine ont été relogées d’urgence par les mairies. Les pompiers ont effectué une centaine d’interventions par jour. A Mâcon, où les égouts refoulaient dans les rues du centre-ville, 35 commerces sont sinistrés. A Chalon-sur-Saône, Saint Rémy et Mâcon, environ quarante entreprises ont cessé leur activité et mis leurs salariés au chômage technique. En tout, plus de 800 ha de zones artisanales et industrielles ont été submergés. 66 routes départementales sont coupées sur le bassin, 22 axes secondaires dans l’Ain. Cette crue pénalise également l’activité agricole en période de démarrage de la végétation.

Une analyse des sociétés d’assurance sur cette période révèle que les dégâts directs déclarés ont atteint 168 millions d’euros pour les particuliers, « impactant » environ 40 000 logements dont 8 000 pour l’agglomération lyonnaise. Extrapolé aux activités professionnelles, ce bilan pourrait atteindre 280 millions d’euros.

Extrait du bulletin de l’Etablissement Public Territorial du Bassin Saône Doubs, septembre 2007.

Doc.3

Page 8: Documents d’accroche : CARTE DES ALEAS ET RISQUES NATURELS MAJEURS

La capitale Port-au-Prince, http://lci.tf1.fr/monde/amerique/2010-01/le-monde-se-mobilise-au-chevet-d-haiti-5634932.html

La capitale Port-au-Prince, http://lci.tf1.fr/monde/amerique/2010-01/le-monde-se-mobilise-au-chevet-d-haiti-5634932.html

Inondations de 1993 à Bollène, http://www.ville-bollene.fr/pratique.asp?idpage=16671&id=9981

Inondations de 1993 à Bollène, http://www.ville-bollene.fr/pratique.asp?idpage=16671&id=9981

Page 9: Documents d’accroche : CARTE DES ALEAS ET RISQUES NATURELS MAJEURS

Légende :

Zone très exposée

Zone à risques moindres

Légende :

Zone très exposée

Zone à risques moindres

Doc.4 A

Page 10: Documents d’accroche : CARTE DES ALEAS ET RISQUES NATURELS MAJEURS

Extrait du règlement du PPRI de Chalon-sur-Saône, mars 2003.

Doc.4 B

Page 11: Documents d’accroche : CARTE DES ALEAS ET RISQUES NATURELS MAJEURS

Doc.4 C

Page 12: Documents d’accroche : CARTE DES ALEAS ET RISQUES NATURELS MAJEURS

Doc. 5 :

Inondations : les futurs PPRI risquent de causer des ravages en vertu du principe de précaution

Une centaine d’élus locaux des cantons riverains de la Saône entre Verdun sur le Doubs et Lyon ont assisté lundi à Tournus à une réunion organisée par l’Etat et le Syndicat mixte Saône-Doubs, où devait être rendue publique une étude hydraulique en vue de définir dans le futur les nouveaux périmètres des PPRI (plan de prévention du risque inondation). Le préfet de région Bourgogne, Christian de Lavernée, présent tout comme Michel Lalande, préfet de Saône et Loire, a tout d’abord évoqué les textes qui régissent les PPRI (lois de 1987, 1995 et 2003) en expliquant qu’il était préconisé (ndlr : par l’Etat, sans doute sur pression des assurances) d’aligner ces derniers sur la cote de la crue de 1840. Mais qu’il n’y avait pas péril en la demeure, en quelque sorte, car les arrêtés d’approbation des PPRI ne devraient pas intervenir « avant trois à cinq ans ». Manière de temporiser les choses. Il faut dire que cette cote était jusque là fortement contestée par les élus des communes riveraines de la Saône depuis plusieurs années qu’on en parlait car nombre de leurs projets pouvaient être remis en question voire carrément ruinés. Ce que n’aura pas manqué de rappeler Christophe Sirugue, député-maire de Chalon sur Saône et président du syndicat mixte, qui s’est fait le porte-parole des inquiétudes des élus qui ont été d’un calme exemplaire.« L’application de la cote de 1840 bloquerait tout développement. Les zones urbaines et les zones industrielles existent, il n’est pas possible de les déplacer. La Saône à un cours lent qui laisse du temps à la prévision et à la protection. Il faut prendre en compte ces spécificités » […]L’étude présentée ensuite par les représentants d’Hydratec, une société d’ingénierie spécialisée dans le domaine des milieux aquatiques montrait les cotes d’une crue virtuelle en partant des débits de la crue de 1840. Dans ce cas, la zone inondable serait considérablement étendue par rapport aux derniers plans établis sur la crue centennale de 1955.En conclusion, M .Lalande s’est montré rassurant en soulignant qu’il fallait laisser du temps au temps : « Cette procédure pas banale, nous sommes sur le long cours, elle est importante pour la sécurité économique et sociale. Elle sera conduite selon un principe de solidarité et fera l’objet d’informations partagées. Nous sommes partis sur la démarche de travailler ensemble ».En attendant, les faits prouvent le contraire car un document porté à la connaissance des préfectures, à l’ensemble des communes du bassin rend applicable la cote de 1840 depuis le premier janvier dernier.« La messe est dite », nous a confié l’un des élus présents. Mais ce que ce sont bien gardés de dire les intervenants, c’est que les biens immobiliers (immeubles et terrains) inclus dans la future zone inondable perdront dés lors 30, 40, 50% voire plus, de leur valeur initiale. Sans parler des nouvelles tracasseries auxquels seront confrontés des milliers de propriétaires en cas de travaux, nous a confié l’un des élus présents à la sorte de cette réunion.Selon lui : « une nouvelle preuve encore des dégâts que peut provoquer le sacro-saint principe de précaution… »

Michel Raymond, le Journal de Saône-et-Loire, janvier 2009.

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