10
Le Théâtre Bleu (le T.B.) et la Coopérative artistique Marmouzic J'ai tant aimé ce monde "Derniers mouvements, derniers regards, un rien de souffle encore..." théâtre / musique / arts visuels Création 2013-2014 © Yann Nguema Un spectacle de Christofer Bjurström, Pascal Guin et Yann Nguema D'après un récit de Charles-Ferdinand Ramuz Création jeudi 27 février 2014 à 20h30 à L'Estran, Guidel (56) Contacts : Laurence Hurault Chargée de diffusion du Théâtre Bleu 02 56 50 10 72 [email protected] Gwenaëlle Collignon Chargée de diffusion de Marmouzic 02 98 43 02 06 [email protected] 1 Mise à jour du dossier le 17/02/2014

Création 2013-2014data.over-blog-kiwi.com/0/41/36/48/20140620/ob_b07c38_j...système de tracking avec une caméra suspendue pour récupérer le mouvement des acteurs afin de développer

  • Upload
    others

  • View
    0

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: Création 2013-2014data.over-blog-kiwi.com/0/41/36/48/20140620/ob_b07c38_j...système de tracking avec une caméra suspendue pour récupérer le mouvement des acteurs afin de développer

Le Théâtre Bleu (le T.B.) et la Coopérative artistique Marmouzic

J'ai tant aimé ce monde"Derniers mouvements, derniers regards, un rien de souffle encore..."

théâtre / musique / arts visuelsCréation 2013-2014

© Yann Nguema

Un spectacle de Christofer Bjurström, Pascal Guin et Yann NguemaD'après un récit de Charles-Ferdinand Ramuz

Création jeudi 27 février 2014 à 20h30 à L'Estran, Guidel (56)

Contacts :Laurence Hurault

Chargée de diffusion du Théâtre Bleu02 56 50 10 72

[email protected]

Gwenaëlle CollignonChargée de diffusion de Marmouzic

02 98 43 02 [email protected]

1

Mise à jour du dossierle 17/02/2014

Page 2: Création 2013-2014data.over-blog-kiwi.com/0/41/36/48/20140620/ob_b07c38_j...système de tracking avec une caméra suspendue pour récupérer le mouvement des acteurs afin de développer

La création en une page

Un pas de côté... juste avant la fin

Le sujet du spectacle est bien la fin, rapide et brutale, du monde. Le soleil se rapproche dangereusement de la Terre, le monde des humains se crevasse peu à peu, se fêle avant de s'effacer. La singularité du spectacle et la subtilité de Ramuz résident dans le regard poétique porté sur ce monde en disparition. Ces derniers instants comptés du monde révèlent l'urgence de célébrer sa beauté et sa sensualité.

Une forme croisée au service des sens

Sur scène, une grande table ronde, légèrement inclinée et recouverte de sable, le laisse s'écouler, inéluctablement. Sur ces vallons de sable, des paysages, des villes naissent et s'effacent sous les gestes des comédiens et des musiciens. Un univers mystérieux nous happe et nous entraîne dans cette forme de poésie insolite, où les voix, les couleurs et les sons se répondent. De subtiles "correspondances" qui réveillent nos sens et nous invitent à "voir autrement".

4 artistes sur scène pour un témoignage à plusieurs voix

Une comédienne, une musicienne, un comédien, un musicien ; à eux quatre, ils figent ces brefs instants, intimes ou partagés, que Ramuz a rassemblés dans son roman. Plutôt que de nous raconter l'histoire linéraire d'un héros, il y recueille de fines touches d'humanité, des tableaux impressionnistes qui, ensemble, transposent la fin du monde en une partition polyphonique.

Sur scène :Pascal Guin metteur en scène et comédien Diane Kulenkamp comédienneChristofer Bjurström compositeur et pianiste Agnès Vesterman violoncelliste

Création visuelle et numérique : Yann Nguema

Coproducteurs :Scènes Vosges, Epinal (88) / L'Estran, Guidel (56)

La Lucarne, Arradon (56)/ Pôle Sud, Chartres-de-Bretagne (35)

Spectacle à partir de 14 ansDurée : 1h40

2

Page 3: Création 2013-2014data.over-blog-kiwi.com/0/41/36/48/20140620/ob_b07c38_j...système de tracking avec une caméra suspendue pour récupérer le mouvement des acteurs afin de développer

Sommaire

I. Quelques images 4

II. Le texte et le théâtre 5Une symphonie en trois mouvements

III. La musique 6Au rythme d'inspirations et bouffées passionnées

IV. Les arts visuels 7Entre images projetées et images réelles

V. L'équipe 8Une rencontre humaine et artistique

VI. Une coproduction entre deux structures bretonnes 9

VII. Informations pratiques 10

3

Page 4: Création 2013-2014data.over-blog-kiwi.com/0/41/36/48/20140620/ob_b07c38_j...système de tracking avec une caméra suspendue pour récupérer le mouvement des acteurs afin de développer

I. Quelques imagesPhotos de la résidence

à Epinal (88)Octobre 2013

4

Page 5: Création 2013-2014data.over-blog-kiwi.com/0/41/36/48/20140620/ob_b07c38_j...système de tracking avec une caméra suspendue pour récupérer le mouvement des acteurs afin de développer

II. Le texte et le théâtre : une symphonie en trois mouvementsPar Pascal Guin

Premier mouvement : incrédulitéLes grands titres des journaux annoncent la fin prochaine du monde car la Terre se rapproche rapidement du soleil. Et dans ce roman qui bouscule les codes du roman, dans cette écriture chorale et ce florilège impressionniste, démarre le premier mouvement, celui de l’impossible prise de conscience, puis de la peur qui peu à peu s’amplifie. Et pourtant… « Oui, c’est vrai, il fait chaud, mais c’est beau ! […] Le bleu du ciel est devenu plus bleu, si c’est possible. » Comment concevoir l’inconcevable ?

Deuxième mouvement : réactionsTantôt allegro furioso, tantôt andante, les réactions se déchaînent. D’un côté on suit la révolte qui devient révolution urbaine, avec son lot de folie collective, joyeuse ou brutale. Et puis d’un autre côté, des scènes plus intimistes, sereines malgré l’urgence à vivre. Ainsi, le dîner des amants, entre fusion et séparation impossibles. On comprend alors pourquoi Zweig reconnaissait à Ramuz «le don de rendre la simplicité sublime et le sublime simple», et pourquoi Céline et Claudel ont été parmi les premiers à saluer son style.

Troisième mouvement : exodeTentation de l’altitude, tentatives de survie, sauve-qui-peut des uns, des autres. Il n’y a aucune issue à aucun point cardinal. «On finissait par voir que c’était rond. La terre est ronde. On était prisonniers. Prisonniers de ce qui est rond». Il y a ce vieux vannier avec ses paniers qui se dit qu’il ira jusqu’au bout : «jusqu’au tout dernier moment, tant que tu pourras ; tant qu’un petit reste de souffle te sera accordé, un rien de souffle encore… ». Et la dernière image de l’aviateur qui cherche à percer « l’écorce du brouillard » de chaleur mais qui, brûlé au fer rouge par le soleil, retombera dans l’eau du lac, comme le dernier Icare.

Une quêteEt pourtant…Dans cette chronique d’une fin annoncée, revient toujours cette quête incessante de beauté. Dire les beautés du monde, même à ses tout derniers feux. Parmi la mosaïque de tableaux et de personnages, on retrouve la figure récurrente de l’écrivain, qui cherche à nommer les choses au plus juste et qui dans son souci de réalisme devient un génial impressionniste. Mieux. A tant aiguiser son regard, il s’affranchit d’elles, il en devient non plus un copiste mais un créateur : « J’ai le son, le mot, la couleur. J’ai les lignes, j’ai des surfaces ; je mets en place, je fais tenir droit, je fais s’élever, je fais agir, je fais cesser d’agir, comme je veux. ». Parce qu’en lui, il y a cet amour du monde : « J’ai trop aimé le monde. A présent qu’il va s’en aller. Je l’ai aimé tout entier, malgré lui.»

La mise en scène : une conjugaisonSur le plateau, quatre êtres. Quatre parcelles d’humanité. Chacune et chacun, à sa manière, avec sa voix et son corps, est une parcelle inséparable de l’autre dans cette évocation chorale. Il n’est pas impossible que les musiciens soient ainsi identifiés à certains moments comme des personnages du récit. Et la comédienne et le comédien ont en alternance un double statut, de narrateur et de personnage, voire même de façonneurs de sillons dans le sable, de manipulateurs d’objets et de supports de diffusion pour certaines images. Les deux volumes les plus imposants et inamovibles – le piano et la table de sable – sont, de même que le tissu vertical, animés par les images de Yann, de façon à renforcer chez le spectateur cette sensation d’immersion que nous voulons lui donner. Des îlots de lumière éphémères permettent d’autres circulations, en fond ou à cour. Nous suggérons ainsi cette « totalité fractionnée » présente dans le texte source, cet élan vers l’universel fait de fragments de particuliers.

5

Page 6: Création 2013-2014data.over-blog-kiwi.com/0/41/36/48/20140620/ob_b07c38_j...système de tracking avec une caméra suspendue pour récupérer le mouvement des acteurs afin de développer

III. La musique : au rythme d'inspirations et bouffées passionnées

Un spectacle musical sur une composition de Christofer BjurströmC'est Christofer Bjurström qui signe la composition de la musique du spectacle. Sa forte expérience en composition de musique de scène est ici mise au service du texte de Ramuz. Bien que ce spectacle intègre une partie visuelle, il ne s'agit en aucun cas de s'approcher du dispositif de ciné-concert, dont Christofer Bjurström est un habitué. Plus proche de sa création musicale dans Novecento : pianiste il s'agit bien ici aussi de mêler les notes aux mots, d'intégrer la musique au théâtre. Comme le texte et les images, la musique participe à l'immersion totale du spectateur.

Une respiration musicale, entre inspirations et bouffées passionnéesL'ambivalence de la situation cataclysmique et des sentiments portés par les personnages oriente également l'univers musical du spectacle. Dans J'ai tant aimé ce monde, la musique de Christofer Bjurström suit un parcours entre ligne épurée et secousses telluriques. La situation d'urgence, de violence et de dégradation côtoie le quotidien tranquille et la beauté du monde. Les polyrythmies et les élans de violence musicale s'opposent au lyrisme sensuel, au temps suspendu.

Le duo piano violoncelle porte le chant du Monde, cette recherche d'immobilité et de suspension dans l'air, cette émotion fondamentale. Mais ce duo peut aussi se faire violent par moments, il est aussi confronté à son reflet déformé et maltraité.

Musique acoustique et musique enregistrée : un dialogue fantomatiqueDans ce spectacle, la création d'une bande sonore diffusée par moments s'ajoute à l'interprétation des musiciens sur scène. La composition musicale de Christofer Bjurström allie la spontanéité et la vivacité de la musique acoustique, en direct sur scène, à l'éloignement et la déformation de la musique enregistrée. Les partitions pré-enregistrées, mêlant voix et instruments, dialoguent, remplacent par moment les musiciens et les comédiens sur scène.

La partition musicale intègre ainsi le duo acoustique piano-violoncelle, dans la coloration de musique presque de chambre, contemporaine et épurée, en y confrontant des traitements électroacoustiques, des voix enregistrées, et d'autres instruments enregistrés. Sur scène, les musiciens dialoguent avec d'autres musiciens désincarnés ou fantômes.

6

Page 7: Création 2013-2014data.over-blog-kiwi.com/0/41/36/48/20140620/ob_b07c38_j...système de tracking avec une caméra suspendue pour récupérer le mouvement des acteurs afin de développer

IV. Les arts visuels : entre images projetées et images réellesPar Yann Nguema

La scénographie principale repose sur la transformation du support de projection pour matérialiser le passage du temps.

Les images projetées> Sur du sable : Son écoulement sous la table rappelle celui d’un sablier. Cette maquette malléable, faisant allusion aux paysages du récit, fait à la fois fonction d’écran et d’objet décoratif et narratif. La table et sa périphérie sont augmentées par un système de tracking avec une caméra suspendue pour récupérer le mouvement des acteurs afin de développer des scénarios interactifs dans l’utilisation des projections. > Sur un tulle de fond de scène : sombre et de 6 mètres par 4,5, utilisé à la fois comme support de projection et comme écran d'ombre .> Sur le couvercle du piano à queue > Sur des supports nomades : les acteurs et les objets.

Les images réellesLes images réelles sont celles obtenues sans l’utilisation de vidéoprojecteur. Elles se créent réellement et physiquement sur scène grâce aux éléments de décor, et à l’éclairage. Elles se feront autour du sable et des ombres.

L'interactivitéL’ensemble du logiciel est créé spécifiquement pour les besoins du spectacle. L’image est fabriquée en temps réel et a un fort potentiel interactif contrairement aux flux vidéos enregistrés standards.

7

Page 8: Création 2013-2014data.over-blog-kiwi.com/0/41/36/48/20140620/ob_b07c38_j...système de tracking avec une caméra suspendue pour récupérer le mouvement des acteurs afin de développer

V. L'équipe : une rencontre humaine et artistique

Christofer Bjurström porte depuis longtemps ce texte de Ramuz. Il l'offre à Pascal Guin, rencontré sur la création et la tournée du récit-jazz Novecento : pianiste de Baricco (60 dates entre 2010 et 2013). L'écriture très picturale de Ramuz les amène à imaginer un spectacle articulant image, mots et musique. La rencontre avec Yann Nguema les a confortés dans la volonté d’écrire un spectacle poétique. La question des rythmes et des variations sur l’ensemble du spectacle a rendu indispensable la présence d'Agnès Vesterman et de Diane Kulenkamp .

Pascal Guin. Comédien, il a touché à des rôles riches et variés : du seul–en–scène (Maupassant, Y. Rivais) à la commedia dell’arte (Gozzi), aux drames et comédies du répertoire (Shakespeare, Molière, Claudel, Marlowe), de la comédie contemporaine (G. Costaz, Tardieu), aux drames (Baricco, Koltès, C. Demarigny, Anouilh). En tant que metteur en scène, il a abordé des genres différents : le jeune public, l’opéra pour enfants, des créations contemporaines. Ses recherches s’orientent de plus en plus vers un dialogue entre des formes artistiques croisées, comme entre musique et texte avec Christofer Bjurström.

Pianiste compositeur et improvisateur, Christofer Bjurström a tout d’abord suivi des études de piano classique et de musique de chambre avant de bifurquer vers de multiples formes musicales : pop, musiques traditionnelles, jazz, musique contemporaine, acoustique et électronique, et de prendre plaisir à ces explorations et rencontres éclectiques. Depuis plus de quinze ans, il travaille à la fois sur la musique pure et sur le lien entre le spectacle et la musique vivante, en composant pour le théâtre et le cinéma, plus particulièrement pour le cinéma muet en ciné-concert.

Yann Nguema travaille l'image et la musique depuis une vingtaine d'années au sein du groupe EZ3kiel. L’imbrication des univers sonores et visuels s’impose très tôt comme une évidence et c’est en cultivant ces deux mondes en parallèle que l’esthétique singulière de l’artiste trouve peu à peu sa cohérence. Côté musique, il passe de la guitare basse à la programmation et à la composition, côté graphisme, de l’image fixe à la vidéo, puis du travail de la lumière au multimédia, des images interactives aux installations.

Comédienne, Diane Kulenkamp a suivi diverses formations comme la formation théâtrale à l’Atelier International de Blanche Salant et Paul Weaver ou sur le travail du corps et du mouvement, stage avec Jean-Louis Sasportès et Frédéric Ruymen. Elle a joué entre autres avec les Tréteaux de France, le Théâtre Talipot et dans « Le Baiser de la Veuve » d’Israël Horovitz, mise en scène Anne Degrémont, Théâtre de Nesle, 2001. Elle a également participé à des tournages et a travaillé comme assistante de mise en scène par exemple pour « L’humanité sans la tête » pièce de théâtre de François Chaffin, mise en scène de Gersende Michel, 2007.

A la croisée des musiques classiques, contemporaines et improvisées, la violoncelliste Agnès Vesterman trace un chemin original façonné par les rencontres qui jalonnent sa route. Après avoir été la violoncelliste du Quatuor Arpeggione pendant treize années, d'autres affinités électives l'ont amené vers la création et l'improvisation. Ainsi elle crée plusieurs spectacles avec son complice poète-comédien Vincent Vedovelli, s'associe avec des peintres, danseurs, sculpteurs ; elle est la violoncelliste du quatuor de musiques improvisées de Christofer Bjurström et a enregistré pour le label ECM avec l'altiste Garth Knox et la violoncelliste Anja

Lechner. Fidèle cependant au répertoire classique, elle explore les sonates pour violoncelle et piano avec le pianiste Jean-François Bouvery. Agnès Vesterman est professeur au CRR de Boulogne-Billancourt et au CNSMDP.

8

Page 9: Création 2013-2014data.over-blog-kiwi.com/0/41/36/48/20140620/ob_b07c38_j...système de tracking avec une caméra suspendue pour récupérer le mouvement des acteurs afin de développer

VI. Une coproduction entre deux structures bretonnes

Le Théâtre Bleu (Le T.B.), basé à Moëlan/Mer (29), s’attache à développer un travail de proximité.

Ses actions se traduisent sous de multiples formes : interventions ponctuelles, stages, lectures publiques, ateliers de recherche et de création, direction d’acteurs pour des courts métrages, interprétations, mises en scène, créations de spectacles vivants, tournées, happenings, réalisations d’échanges culturels franco-américains (Pittsburgh - Pennsylvanie - USA) ou européens (projet Grundtvig).

Les registres abordés par la compagnie peuvent aussi bien aller du burlesque au poétique que du poétique au dramatique : Lever de rideau, Novecento :pianiste, de Baricco, et Résonances, sur des nouvelles de Laurent Gaudé.

Direction artistique : Pascal Guin. Le Théâtre Bleu mutualise ses postes administratifs au sein du Groupement d’employeurs Les Gesticulteurs

Administratrice de production : Catherine VadureauChargée de diffusion : Laurence Hurault.

Site internet : www.le-theatre-bleu.com

Marmouzic, Coopérative Artistique de Création brestoise, créée en 1999, à l’initiative de Christofer Bjurström, Catherine Le Flochmoan et Christophe Rocher est un rassemblement d'artistes autour de quatre forces créatives :

- Catherine Le Flochmoan / Comédienne-metteuse en scène- Christophe Rocher / Clarinettiste-compositeur- Christofer Bjurström / Pianiste-compositeur- Nautilis / Orchestre de jazz contemporain

La coopérative est portée par 2 salariées (Bénédicte Abélard, chargée de production, administratrice, et Gwenaëlle Collignon, chargée de diffusion et de médiation culturelle) et organise son activité autour de 3 axes d'activité :- la création et diffusion de spectacles- l'action culturelle auprès des publics- la production de disques

Elle porte des projets artistiques qui relèvent des secteurs musical (concerts, disques), théâtral (spectacles jeune public, cabaret-théâtre) et cinématographique (ciné-concerts et BD concerts), produit des spectacles et mène des actions auprès du Jeune Public, et du Tout Public, ainsi que de la pratique amateur musicale et théâtrale.

Site internet : www.marmouzic.org

9

Page 10: Création 2013-2014data.over-blog-kiwi.com/0/41/36/48/20140620/ob_b07c38_j...système de tracking avec une caméra suspendue pour récupérer le mouvement des acteurs afin de développer

VII. Informations pratiques

L'équipe administrative

Le Théâtre BleuCatherine Vadureau

Administratrice de production

Laurence Hurault Chargée de diffusion

Chez les Gesticulteurs7 rue Saint-Conwoïon 35600 REDON

02 30 96 12 [email protected]

www.le-theatre-bleu.com

MarmouzicBénédicte Abélard

Administratrice de production

Gwenaëlle CollignonChargée de diffusion

6 rue Guy Ropartz29200 Brest

02 98 43 02 [email protected]

www.marmouzic.org

Représentations 2014– le 27 février à L'Estran, Guidel (56)– les 25 et 26 mars à Scènes Vosges, Epinal (88)– le 7 novembre à Pôle Sud, Chartres-de-Bretagne (35)– le 21 novembre aux Herbiers (85)– le 28 novembre à La Lucarne, Arradon (56)– le 29 novembre à L'Etincelle, Rosporden (29)

Musiciens enregistrés : Christofer Bjurström, Maïlys Bjurström, Pascal Guin, Diane Kulenkamp, Elise Kusmeruck, Jean-Denis Moreau, Ronan Robert, Christophe Rocher, Agnès Vesterman

Regards extérieurs : Jean-Luc Moisson, Brigitte Trémelot et Denis Madeleine de la Cie de danse Pied en Sol et Catherine Le Flochmoan.

Décors : Michel Fagon

10