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La Rue est à Amiens / Fête dans la Ville – du 17 au 19 juin 2016 – Dossier de presse Page 1

DOSSIER DE PRESSE

Contact presse : Cyrielle Duramé

[email protected] 03 22 35 40 47


Sommaire

Présentation de la 39ème édition …………………………………………………….

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En préalable au festival …………………………………………………………………. The RedBall Project – Kurt Perschke

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Les temps forts …………………………………………………….………………………… Les roues de Couleurs Technoprocession – Compagnie OFF La Rue des Clowns – Charivari Compagnie Théâtre Vivant Azalaï, parade extraordinaire – Collectif Eclats de Lune et Cie Graines de Soleil La parade des Oiseaux

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Ça bouillonne à Saint-‐Leu ! …………………………………………………………….

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Les compagnies de A à Z ………………………………………………………………… Les Mari(e)s – CaBaret GraBuge Despoot – Cie Mobil Douter de mes propres appuis – Collectif La Méandre POLIS / Opus 1 : les paradis artificiels – Compagnie Akté Formule I-‐Bride -‐ Compagnie Equinoctis La chanson d’un gâs qu’a mal tourné – Compagnie Issue de Secours Feux follets pour poésie – Dwaallicht Nous sommes – Jeanne Simone Les Bibitflyers – Kudsak La Cabine Défoule Défile -‐ La Bande Passante Zarazarao – La compagnie Zolobé Corps Accord – Les Tatas Les souffleurs de vers et Hervé Hyacinthe – Lignes d’écritures Tourista – The Company Deracinemoa and Joanna Bassi Leaving Normal – Woest

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La Place des Arts Forains ……………………………………………………………….. Le Carrousel Marin – Ca Tourne ! Le Manège Salé – Cie El Kerfi The Wild West – De Stijle, Want … Mon Truc – Hervé Germain Art Tout Chaud L’Auto Studio – L’œil du Baobab La Taverne de l’Ogre Rouge – Lézard Décadent Cinéma Roulotte – Pikz Palace La Grande Boîte – Stefaan De Winter

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Place au Cirque ……………………………………………………………………………… WillyGoodWood – Compagnie BAM Sans Arrêt -‐ El Nucléo Ariadna Betty Fraisse Ivan Radev

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L’Ecole du Cirque Jules Verne ………………………………………………………… Focus Irlandais ……………………………………………………………………………….

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Arts Visuels …………………………………………………….……………………………… Figures de Rues – Emilie Pillot

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La BRIQUET’ s’en mêle ……………………………………………………………………

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Contact et partenaires …………………………………………………………………… Page 32


Présentation de la 39ème édition Principal festival des arts de la rue du nord de la France, La Rue est à Amiens vous donne rendez-‐vous depuis maintenant 39 ans, le troisième week-‐end du mois de juin, pour célébrer les arts vivants en espace public. Spectacles, performances et installations transformeront les rues et les places de la ville avec des propositions allant du théâtre de rue au théâtre forain, de la danse au cirque, des arts plastiques au street-‐art. Un programme international avec plus de 40 compagnies et collectifs ! Cette 39e édition débutera de façon inhabituelle avec trois propositions en préalable. Dès le lundi 13 juin, les rues d’Amiens seront habitées par la RedBall Project, étonnante installation sculpturale de l’artiste américain Kurt Perschke. A partir du mardi 14, la photographe Emilie Pillot réalisera une installation en forme de jeu de piste dans les rues du quartier historique de Saint-‐Leu et à partir du mercredi 15, Camilo et Stéphane, de Charivari Compagnie Théâtre Vivant, s’inviteront également dans les rues de ce même quartier avec des interventions clownesques incongrues et joyeuses. Du vendredi 17 au dimanche 19 juin, le festival atteindra sa vitesse de croisière, dans le quartier Saint-‐Leu – Cathédrale, le centre-‐ville et sur les espaces extérieurs du Cirque Jules Verne, avec plus de quarante compagnies et collectifs de divers d’horizons (Madagascar, Maroc, Colombie, USA, Belgique, Pays-‐Bas, Espagne, Irlande... et France) pour une édition internationale, haute en couleurs et en surprises. Quinze nouvelles créations seront ainsi présentées. Comme les années précédentes, le festival s’invitera pendant deux jours dans un quartier de la ville. Cette année, c’est le plus ancien quartier de la ville, Saint-‐Leu, qui sera mis à l’honneur. En effet, depuis maintenant 9 ans, La Rue est à Amiens / Fête dans la Ville décentralise une partie de ses actions et de sa programmation afin de réaliser un temps fort artistique dans un quartier d’Amiens. Des compagnies professionnelles des arts de la rue seront invitées à rencontrer des habitants, des associations ou encore des écoles pour créer ensemble une journée festive autour des arts de la rue. Le public pourra ainsi découvrir une création spécifique créée avec les habitants du quartier : La Rue des Clowns de la compagnie franco-‐colombienne Charivari Compagnie Théâtre Vivant. Cette « création par infusion », proposition atypique entre art et lien social, ainsi que la programmation proposée sur le quartier, résulte de notre volonté permanente de soutenir et de développer des interactions entre les territoires, les habitants et l’art, d’innover et de mettre en œuvre des expériences nouvelles et singulières pour les populations. C’est dans ce même esprit que nous avons également le plaisir de présenter plusieurs autres créations spécifiques (Le Banquet de Saint-‐Leu, L'Atelier Karaoké de Saint-‐Leu, La Chorale Rock, Veilleuses -‐ L'arbre à gargouilles, Le Ciné-‐concert Crin Blanc) portées depuis plus d’un an par la Maison du Théâtre et les autres structures culturelles du quartier.


Le samedi et le dimanche, le festival se déroulera comme à l’accoutumée en centre-‐ville et sur la place Longueville devant le Cirque Jules Verne et dans ses jardins. En centre-‐ville, une vingtaine de spectacles des arts de la rue seront présentés dont plusieurs nouvelles créations tandis que Place au Cirque présentera des compagnies et artistes de cirque confirmés mais également des jeunes talents issus de l’Ecole du Cirque Jules Verne. Un focus international sur les artistes circassiens émergents irlandais et malgaches sera également mis à l’honneur. Après avoir sillonné différents quartiers de la ville depuis maintenant 6 ans, La Parade des Oiseaux (défilé populaire où se rencontrent des enfants des centres de loisirs de la ville, des associations, des groupes musicaux) proposera en centre-‐ville sa dernière « Grande Parade » avec un final aérien sous la verrière de la gare, réalisé par Nordine Allal (directeur de l’Ecole du Cirque Jules Verne) et son équipe, sur le thème des Oiseaux, texte d’Aristophane. Devant le Cirque Jules Verne, afin de redonner à la place Longueville son ambiance et son identité originelle de champ de foire du XIXème siècle, le rendez-‐vous est donné, pour la 5ème année consécutive, sur La Place des Arts Forains avec ses bonimenteurs, ses bateleurs et leurs entresorts déroutants, absurdes et loufoques. Le temps fort du samedi soir sera lancé par la Compagnie Off avec ses Roues de couleurs, technoprocession impétueuse et frénétique, qui traversera le cœur de la ville, du quartier Saint-‐Leu au Cirque Jules Verne. Du coté institutionnel, il est à noter que le festival La Rue est à Amiens a rejoint en 2015 le dispositif Auteurs d’espaces de la SACD (Société des Auteurs Compositeurs Dramatiques). Ce dispositif, créé il y a 11 ans par la SACD, a pour objectif, en partenariat avec un collectif de festivals (Chalon dans la rue, Le Festival International de Théâtre de Rue d’Aurillac et pour les années 2015 et 2016 La Rue est à Amiens / Fête dans la ville), de présenter une sélection de spectacles d’auteurs « arts de la rue », textuels ou non textuels, fixes ou déambulants dont l’écriture spécifique se distingue du théâtre dans la rue. Dans ce cadre nous présenterons les nouvelles créations des compagnies Jeanne Simone, Akté et du Collectif la Méandre. Et rendez-‐vous l’année prochaine pour une édition très spéciale... les 40 ans du festival !

Philippe Macret Directeur du Hangar – Centre Régional des Arts de la Rue


En préalable au festival

The RedBall Project KURT PERSCHKE (USA) Du lundi 13 au dimanche 19 juin, en centre-‐ville et quartier Saint-‐Leu

La RedBall de l’artiste new-‐yorkais Kurt Perschke a fait le tour du monde. De ville en ville, de quartier en quartier, ce ballon de cinq mètres de diamètre trouve sa place dans les interstices de la ville, dialogue avec l’architecture, les vides, les volumes, se compressant volontiers entre deux surfaces. Pendant une semaine, on la verra apparaître puis disparaître, comme un jouet à l’échelle de la ville, distillant des touches de couleur sur la

toile urbaine. A la fois installation éphémère, sculpture chromatique, clin d’œil à l’environnement et au paysage, la Redball est une invitation au jeu, à suivre son parcours, à saisir un cliché ... La ville est le support même de la création de RedBall : dans chaque ville, une histoire différente se raconte. La RedBall de Kurt Perschke va s’installer pendant une semaine à Amiens, du 13 au 19 juin, à l’occasion du festival La Rue est à Amiens. Cette création pour l’espace public, va ainsi s’inviter pendant sept jours, dans sept lieux différents de la ville qui vont se trouver transformés par l’irruption volontaire de cette énorme boule en vinyle rouge de cinq mètres de diamètre... comme un énorme nez de clown s’immisçant dans notre quotidien urbain. Né à Chicago, le plasticien Kurt Perschke vit et travaille actuellement à New-‐York. Sculpteur, vidéaste et graphiste (collage), il est surtout connu à travers le monde pour son RedBall Project lancé en 2001 à New-‐York et qui a, depuis, traversé les grandes villes des continents (Amérique, Asie, Europe…) et a été couronné par le National Award du prix Americans for the Arts Public Art Network. Outre cette reconnaissance médiatique, ses œuvres ont été exposées au Musée d’Art Contemporain de Barcelone (Espagne), au Musée Technique de Vienne (Autriche) et au Musée d’Art Contemporain de St-‐Louis (Etats-‐Unis). Son travail de vidéaste a été exposé en Europe et aux Etats-‐Unis, notamment au Musée du Bronx (New York).

© Kurt Perschke

© Kurt P

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© Kurt Perschke


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Kurt Perschke

www.redballproject.com N.B : Un dossier de presse spécifique au RedBall Project est disponible sur demande

auprès de Cyrielle Duramé – [email protected] – 03 22 35 40 47

© Brit Worgan

À travers le projet RedBall, je saisis l’opportunité en tant qu’artiste de créer de nouvelles rencontres au quotidien. La nature magnétique et charismatique de la RedBall permet au travail d’accéder à l’imagination intégrée en chacun de nous. L’expérience semble axer la balle elle-‐même comme objet, mais le vrai pouvoir du projet est ce qu’il peut créer auprès du public. Quand la RedBall voyage autour du monde, les gens m’approchent avec des suggestions intéressantes quant à où mettre la RedBall dans leur ville. A ce moment précis, la personne n’est plus un spectateur, mais devient un participant dans l’acte d’imagination. Cette invitation à imaginer collectivement est la véritable essence du projet RedBall. Globalement, le projet est de savoir comment chaque ville répond à cette invitation et, au fil du temps, de voir ce que l’histoire révèle sur notre imagination individuelle et culturelle.


Les temps forts

Les Roues de Couleurs -‐ Technoprocession COMPAGNIE OFF (Fr) Samedi 18 juin, quartier Saint-‐Leu et centre-‐ville Les Roues de Couleurs ont traversé les cinq déserts des cinq continents. Dans l’effort, les hommes sont devenus de glaise, accumulant sueur et poussière à chaque étape de leur périple. Les roues avancent, virevoltent, impétueuses, manœuvrées par des hommes vêtus de lunettes jaunes intégrales. Autour de ces « ailes » de l’affranchissement s’agitent des technocrates prolongés de valises. Emballement contrôlé de ces technostructures, vie affairée pour une tourmente radieuse. Ces ovnis roulants, guidés par le balisage de la piste, convergent vers le point central pour s’y accoupler et composer ainsi une étonnante machinerie formée de roues, rouages, pignons et autres mouvements en rotation. Machine volante aux couleurs de l’arc-‐en-‐ciel, aux allures d’un engrenage géant de boîte de vitesse. Montgolfière captive qui s'élève mais ne s'envole pas, un chapiteau multicolore en partance, une toile peinte dans la nuit, une déchirure, un cri. Ces roues de couleurs, menées par des guides improbables, prennent le pas sur l’herbe ou sur le bitume. Elles roulent indéfiniment, indifférentes. Les roues entraînent le monde dans leur course frénétique et exaspèrent les hommes de terre aux lunettes jaunes censés les maîtriser. Ces technocrates sont à la fois puissants de tant de force exprimée et impuissants devant la déroute des roues. La procession tourne à l’épreuve cardiaque sous forme de course musicale ; et cette course folle, c’est la vie. Fondée par Philippe Freslon en 1986 à Tours, la Compagnie Off a débuté par des créations de petites formes en extérieur. Elle s’est étoffée au fil des ans en affirmant une recherche artistique fondée sur des thèmes universels mis en fiction et sur la scénographie vivante de lieux originaux. Théâtre de lieux et de liens, la composante urbaine et humaine est au cœur de ses réalisations. En constante adaptation aux contextes, aux lieux et aux publics, les créations du répertoire alternent avec les performances sur-‐mesure, écrites en étroite relation avec l’espace de représentation. Allant des déambulations carnavalesques aux expérimentations contemporaines dans les lieux atypiques, la Compagnie Off offre un débordement poétique urbain et se fixe en permanence un cadre universel et intemporel, pour mieux pouvoir s’en échapper. www.compagnieoff.org

© Deven

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La Rue des Clowns CHARIVARI COMPAGNIE THEATRE VIVANT (Fr -‐ Colombie) Du mercredi 15 au samedi 18 juin au quartier Saint-‐Leu Dimanche 19 juin au marché sur l’eau – place Parmentier Une création spécifique et participative pour le quartier Saint-‐Leu d’Amiens. Pour l’édition 2016 de La Rue est à Amiens, nous avons invité Charivari Compagnie Théâtre Vivant à venir réaliser son concept de La Rue des Clowns pour le quartier Saint-‐Leu. Par une série d'interventions publiques et d’actions clownesques, les artistes impliqueront les habitants dans des situations décalées et burlesques, basées sur le quotidien de la vie de ce quartier. Le concept de La Rue des Clowns En utilisant un jeu basé sur le décalage, l’incongruité, le contrepoint et l’improbabilité, Stephanos et Clamyo prétendent créer un langage qui interroge, surprend et amuse. Interpellant les passants, ils parviennent à faire fleurir des réactions, des contacts, des échanges et des émotions, là où personne ne les attend. Le quartier Saint-‐Leu et ses artères de connexion seront leur théâtre d’intervention : chants, pleurs, danses, mimes, musiques, arrêts, ralentis, nettoyage du mobilier urbain, inaugurations de statues, création d’objets, supports de libre expression, mise en scène des traversées de chaussées, contrôles de l’invisible, seront les moyens d’action pour chasser la monotonie et la rengaine du quotidien. Charivari Compagnie Théâtre Vivant (basée à Rive-‐de-‐Gier dans le département de la Loire) est composée de Camilo Acosta Mendoza (sorti de la promotion FAIAR 2015) et de Stéphane Decourchelle. Depuis quatre ans, tous deux cultivent une relation bipolaire dans laquelle se croisent les énergies du Clown Blanc et de l'Auguste. Leur travail s’inscrit dans une recherche de personnages comiques, entre performers et clowns, en quête de leur humanité… et de celle des autres (passants, habitants, usagers de la ville).

www.ruedesclownsamiens2016.wordpress.com / www.clownderue.wordpress.com

© Charivari Compagnie Théâtre Vivant


Azalaï, Parade Extraordinaire COLLECTIF ECLATS DE LUNE (Maroc) et CIE GRAINES DE SOLEIL (Fr) Vendredi 17 et samedi 18 juin au quartier Saint-‐Leu Dimanche 19 juin en centre-‐ville Aïcha Quandisha, la femme libre, fondatrice de Marrakech, ouvre le chemin à une caravane nomade d’aujourd’hui venue de l’autre rive de la Méditerranée. Azalaï, Parade extraordinaire se compose de marionnettes géantes accompagnées d’acrobates et de musiciens rassemblés autour d’un étonnant dromadaire. Vieillards aux visages chargés de plusieurs vies et personnages mythiques issus d’une mémoire collective côtoient ainsi des circassiens pour tisser ensemble les contours de cette déambulation. Le collectif Eclats de Lune et la Cie Graines de Soleil offrent ainsi un regard neuf sur la création marocaine en espace public et proposent un moment rare d’innocence, de poésie et d’échange. Le Collectif Eclats de Lune est né en 2005 de la rencontre d’artistes et d’opérateurs culturels français et marocains, désireux d’associer leur énergie pour diffuser l’art là où on ne l’attend plus et pour irriguer la création contemporaine marocaine et africaine. Eclats de Lune produit des spectacles, organise des formations et accompagne des projets culturels ruraux. En 2007, est né à Marrakech le projet qui réunit l’ensemble de cette démarche : le festival Awaln’Art -‐ Rencontres Artistiques Internationales en Places Publiques, dont le Pôle National Cirque et Arts de la Rue d’Amiens est partenaire. © Joël Verhoustraeten


Parade des Oiseaux Une parade colorée et musicale avec les centres de loisirs de la ville d’Amiens. Dimanche 19 juin en centre-‐ville Il y a quelques années, à l'occasion d'une résidence à Athènes, Nordine Allal (directeur de l’École du Cirque Jules Verne) a participé à la création d’un spectacle autour de la comédie d’Aristophane Les Oiseaux. C'est autour de cette idée que le Pôle National Cirque et Arts de la Rue propose, depuis 2010, un travail de création pour La Rue est à Amiens. La Parade des oiseaux est ainsi une grande fête populaire où se rencontrent, costumés en toutes sortes d’oiseaux réels ou imaginaires, des enfants des centres de loisirs de la ville d’Amiens, des associations, des groupes musicaux, des élèves de l’École du Cirque Jules Verne. Ces cinq dernières années, La Parade des Oiseaux a ainsi sillonné les quartiers de la ville qui ont été, tour à tour, mis à l'honneur à l’occasion du festival : St-‐Pierre, St-‐Acheul, Elbeuf, Amiens nord, Étouvie, le quartier sud-‐est. Cette 39éme édition va enfin proposer le dénouement de cette histoire avec son envolée vers « La Cité de Coucou-‐les-‐Nuées », symbolisée par la verrière de la place de la gare SNCF.

© Joël Verhoustraeten


Ça bouillonne à Saint-‐Leu ! Vendredi 17 et samedi 18 juin au quartier Saint-‐Leu Depuis plus d’un an, les structures culturelles du quartier Saint-‐Leu se réunissent dans le cadre du nouveau contrat de ville, afin de se coordonner et de proposer aux habitants du quartier une offre culturelle riche et diverse. La musique, les arts plastiques, le chant, la couture, l’écriture, la poésie, le cinéma, la vidéo, le théâtre… ça bouillonne à Saint-‐Leu ! A travers ces projets, les habitants et structures culturelles inventent une histoire commune, celle du Saint-‐Leu d’aujourd’hui, placée sous le signe de la créativité.

Le Banquet de Saint-‐Leu Un projet de création de la Maison du Théâtre – Pôle Théâtre d’Amiens Métropole, en partenariat avec Musique en Herbe Samedi 18 juin « On va chanter, on va danser, on va manger… » Venez assister au Banquet de Saint-‐Leu ! L’histoire commence en mai 2015 avec l’arrivée sur le quartier Saint-‐Leu d’une poète belge, Laurence Vielle, qui a, de mai à septembre, glané la parole des gens du quartier, pour ensuite la mettre en poèmes et en musique avec Vincent Granger. Des chansons sont nées, il fallait trouver les interprètes. La Maison du Théâtre, en partenariat avec l’école Musique en herbe, décide alors d’offrir aux habitants un Banquet à Saint-‐Leu ! Depuis, des partenaires ont rejoint l’aventure : les ateliers de Musique en Herbe, l’école maternelle et primaire Saint-‐Leu, le chœur universitaire, Ches Cabotans d’Amiens, l’Atelier Karaoké, l’Atelier Théâtre Universitaire, l’Atelier Théâtre jeunesse, La Lune des Pirates… Tous ont décidé de s’emparer de la parole des habitants et de chanter en chœur pour La Rue est à Amiens. Chansons et agapes seront ainsi partagées en un repas participatif. Sous la direction musicale d’Hervé Mabille, de Sandrine Chouicha et de Vincent Granger, avec un partage du rôle d’un « Monsieur Loyal au féminin » : Alexandra Boukaka et Laurence Vielle. Venez comme vous êtes, la convivialité est à l’honneur dans le cœur historique de la ville !

© DR


L’Atelier Karaoké de Saint-‐Leu Un projet de création de la Maison du Théâtre – Pôle Théâtre d’Amiens Métropole, en partenariat avec Musique en Herbe Vendredi 17 juin L’Atelier Karaoké est né en mai 2015, de l’envie de la Maison du Théâtre, en partenariat avec l’école de Musique en herbe, de fédérer les habitants du quartier Saint-‐Leu autour d’un projet théâtral et musical. Cet atelier est encadré par Sandrine Chouicha, chanteuse et coach vocal et par Hervé Mabille, musicien.

Une dizaine d’habitants ont décidé, au départ, de se réunir deux fois par mois pour chanter des chansons de variétés et porter un message de partage et de convivialité. Tout au long de l’année, les karaokés se sont déplacés... sur la place des Parcheminiers, dans les cafés, Le Lutécia et le Bistro Saint-‐Leu, ainsi qu’à la résidence universitaire du quartier en partenariat avec le CROUS. Au fil du temps, les participants ont pris une place essentielle dans le projet, plus ambitieux, du Banquet de Saint-‐Leu.

La Chorale Rock Un projet de création de la Lune des Pirates Vendredi 17 juin La Chorale Rock de La Lune des Pirates (Scène de musiques actuelles d’Amiens) est un projet de création qui a pour objectif de fédérer par le chant non seulement des habitants du quartier Saint-‐Leu mais également d’ailleurs, autour d’un répertoire allant des Doors à Bob Marley, en passant par AC/DC, Philippe Katerine, M et Louis Aguilar, artiste accompagné à l'année. L’idée, avec ce projet, est de démocratiser l’accès aux musiques actuelles, notamment à la pratique du chant, mais également de créer un échange intergénérationnel et de permettre aux habitants du quartier de profiter, à titre gratuit, des structures qui les entourent. Venez assister au show furieux des choristes et rencontrer les intervenants, Hervé Mabille et Sandrine Chouicha, de Musique en herbe. De quoi vous donner l’envie de gronder fort, ailleurs que dans votre salle de bain.

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Veilleuses, l’arbre à gargouilles Une création de Véronique Lespérat-‐Héquet, en résidence au Centre Culturel Léo Lagrange Samedi 18 juin Véronique Lespérat-‐Héquet, artiste amiénoise, est actuellement en résidence pour deux ans au Centre Culturel Léo Lagrange d’Amiens, avec un projet de création intitulé Veilleuses. Au cours de ces deux années, elle ira à la rencontre des habitants des quartiers Saint-‐Leu et Saint-‐Maurice, en quête d’histoires à entendre et à voir. Pendant cette résidence, elle collaborera avec divers artistes (comédiens, marionnettistes, plasticiens, musiciens…). Cette création se dévoilera sur deux ans, avec plusieurs temps de restitution publique, programmés au moment des équinoxes et des solstices. Une forme finale poétique et lumineuse sera présentée le 2 février 2018, jour de la Chandeleur, fête païenne qui célèbre « le retour de la lumière ». Pour cette première présentation d’été, à deux jours du solstice d’été, un Arbre à Gargouilles sera créé dans le quartier Saint-‐Leu et les habitants, comme les spectateurs du festival, seront invités à venir accrocher une loque, une effigie, pour construire ensemble cet arbre bienveillant. Rendez-‐vous sur le quai Bélu pour suivre le passeur qui vous conduira vers l’arbre.

Ciné-‐Concert Crin Blanc Un projet de création du Ciné St-‐Leu Vendredi 17 juin Dans le sud de la France, là où le Rhône se jette dans la mer, il est un pays presque désertique appelé la Camargue où vivent encore des troupeaux de chevaux sauvages. Crin Blanc était le chef d'un de ces troupeaux. C'était un cheval fier et redoutable. Mais un jour les hommes décidèrent de le capturer et ce jour-‐là, l'histoire de Crin blanc commença. Il refusa de se laisser dompter par les hommes. Seul Folco, un petit pêcheur, saura l'attendrir et une profonde amitié naîtra entre le cheval et l'enfant. Ensemble, ils partiront à la conquête d'une liberté que les hommes leur refusent. Après un magnifique ciné-‐concert en 2015 sur le deuxième film d'Albert Lamorisse, « Le Ballon rouge », accompagné par une chorale d'enfants d'Etouvie, le Ciné Saint-‐leu a proposé ce nouveau ciné-‐concert dans le cadre de la Saison Jeune Public d'Amiens les 20 et 21 avril dernier. Ce ciné-‐concert est repris spécialement à l’occasion du festival La Rue est à Amiens. Ce chef d'œuvre, véritable Ode à la Liberté, sera donc projeté sur un écran géant, en plein air et sous les étoiles, avec le même chœur d'enfants. Emotion garantie.

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On ne donne pas dans la gaufrette Spectacle pour nazus, mères grands, ouvriers et tous "ché gens" qu'ça intéresse Une création d’Act-‐Arts 80, avec le centre de loisirs Maurice Honeste et le Club des Ainés du quartier Saint-‐Leu Samedi 18 juin Et si les enfants du quartier Saint-‐Leu nous racontaient « comment c’était avant… ». Avant ? Quand nos grand-‐mères avaient leur âge et que le quartier vivait encore au rythme des usines. Avec le soutien du Club des Aînés de Saint-‐Leu et sous la forme d’un parcours théâtralisé, « chés nazus » du centre de loisirs Maurice Honeste réinterprètent l’histoire du quartier, ses coutumes et ses modes de vie. Ils vous promènent entre décors et espaces sonores réalisés avec l’association Act-‐Arts 80.

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Les compagnies de A à Z

Les Mari(e)s CABARET GRABUGE (Fr) Samedi 18 et dimanche 19 juin en centre-‐ville

Un petit manuel d’éducation à l’usage des jeunes filles retrouvé (le manuel pas les jeunes filles) dans un grenier. Vrai ou faux ? (la découverte, pas le grenier) Tout, pour que ces jeunes écervelées deviennent les meilleures ménagères du monde et s’occupent bien de leurs petits maris. Qui mieux que Marie, archétype de la mère, pouvait en révéler les secrets ?

Elles sont toutes là, sorties des tableaux italiens du quattrocento ou des primitifs flamands, de la Vierge de l’Annonciation à celle de la Pieta, sans oublier celle de la Crèche et tous ses avatars. Un Chœur de Vierges, uniques et unies, pour mettre en scène ce petit texte au conservatisme subversif. A l’heure de certains retours de la Morale avec un grand M et un grand fracas, ce petit texte aux accents sixties devient, en creux, un petit pamphlet féministe et rafraichissant.

Despoot CIE MOBIL (Nl) Samedi 18 et dimanche 19 juin en centre-‐ville

Despoot est inspiré des Bêtes de sable de Theo. Une machine marche à travers la rue. Un robot, qui bouge tel un animal magique et élégant. Cette bête est à la dérive tel un dangereux gorille alors que son responsable semble s’être transformé en esclave. Le « Robotanimal » a-‐t-‐il pris le pouvoir en laissant l’homme accepter sa nouvelle place dans l’évolution ? Nous sommes cependant bien loin d’une telle vérité puisque l’homme, maladroit, sait se libérer de cette détresse, avec l’aide du public. Ce dernier observe la situation avec beaucoup de plaisir, tandis que le « déchu » se transforme de façon comique en l’oppresseur de la bête. L’idiot réclame sa place au robot. Nous sourions, nous apprécions et nous sommes divertis, mais cet idiot à la dérive est-‐il si gentil que nous le pensons ?

www.compagniemobil.nl

© DR

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Douter de mes propres appuis COLLECTIF LA MEANDRE (Fr) Samedi 18 et dimanche 19 juin en centre-‐ville Que se passe-‐t-‐il si nous refusons de suivre le rythme de la rue ? Si nous nous attardons un peu trop longtemps sur une place, au risque de nous y sentir bien ? Que se passe-‐t-‐il si nous décidons que dehors, c’est aussi chez nous ? Douter de mes propres appuis est un solo au cours duquel le public est invité à découvrir un comédien et ses planches de bois. Ce spectacle puise son énergie au sein d’un espace public et propose de le déranger. Il ne s’agit pas d’un acte de piratage, mais plutôt d'une action orchestrée, visant à construire d’autres possibles, éphémères, en espace urbain. Les spectateurs sont questionnés sur la capacité de l’humain à réinventer sa place dans la ville. www.lameandre.org Douter de mes propres appuis, avec le soutien de la SACD / Auteurs d’espaces

POLIS / Opus 1 : les paradis artificiels COMPAGNIE AKTE (Fr) Vendredi 17, samedi 18 et dimanche 19 juin au parc de l’Evêché

Comme un réseau social aplati sur le territoire, POLIS propose de mettre la parole au cœur de la ville. Trois comédiens sont présents dans un container vitré. Un tirage au sort désigne un spectateur privilégié parmi les spectateurs volontaires. S'engage alors une conversation sous forme de questionnement collectif sur la thématique du bonheur...

Pensé comme une installation où la parole devient outil d’invention et d’émancipation, POLIS envisage l’espace public comme site de rencontre. C'est un projet participatif qui interpelle les passants et détourne leurs outils de communication individualisant, pour construire une réflexion collective sous forme de jeu. www.akte.fr POLIS / Opus 1, avec le soutien de la SACD / Auteurs d’espaces

© Pierre Acobas

© Roger Legrand


Formule I-‐Bride COMPAGNIE EQUINOCTIS (Fr) Vendredi 17 juin au quartier Saint-‐Leu Samedi 18 juin en centre-‐ville Cette performance a pour principe l'apparition impromptue d'un couple cheval-‐cavalière dans les endroits les plus incongrus. Soit debout sur un cheval de trait, soit à califourchon sur un cheval de selle, l'humaine semble découvrir la ville, lieu sauvage s'il en est, mais à mille lieux de la nature. Chaque carré d'herbe, chaque lieu végétal un tant soit peu accueillant, se fait donc le refuge de ce drôle de couple. L'occasion de rencontres inédites, de dialogues spontanés, de moments d'échanges autour de l'animalité et de l'humanité, autour du vivre ensemble. www.equinoctis.com

La chanson d’un gâs qu’a mal tourné COMPAGNIE ISSUE DE SECOURS (Fr) Samedi 18 juin en centre-‐ville La chanson d’un gâs qu’a mal tourné retrace les chemins empruntés tout au long de sa vie par Gaston Couté, tendre contestataire attentif à la misère, plein d’humour et d’ironie. Deux gâs, clochards célestes, sont interprétés par Julien Huet au chant et à l’accordéon et par Alexis Tripier au chant. Ces diseurs de c’histoires et d’chansons trouvent leur inspiration dans le quotidien des rues et des chemins, des villes et des campagnes traversées. Ils trimballent des morceaux de leurs vies, de celles des autres, portés à bras le corps dans leur

charrette avec leur accordéon. Ils sont drôles, fragiles, toujours élégants et par instant poétiques. www.issuedesecours.com

© DR

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Feux follets pour poésie DWAALLICHT (Be) Vendredi 17 et samedi 18 juin au quartier Saint-‐Leu En 2014 et 2015, nous avions invité la compagnie Dwaallicht à venir réaliser des installations lumineuses sur la place Longueville, devant le Cirque Jules Verne, et au Jardin Archéologique de Saint-‐Acheul. Nous les avons à nouveau sollicités cette année afin de réaliser une installation spécifique pour les canaux du quartier Saint-‐Leu et pour le parc de l’Evêché, une création entre eau et terre. www.toverspel.be

Nous sommes JEANNE SIMONE (Fr) Samedi 18 et dimanche 19 juin en centre-‐ville Nous sommes s’attache à l’individu et à sa relation au collectif. Ce spectacle oppose à la fragmentation du vivre ensemble le besoin de faire corps : un groupe pour aborder la fragilité de l’humain et la muer en force vive. Ce spectacle propose de rentrer en intimité avec huit hommes et femmes, comme nous tous, singuliers. Avec Nous sommes, Jeanne Simone prend la parole, par le corps, par les mots, par le son, pour tisser un rapport sensible au lieu et aux êtres, pour raconter, susurrer et mettre en partage la puissante fragilité de nos présences au monde.

www.jeannesimone.com Nous sommes, avec le soutien de la SACD / Auteurs d’espaces

© Anne-‐Cécile Paredesen

© Dwaallicht


Les Bibitflyers KUDSAK (Fr) Samedi 18 juin au quartier Saint-‐Leu Deux punks sans chien, un « musicien », un « vocaliste » … mais pas de chien. Un décor mobile-‐succin-‐hard-‐discount de Jean-‐Paul Amploy. Des envolées lyriques, des textes poétiques et canins. Cinq cordes dont trois qui suivent. Un humour détartrant. Avec des costumes de Jacques-‐Molle Gauthier. Un ampli qui réclame sa gamelle, une gamelle qu'ils se prennent. Fabulistes sous pression, usurpateurs cynologues ? « Un punk qui se parfume est un anar chic » Danny Croquette (1977-‐1992) www.kudsak.org

La Cabine Défile Défoule LA BANDE PASSANTE (Fr) Vendredi 17 juin au quartier Saint-‐Leu Samedi 18 et dimanche 19 juin en centre-‐ville La Bande Passante, jeune collectif amiénois réuni autour du sonore et de l’électroacoustique, explore des formes d’écoute in situ, avec l’envie d’amener des sons « fixés » dans des espaces en mouvement. Cette bande passe ou se pose à proximité des publics et dans des lieux qui sonnent, résonnent et qui réfléchissent. Offrir des temps d’écoute, partir à la recherche de lieux ou de spectateurs qui ont des choses à faire entendre, à dire, est leur credo. Cela, autant que faire se peut… et jusqu’à ce que la bande se tire !

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© Emilie Pillot


Zarazarao LA COMPAGNIE ZOLOBE (Madagascar) Samedi 18 et dimanche 19 juin en centre-‐ville « Zarazarao ! » signifie « Faut partager ! ». Le thème principal de cette création est donc le partage. Trois clowns ont faim ! L’un prépare son délicieux riz avec le plaisir et le rituel qu’un tel moment engendre, un autre fait figure de l’éternel mendiant pour qui une petite part ne serait pas de trop, et le dernier voudrait bien voler le tout. Ce trio, aussi universel qu’infernal, va tout mettre en œuvre pour se disputer ce repas. La ruse, la pitié, la fourberie, la cruauté, le travestissement et même la danse leur serviront d’armes. Sur un rythme déjanté et burlesque, sous l’œil complice des musiciens, chacun va jouer sa partition pour arriver à ses fins… et apaiser sa faim ! www.zolobe.com Corps Accord LES TATAS (Fr) Samedi 18 juin au quartier Saint-‐Leu Dimanche 19 juin en centre-‐ville Corps accord est une performance plastique vivante, associant la danse et la musique, qui utilise l’espace public comme dans un terrain de jeux, pour raconter des histoires et des récits de vie (dans lesquels chacun peut se reconnaître) sous forme de tableaux poétiques. Des récits où la vie est un sac de nœuds douloureux, mais d’où surgissent le rêve et la poésie. Corps accord pose la question des cadres, du schéma, des obligations, des carcans, et de la marge... et le temps d’une représentation, nous permet de regarder avec plus de légèreté le monde tel qu’il est et à défaut de pouvoir le comprendre.

www.les.tatas.over-‐blog.fr

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Les souffleurs de vers et Hervé Hyacinthe LIGNES D’ECRITURES (Fr) Dimanche 19 juin en Centre-‐Ville Les Souffleurs de vers proposent des poèmes courts en interpellant le public par un agréable « Voulez vous me prêter l’oreille ? » afin de leur susurrer des poèmes à l’oreille. La poésie d’Hervé Hyacinthe se veut populaire et dans l’air du temps. Le travail, l’amour, la nostalgie, sont des thèmes qui lui collent à la peau. Un monde de déglingués où l’amour côtoie la mort, où le néant sourit à la vie ; un univers où tout se recycle et se renouvèle. Hervé est un poète attachant et attaché à sa région. Un poète ouvrier et troubadour qui poétise sur la vie de tous les jours. www.lignesdecritures.org www.hervehyacinthe.fr

Tourista THE COMPANY DERACINEMOA AND JOANNA BASSI (Fr) Samedi 18 et dimanche 19 juin en centre-‐ville

Prêts pour un embarquement dans les règles de l’air ? Tourista propose de transformer vos rues, vos places et vos trottoirs en tarmac, en piste d’atterrissage ou de décollage. Une compagnie aérienne de proximité pour un service d’excellence en business, economy, ou first, à vous de choisir en réservant votre place pour tenter cette expérience unique.

Un vol particulièrement perturbé par un équipage totalement secoué vers une destination sans concession. Une première mondiale dans les rues d’Amiens ! www.deracinemoa.eu

Leaving Normal WOEST (Nl) Samedi 18 et dimanche 19 juin en Centre-‐Ville Leaving Normal est une représentation de danse dans un décor naturel, en espace public, issue d'une recherche sur le thème de la rencontre. L'histoire mêle interactions absurdes et personnages intrigants. Un spectacle tant théâtral que dansé, entre humour et tragédie. www.ciewoest.com

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© Jeroen Trispel

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La Place des arts forains Samedi 18 et dimanche 19 juin, place Longueville La Place des Arts Forains vous donne rendez-‐vous devant le Cirque Jules Verne ! Depuis leurs débuts, les arts de la rue renouent avec la tradition du théâtre forain. De nombreuses créations naissent mêlant drôlerie, illusion, poésie et exploits. Elles constituent un ensemble artistique cohérent que l’on appelle « entresort » ou « théâtre forain ». Du début du 19ème siècle aux années quatre-‐vingt-‐dix, le Cirque Jules Verne prolonge cette histoire avec la Fête de la Saint-‐Jean (déplacée en 1992) et la Foire au pain d’épices (aujourd’hui disparue). Par ailleurs, la place du Cirque a cette singularité d’être composée d’une allée centrale. Celle-‐ci était formée, jadis, par deux rangées de petits baraquements qui proposaient alors des attractions et des friandises. La combinaison de ces différents éléments nous a donné l’envie de reconstituer, pour la cinquième année, cette allée de baraques foraines avec une programmation de petites formes fidèles à cette tradition.

Le carrousel marin CA TOURNE ! (Fr) Un manège qui devient bateau, transportant ses passagers d'une destination à l'autre, avec des coquillages en guise de tickets. Chaque virée est unique et amène avec elle son flot de surprises. Aussi chevronné qu'il soit, aucun moussaillon n'est à l'abri d'une tempête ou de quelques pirates croisés en mer. La cloche sonne et ... Le carrousel marin est un petit manège artisanal sur le thème du bestiaire marin, dont les douze sujets en bois ont été entièrement sculptés à la main. Une œuvre d’art, un petit bijou forain ! www.carrouselmarin.weebly.com

Le Manège Salé CIE EL KERFI (Fr) Sur le plateau du Manège Salé, huit bestioles tout droit sorties des fonds imaginaires marins : une langoustine, des sardines, un thon, une aigrette, une tortue... Au total, douze places pour tous. Un manège sur lequel petits et grands peuvent monter, avec une musique spécialement choisie et parfois même enregistrée par Kerfi. Un manège où le forain n'arrête pas de parler aux enfants et surtout aux parents. La durée des tours ? C'est selon l'humeur du vieux.

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© Olivier Roux


The Wild West DE STIJLE, WANT … (Nl) Du théâtre à grande vitesse, une expérience incroyable et unique pour le corps et l’esprit ! The Wild West c’est : le défi, la menace, l’aventure, la victoire, l’héroïsme, le frisson ! Vous, oui vous ! Vous allez découvrir le trésor qu’aucun chercheur d’or n’a jamais trouvé. Tout seul, plus rapide que votre ombre !

www.destijlewant.nl

Mon Truc HERVE GERMAIN – ART TOUT CHAUD (Fr) C’est son toît, son chez soi, son camion « maison ». Une cabane à curieux avec un homme dedans, un peu serré mais pas trop, qui sort de sa coquille et aère son intérieur. Une petite boîte à bonheurs qu’il trimballe de ville en ville. Alors, si vous êtes dans le coin, passez voir son TRUC, ça lui fera plaisir. Un TRUC gribouillé et habité par Hervé Germain, machiné et coloré avec Olivier Defrocourt, revu et corrigé avec Luc Kienzel, éclairé par les lanternes de Didier Malaizé, le tout chapeauté par Sandrine Darlot. www.arttoutchaud.com

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L’Auto Studio L’ŒIL DU BAOBAB (Fr) L’Auto Studio, tournage cinématographique dans un taxi anglais, est un vrai défi artistique. Les participants sont coachés par une équipe de professionnels : directeur d’acteur, scénariste, réalisateur et monteur. Mis en abyme, les participants deviennent acteurs et les professionnels jouent leurs propres rôles pour réaliser des films éphémères. Ambiance plateau de tournage. Un taxi noir, une station de montage, un grand écran. L’équipe de cinéma s’active. Le compte à rebours est lancé ! La production n’a plus d’argent. Il faut être réactif et donner le meilleur de soi-‐même. Chaque groupe n’a que 6 minutes pour faire son film !

www.loeildubaobab.com

La Taverne de l’Ogre Rouge, une monstrueuse parade LEZARD DECADENT (Fr)

Ce spectacle est conçu comme un cabinet de curiosité animé par des personnages de conte pour enfants. La Taverne de l’Ogre Rouge propose au spectateur, le temps d’une visite, de devenir à la fois explorateur, dégustateur et témoin d’une expérience de foire. C’est une immersion dans l’univers du conte revisité par le petit bout d’une lorgnette vorace. L’invitation à voyager au pays des rêves et des contes s’y déroule comme une aventure étrange, relevée de quelques pincées de mystère et d’appréhension, faisant le piment du spectacle. Derrière le rideau rouge commence l’exploration d’un monde peuplé de personnages diaboliques, à la limite de l’horreur et pourtant tellement humains et attachants. www.lezard-‐decadent.com

© Nathalie Euvrie

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© Frédéric Groseil


Cinéma Roulotte PIKZ PALACE (Be) Autour de son petit cinéma roulant, la famille Roulotte reçoit ses invités avec l'aide d'Igor, son adjoint. Avec délicatesse, les invités sont priés d'entrer dans la roulotte afin d’y découvrir un film d’acrobate. Mais le film dérape rapidement en une bien étrange représentation. www.pikzpalace.be

La Grande Boîte STEFAAN DE WINTER (Be) La Grande Boîte, voilà le nom du club le plus petit du monde. À partir du concept du plus petit bar du monde (Le Grand Café), Stefaan et son équipe de créateurs ont voulu donner « un petit plus » au club. Les meilleurs DJ y lancent les meilleurs morceaux et le videur, l’hôte VIP, le barman et le serveur sont là dans un seul but : vous faire vivre le meilleur moment de votre vie. Bienvenue à vous !!! www.fransbrood.com

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Place au cirque Samedi 18 et dimanche 19 juin, Place Gambetta

WillyGoodWood COMPAGNIE BAM (Fr)

WillygoodWood est un triptyque de numéros de cirque (un solo au fil, un solo d’acrobaties et un duo d'acrobaties) proposé par deux artistes de cirque accompagnés en directe par un guitariste un peu fou. Ces trois numéros invitent le public à venir découvrir un univers circassien à l’ambiance rock'n'roll, où chacun pourra se laisser séduire par les prouesses physiques et la grâce des artistes.

Depuis sa création en 2011, ce spectacle a tourné en France, en Europe, au Chili, en Colombie, aux USA, au Mexique et au Brésil. www.ciebam.com

Sans Arrêt EL NUCLEO (Colombie) Main à main, équilibre, jonglage et tchatche! Pour partager un moment agréable avec le public, Wilmer et Edward proposent un spectacle interactif, basé sur le jeu et la complicité. Feinte, triche, surprise et cabotinage servent de fil rouge à ce spectacle... qui joue sur la simplicité et l’authenticité.

www.elnucleo.lacatalyse.fr

© David Froem

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ARIADNA (Espagne) Artiste de cirque, Ariadna Gilabert Corominas crée d'abord un numéro de corde lisse théâtrale et intimiste avant de se consacrer à la corde volante traditionnelle. Ariadna pratique également la roue cyr dans des tournoiements gyroscopiques étonnants avec une légèreté terrienne. Entre femme et enfant, elle propose aujourd’hui à la corde lisse un numéro touchant.

BETTY FRAISSE (Fr) Ayant découvert le fil de fer à l’adolescence, dans le cadre d'une option sport après une formation de gymnaste, Betty Fraisse redécouvre cette pratique circassienne à l'âge de 22 ans à l'école Annie Fratellini. Sa rencontre avec Manolo Dos Santos, professeur de fil de fer, lui permet très vite de se présenter au Festival Mondial du Cirque de Demain en 1998. En parallèle, sa rencontre avec Alexandre Romanès lui permet de travailler en piste, tout en continuant sa formation chez Annie Fratellini. Mouvements chorégraphiques fluides et gracieux, en accord avec les émotions musicales, ce numéro aspire à faire oublier la difficulté d'évoluer en équilibre sur un fil. www.betty-‐fraisse.wix.com/betty-‐fraisse#!

IVAN RADEV (Bulgarie) D'origine bulgare, Ivan Radev a étudié à l'Ecole Nationale du Cirque Annie Fratellini entre 1995 et 2000. Depuis 2004, il travaille au sein de différents cirques tels que le Cirque Romanès, le Cirque Zanzibar, le Cirque de Saint Pétersbourg, le Cirque Médrano ou encore le Winter Circus Louis Knie Jr. Numéro de jonglage et d'acrobaties avec des ballons de football. www.artfootballjuggler.com

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© Eddy LAMAZZI

© Christian Sudre

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L’Ecole du Cirque Jules Verne (Amiens) Centre régional de Formation Professionnelle L’École du Cirque Jules Verne -‐ Centre de formation professionnelle des arts du cirque du Pôle National Cirque et Arts de la Rue d’Amiens, s’inscrit dans une histoire locale vieille de plus de 30 ans. Agréée par la Fédération Française des Écoles de Cirque en tant que centre de formation préparatoire et garant du développement de la pratique des arts du cirque en Picardie, l’école propose, sur deux années, une préparation de qualité avec pour objectif l’intégration aux centres de formation artistique issus de la FFEC et aux écoles supérieures des arts du cirque. Chaque élève bénéficie du statut de stagiaire rémunéré grâce à l’implication du Conseil régional des Hauts-‐de-‐France et du Fonds Social Européen. MARCHE OU RÊVE Le labo artistique 2016 Samedi 18 et dimanche 19 juin en centre-‐ville L’homme est un animal bipède, voyageur depuis qu’il sait marcher et marcheur depuis la nuit des temps, que ce soit par curiosité ou par contrainte, en rêvant de voyage et d’ailleurs ou forcé à l’exode. Venez naviguer, le temps d’un bivouac, à travers ces récits d’odyssée, d’émigration et de nomadisme, pour marcher sur les traces de notre petit monde en marche. DEAMBULATION ACCROBATIQUE Samedi 18 juin en centre-‐ville De portés acrobatiques en chorégraphies dansées, cette déambulation circassienne aux accents poétiques ne manquera pas de vous toucher. Ensemble, soudés, à l’image d’un chœur, c’est par des déplacements collectifs chorégraphiés que les élèves de première année de l’école du Cirque Jules Verne nous transmettent leurs émotions. JEUNES TALENTS ISSUS DE L’ECOLE Samedi 18 et dimanche 19 juin, Place Gambetta Venez admirer les numéros présentés par d’anciens élèves de l’Ecole du Cirque Jules Verne ! Au programme : Akbalie Revuelta et Andrea Vergara : Duo de main à main et équilibre Axel Epaud et Vincent Guiheneuf : Portés acrobatiques

© Pierre Gacquer


Focus Irlandais Samedi 17 et dimanche 18 juin, Place Longueville – Square Annie Fratellini

Présentation d'artistes irlandais en lien avec le Réseau irlandais de spectacles, des arts du cirque et de la rue

Venez à la rencontre des jeunes talents irlandais qui, pour certains, s’essaient pour la première fois en France. Il y en aura pour tous les goûts : l’artiste touche à tout Brian O’Connell divertira toute la famille avec son Circus Fergus, la soliste Michaela Heyer (alias Funky Fi) sollicitera l’aide du public pour parvenir à grimper en haut de son mât chinois au cours de Funky Fidelma, le clown Con Horgan aura plus d’un tour dans son sac en habit du Professor Plunger, Aidan Phelan & Amelie Bal vous emmèneront tutoyer les cieux autour de relations amoureuses quelque peu singulières dans Réalta et l’artiste Henrik Gard vous fera échouer sur une île déserte, bercé par un mélange de comique acrobatique dans Circomara. Un programme hétéroclite et exotique pour toute la famille. Un focus au cœur de la scène artistique irlandaise. Cette présentation d’artistes irlandais est rendue possible par le concours de Culture Ireland. Les artistes remercient particulièrement Floriane Gaber pour son soutien et ses encouragements.

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Les arts visuels

Figures en rue EMILIE PILLOT Du mardi 14 au samedi 18 juin au quartier Saint-‐Leu Originaire d’Amiens, Emilie Pillot a suivi des études d’arts aux Universités d’Amiens et de Paris. Photographe plasticienne, depuis 2009, elle expose et publie ses travaux en France et à l’étranger. Sa démarche artistique questionne avant tout son médium et son acte photographique plus que son image. L’appareil photo apparaît comme un « leurre » pour approcher son sujet et créer une rencontre. Utilisant différentes formes photographiques, elle aborde des thématiques qui portent sur l’intime, notamment sur le souvenir, le mouvement et la reconstruction. En multipliant les formes, Emilie tente de restituer la rencontre entre le sujet et le photographe. Figures en rue est une réappropriation de l’espace urbain à travers une occupation de la rue, de ses bâtiments et de ses vitrines par le collage et le pochoir. Les photos d’archives de La Rue est à Amiens reprennent vie. Ces figures et ces symboles extirpés de leur contexte apparaissent libres de tout mouvement et voguent, ici et là, à la recherche d’une nouvelle histoire. Un jeu de piste s’instaure peu à peu. Indépendantes, ces figures deviennent, à l’aide du passant, des acteurs jouant une nouvelle fois dans la rue un spectacle inédit et unique propre à chacun. Au grès de sa déambulation, le passant est invité à donner une interprétation unique de ce spectacle photographique.

www.emiliepillot.com

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ilie Pillot Photographe (Lille)


La BRIQUET’ s’en mêle Cour de récréation et d’expérimentation par les collectifs de la Briqueterie et des Esserres Place Longueville – Square Arlette Gruss

Cette année encore, la Briqueterie s'invite au Square Arlette Gruss et le transforme pour l’occasion, une fois n’est pas coutume, en cour de récréation et d’expérimentation. Les artistes du collectif amiénois et leurs acolytes s'associent pour déballer leurs matières façon "auberge espagnole". Une occasion inédite pour vous et pour nous de se retrouver dans un éveil des sens, avec au programme : installations,

concerts, marionnettes, théâtre, contes, projections, mur d’expression libre, danse, cirque, courses de poules ... Une bulle de partage et de festivités dans laquelle le collectif aura la liberté d’exprimer son indépendance, d’affirmer sa créativité et son esprit alternatif. Le tout dans un espace scénographié par Les Tatas, nourri par la cuisine détonante des Esserres et abreuvé, bien sûr, par le bar d’ambiance de la Briqueterie. Venez... écouter ! Boire un verre... Vous restaurer...Danser ! Regarder...Rire ! Flâner... Jouer ! Vous étonner... Partager sans modération ! Programmation à découvrir quotidiennement aux portes du jardin. La Briqueterie est un lieu d’expérimentation qui favorise l’émergence et la réalisation de multiples projets d’artistes et d’associations. Le bâtiment, situé rue Lescouvé à Amiens, s’inscrit dans le territoire comme un lieu des possibles, de rencontre avec les artistes et de sensibilisation à la culture. Les Esserres, installées dans d’anciennes serres horticoles à Lavacquerie dans le département de l’Oise, proposent quatre événements pluridisciplinaires par an afin de soutenir la production artistique (arts visuels, musiques, théâtre…).

Samedi 18 juin de 13h à 3h00 Dimanche 19 Juin de 13h à 1h00

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ilie Pillot


La Rue est à Amiens / Fête dans la Ville Pôle National Cirque et Arts de la rue d’Amiens Cirque Jules Verne Place Longueville 80 000 Amiens Tél. : 00 +33 (0)3 60 01 02 40 www.larueestaamiens.com www.cirquejulesverne.fr Contact presse : Cyrielle Duramé [email protected] 03 22 35 40 47

Partenaires institutionnels

Partenaires medias

La SACD – Auteurs d’espaces Depuis près de 10 ans, la SACD soutient la manifestation AUTEURS D’ESPACES en partenariat avec un collectif de festivals : Chalon dans la rue, Le Festival International de Théâtre de Rue d’Aurillac, et pour les années 2015 et 2016, La Rue est à Amiens / Fête dans la Ville. La manifestation a pour objectif de présenter une sélection de spectacles d’auteurs “arts de la rue”, textuels ou non textuels, fixes ou déambulants, dont l’écriture spécifique se distingue du théâtre dans la rue. Neuf projets ont été sélectionnés pour cette année dont POLIS / Opus 1 : les paradis artificiels de la Compagnie Akté, Douter de mes propres appuis du Collectif La Méandre et Nous sommes de Jeanne Simone, créations présentées cette année au festival La Rue est à Amiens.

Documents

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