F:\ALIZE\COMMISSION JURIDIQUES\Compte rendu audience du 28 avril
2009.wpdde l’audience du 28 avril 2009.
Audience complémentaire dans le cadre de la procédure en référé
initiée par le CDO de Haute Garonne contre 20 professionnels, soit
disant tirés au sort, pour exercice illégal de la
masso-kinésithérapie au prétexte de non inscription à
l’ordre.
Cette audience, demandée par le Président du Tribunal de Grande
Instance de Toulouse, avait pour objectif de faire le point sur les
souhaits des protagonistes, sachant que l’ordre abandonnait la
procédure pour 14 des 16 professionnels menés par voix d’huissier
ci-devant le TGI... sur 20 au départ!
Notons l’implication du Ministère Public par la présence du
Procureur de la République.
L’avocat de l’ordre a confirmé l’abandon de 14 procédures. Pour 13
des dossiers “abandonnés” par l’ordre, dossier par dossier, le
Président a demandé aux avocats défendeurs principaux des
kinésithérapeutes leurs intentions en la matière. Le Président a
fait la même démarche auprès de l’avocat mandaté par ALIZE pour
intervenir dans l’ensemble de la procédure. Nous avons suivi les
souhaits des défendeurs principaux. Mais il est à noter, que par
cette démarche, le Président a validé l’intérêt à agir d’ALIZE pour
intervenir comme syndicat dans la procédure. Cela contre les
arguments ordinaux.
1 kinésithérapeute ne donne pas suite à la procédure. 12
kinésithérapeutes demandent que l’ordre soit redevable des frais de
justice. 3 d’entre eux maintiennent également leur demande de
dédommagement au titre du préjudice moral et professionnel subit.
(Pour rappel, ce qui avait été noté lors de la précédente audience,
c’est que le référé est intervenu sans que les professionnels
n’aient été avertis préalablement. Sans délais, pour décider de
leur conduite concernant leur inscription. D’autre part, au delà de
la méthode du soit disant tirage au sort, le procédé employé,
huissiers dans les services, les cabinets libéraux, pour traiter
des professionnels confirmés et reconnus en délinquants devant
leurs patients et collègues était, pour le moins, indélicat!)
De plus les avocats ont rappelé que des chèques de cotisation
avaient été encaissés et que cela valide de fait l’inscription à
l’ordre.
La plus grande partie de l’audience a ensuite été consacrée aux 3
cadres de santé. Si une des procédures de l’ordre est abandonnée
car un des cadres s’est, sous la pression, inscrit, les 2 autres ne
pouvant pas, moralement et éthiquement, signer un code de
déontologie qui ne les concerne pas, sont toujours sous le coup de
la procédure ordinale.
Mais le débat n’a pas été différencié, puisque notre avocat a bien
indiqué que les cadres attendaient de savoir si oui ou non, alors
qu’ils exercent un autre métier, ils sont soumis à l’obligation
ordinale?
A deux reprises, la position du droit a été rappelée, sans
ambiguïté aucune, de façon extrêmement claire et limpide, par le
Procureur de la République. Les cadres de santé qui n’exercent plus
d’acte de leur profession d’origine n’ont pas à s’inscrire à un
ordre professionnel qui ne les concerne plus. Net, précis, sans
bavure ! (Une évidence basée sur les preuves... Oups!... sur les
textes.)
L’avocat de l’ordre a de nouveau évoqué le décret d’acte. Il a été
contré, car ce décret autorise les kinésithérapeutes à participer à
des actions de formation mais n’implique pas les cadres de santé,
qui de fait, par leurs fiches métiers et leurs fonctions, peuvent
enseigner. L’ordre et son avocat ont montré leur méconnaissance des
missions des cadres de santé et de leurs fonctions. En effet, les
cadres de santé issus de la filière kinésithérapie n’encadreraient
que des masseurs-kinésithérapeutes(!), aucun cadre issu d’une autre
filière encadrerait des masseurs-kinésithérapeutes (!). Devant ces
“arguments” mensongers, sans fondement aucun, la salle commençait à
“remuer”!
A été évoqué le cas d’un cadre de santé, salarié d’une structure ne
dépendant pas de la Fonction Publique Hospitalière, qui fait partie
des 4 assignés qui n’ont pas eu le privilège d’être conviés au
Tribunal. (L’ordre ayant rapidement rectifié le tir, car le tirage
au sort concernant ces personnes ne lui était certainement pas
favorable!) Et bien ce cadre, avec le même diplôme que ses
collègues du CHU, des fonctions similaires, lui, ne relèverait pas
du décret d’acte puisqu’il ne pratique plus. Dixit l’avocat de
l’ordre. Etonnement général!
Ne reculant pas devant le ridicule, l’avocat de l’ordre a déclaré
que si les cadres de santé ne devaient pas s’inscrire à l’ordre,
c’était une décision grave(!), ce qui a valu les sourires du
Président et du Procureur de la République, et que cela voudrait
dire que les Professeurs de Médecine n’auraient pas non plus à
s’inscrire à l’ordre des médecins. (Peut-être que les Professeurs
de Médecine, Chefs de service, seraient contents d’avoir un
argument pour ne plus s’inscrire à leur ordre? Plus sérieusement,
l’avocat de l’ordre oublie qu’ils pratiquent toujours,
régulièrement, la médecine auprès des patients hospitalisés ou en
consultation.)
Mais nous n’avions pas encore entendu le plus drôle ou le plus
désolant. Tous les enseignants en masso-kinésithérapie, pratiquent
tous la kinésithérapie auprès des patients. Avec la salle nous
n’avons pu nous empêcher de rire devant cette consternante,
affligeante, misérable affirmation. (Non monsieur l’avocat, votre
client vous a très mal informé. Les instituts de formation sont
pleins de formateurs qui ne pratiquent plus auprès des patients et
depuis très longtemps pour certains. Pendant leur cursus cadre on
leur a martelé qu’ils feraient un autre métier et qu’ils seraient
capables d’enseigner n’importe quoi.)
Nous passons sur “seuls des kinésithérapeutes enseignent la
kinésithérapie”... (Nous avons dû rater une importante évolution de
notre formation... un dés-ordre spatio- temporel...?)
L’avocat de l’ordre a déclaré que l’enregistrement des cadres de
santé à la DASS dans le fichier ADELI signifiait bien qu’ils
étaient toujours kinésithérapeutes. L’argument n’a semble-t’il
convaincu personne. (Peut-être que nous devrions demander aux DASS
de supprimer du fichier ADELI l’ensemble des cadres de santé?
Oui... c’est vrai! Le fichier ADELI est tellement bien tenu et à
jour qu’il est fiable. Ah... non! L’ordre a maintes fois écrit et
déclaré que le fichier ADELI n’était absolument pas fiable... De
quoi en perdre son Latin !) 2 ou 3 autres arguments ont été réfutés
par le Procureur de la République.
L’avocat de l’ordre a également produit une lettre de la Fédération
Hospitalière de France, trouvée sur le forum d’ALIZE (Décidément...
Heureusement que nous sommes là pour les informer!) Cette lettre
indique que les établissements doivent faire inscrire leurs
agents... donc les cadres de santé. Notre avocat a bien re situé
cette lettre dans le contexte, rappelé qu’elle n’engageait que la
FHF, qu’elle n’évoquait pas les cadres de santé et que la FHF avait
produit d’autres documents sur la problématique ordinale.
Au cours des débats sur les cadres de santé, le Président a demandé
si un représentant du CHU de Toulouse était présent. Une dame s’est
présentée comme faisant partie de la Direction des Affaires
Juridique du CHU. (Nous avons été surpris, non de sa présence, il
nous semblait normal que le CHU s’intéresse à la procédure, mais
parce que, avant le début de l’audience elle discutait avec
l’avocat de l’ordre. Alors nous avons des questions: A t’elle été
mandatée par la Direction du CHU et dans quelles limites? Est-elle
venue à la demande de l’ordre?)
Le président lui a posé une simple question: “Combien de cadres de
santé au CHU?” Incapacité de répondre. Nous avons été atterré. Elle
avait uniquement en sa possession la liste des kinésithérapeutes du
CHU et curieusement à cette liste étaient mélangés les cadres de
santé issus de la filière. Mais pas la moindre connaissance du
dossier. (Le CHU de Toulouse, 4éme CHU de France, n’aurait-il aucun
intérêt à l’encontre de ses personnels? Ce comportement face à un
tel problème, si, il est avéré, est un scandale.)
Les cadres de santé maintiennent également leur demande que l’ordre
soit redevable des frais de justice.
Avant de terminer, le Président a déclaré qu’il serait également
attentif aux pièces demandées par l’ordre dans le dossier
d’inscription (annexe 1). Ont été citées, par exemple, fiche de
paie, justificatif de domicile (annexe 2). Après concertation avec
son client, l’avocat de l’ordre a répondu que les pièces
complémentaires étaient facultatives et qu’elles n’empêchaient
nullement l’inscription. Pourtant de nombreuses inscriptions ont
été refusées tant que le dossier était incomplet. Le Président a
entendu que le bureau national avait une notion “large” des pièces
obligatoires (annexe 3 pages 5 et 6) et que les CDO devaient
restreindre leur communication à ce sujet car dans ce cas, les
pièces ne seraient pas renseignées.
L’audience a duré 1 heure 30, le Président communiquera son
jugement le 28 mai.
Alors qu’ALIZE était présent avec Raphaël MASSON, Commission des
Affaires Juridiques, Pierre CAPITAINE, Délégué Régional et Didier
LANTZ, Délégué National, aucun élu du conseil national de l’ordre
des kinésithérapeutes était présent! Le CNO abandonnerait-il ses
troupes?
En aparté de l’audience: Nous avons remarqué qu’à la fin de
l’audience, l’avocat de l’ordre a interpellé la représentante du
CHU. Nous avons appris, que des menaces, relayées par l’avocat de
l’ordre, laisseraient entendre que le CHU sanctionnerait les cadres
de santé! Nous avons été alerté sur les pressions réalisées à
l’encontre des cadres de santé, alors qu’au regard des textes, ils
ne sont pas concernés par l’ordre. Nous serons attentifs à
l’attitude de la Direction Générale envers ses personnels, en
particulier au vu de l’éclairage apporté par le Procureur de la
République.
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Fiche de renseignement 2008 CONSTITUTION DU TABLEAU DE L’ORDRE DES
MASSEURS-KINESITHERAPEUTES
Si vous avez reçu deux documents de ce type n’en remplissez qu’un
seul Si vous êtes retraité et que vous souhaitez continuer à voter
pour élire vos conseillers départementaux ou souhaitez
continuer être candidat remplissez l’intégralité de ce
questionnaire
1. ETAT CIVIL
Prénoms :
dépt
Nationalité : Française UE, préciser
Hors UE préciser : Adresse domicile privé : Code postal : Ville :
Téléphone personnel : / / / / Courriel
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CES DONNEES SONT FACULTATIVES ET DESTINEES A L’ENTRAIDE PREVUE PAR
L’ARTICLE L 4321-14 DU CODE DE LA SANTE PUBLIQUE
Etes vous
Célibataire marié(e) veuf(ve) divorcé(e) concubin (e) PACS
Date et lieu de naissance du conjoint : / / /
……………………………………………………………………………………. Profession du conjoint :
………………………………………………………………………………………………………………… Noms prénoms et date de
naissance de vos enfants :
__________________________________________________1 / /
__________________________________________________2 / /
__________________________________________________3 / /
__________________________________________________4 / /
__________________________________________________5 / /
__________________________________________________6 / /
__________________________________________________7 / /
__________________________________________________8 / /
__________________________________________________9 / /
2. TITRES ET QUALIFICATIONS PROFESSIONNELS
2. A : DIPLOME D’ETAT FRANÇAIS (Hors diplômé de l’année)
Numéro du diplôme :
Date d’obtention : / /
NUMERO ADELI : Pour les diplômés de l’année :
Date de l’attestation provisoire: / /
DRASS ayant délivré l’attestation (Région)
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2. B : DIPLOME D’ETAT DANS L’UNION EUROPEENNE (Autorisation
d’exercice)
Date de délivrance de l’autorisation : / /
DRASS ayant délivré l’autorisation (Région) :
2. C : Pour les étrangers Hors Union Européenne titulaires d’un
Diplôme d’Etat Français :
Numéro du diplôme : Date d’obtention : / / DRASS ayant délivré le
diplôme : IFMK d’origine (Ecole) : Date d’autorisation d’exercice :
/ / *
* D a t e d e p u b l i c a t i o n a u J o u r n a l O f f i c i e
l
2. D : AUTRES DIPLOMES – TITRES OU GRADES PROFESSIONNELS ET/OU
UNIVERSITAIRE
Autres diplômes professionnels et/ou universitaire (ex :
ergothérapie, cadre de santé, DIU, Licence, Master, Doctorat)
Diplôme :
__________________________________________________________________________________
Date d’obtention : / /
O r g a n i s m e F o r m a t e u r :
______________________________________________________________
Diplôme :
___________________________________________________________________________________
Date d’obtention : / /
O r g a n i s m e F o r m a t e u r :
_____________________________________________________________
Diplôme :
___________________________________________________________________________________
Date d’obtention : / / O r g a n i s m e F o r m a t e u r :
_____________________________________________________________
Diplôme :
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Date d’obtention : / /
O r g a n i s m e F o r m a t e u r
________________________________________________________________
Diplôme :
___________________________________________________________________________________
Date d’obtention : / /
O r g a n i s m e F o r m a t e u r :
_____________________________________________________________
2 . D : S P E C I F I C I T E D ’ E X E R C I C E ( o s t é o p a t
h i e , m é z i è r e s , e r g o n o m i e , e t c )
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3. EXERCICE PROFESSIONNEL ACTUEL :
Retraité*
Mixte** libéral : % salarié : %
* Si vous ne souhaitez pas être inscrit au tableau de l’ordre il
n’est pas nécessaire de renseigner la suite de ce
questionnaire
3. A : MODE D’EXERCICE LIBERAL
Conventionné - N° de praticien
Cabinet secondaire : OUI NON Nombre :
P o s s é d e z - v o u s u n e C a r t e d e P r o f e s s i o n n
e l d e S a n t é ( C P S )
O U I N O N s i O U I N °
Exercice individuel Exercice exclusif à domicile (Adresse
personnelle) Adresse du cabinet :
Code postal : Ville :
T é l é p h o n e : C o u r r i e l : @
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Code postal : Ville :
T é l é p h o n e : C o u r r i e l : @
2
Code postal : Ville :
T é l é p h o n e : C o u r r i e l : @
3
Code postal : Ville :
T é l é p h o n e : C o u r r i e l : @
4
Code postal : Ville :
T é l é p h o n e : C o u r r i e l : @ A v e z - v o u s u n c o n
t r a t d e r e m p l a c e m e n t ? O U I N O N
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Si vous êtes Assistant-Collaborateur : Nom du titulaire du cabinet
:
Adresse du cabinet :
Code postal : Ville : T é l é p h o n e : C o u r r i e l : @ A v e
z - v o u s u n c o n t r a t d ’ A s s i s t a n t C o l l a b o r
a t e u r
O U I N O N
Si vous exercez en groupe : SCM SCP SEL Société de Fait
Nom de la société :
Code postal : Ville :
T é l é p h o n e : C o u r r i e l : @
Nombre d’associés : Nom et prénom des associés :
N° SIRET :
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3. B MODE D’EXERCICE SALARIE Vous exercez dans la Fonction
Publique
Etablissement Public de Santé (CHU, CH, Hôpital Local) Institut de
Formation en Masso-Kinésithérapie Public
Etablissement Public Territorial (Centre de Santé, Dispensaire,
Municipalité) Votre Statut : Titulaire Stagiaire CDI CDD
Raison sociale et adresse de l’employeur :
V o u s e x e r c e z à t e m p s p a r t i e l
OUI NON
Vous exercez dans le secteur privé
But non lucratif (Croix Rouge, FEHAP, CRAM, Convention 1966, etc.)
But lucratif (Clinique adhérents à la FHP anciennement FIEHP et
UHP) Autres (kinésithérapeute salarié au sein d’une équipe
sportive, d’un cabinet….) Votre Statut : CDI CDD
V o u s e x e r c e z à t e m p s p a r t i e l
OUI NON
Raison(s) sociale(s) et adresse(s) du / ou des employeurs :
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Avez-vous des intérêts dans un organisme ou une entreprise en
rapport avec les activités médicales ou paramédicales ?
OUI NON Si oui: indiquez la raison sociale de l’organisme ou de
l’entreprise ainsi que son objet :
Avez-vous un projet de contrat où avez-vous conclu un ou des
contrats ayant pour objet l’exercice de votre profession ?
Contrat(s) de travail, Contrat(s) de remplacement, Contrat
d’assistant-collaborateur, Contat(s) d’association, Statut(s) SCM
SCP SEL, Baux, Contrat(s) de leasing, etc .., ainsi que tous les
avenants éventuels
OUI NON Si oui de quelle(s) nature(s) ?
Indiquer le libellé de vos plaques et ordonnances Dans le cas où
vous désireriez faire paraître dans la presse une annonce
d’installation le libellé devra en être soumis, avant exécution, à
l’approbation du Conseil Départemental de l’Ordre du lieu
d’exercice.
Veuillez indiquer les mentions données à l’agence Télécom pour ses
annuaires où à tous autres annuaires professionnels :
……………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………
REPRODUIRE DANS LE CADRE CI-DESSOUS A LA MAIN LA PHRASE : « Je
déclare sur l’honneur qu’aucune Instance pouvant donner lieu à
condamnation ou sanction susceptible d’avoir des conséquences sur
mon inscription au Tableau n’est en cours à mon encontre. »
REPRODUIRE CI-DESSOUS A LA MAIN LA PHRASE **** « J’affirme sur
l’honneur avoir pris connaissance du Code de déontologie et je fais
serment de la respecter. »
**** Ne pas répondre à cette question tant que le Code de
Déontologie n’est pas publié au Journal Officiel
Ce document est à renvoyer accompagné des documents justificatifs
d’exercice en Recommandé avec Accusé de Réception au Conseil
Départemental du lieu de votre exercice
A QUELLE ADRESSE SOUHAITEZ-VOUS QUE L’ON VOUS ADRESSE LES
COURRIERS. Entourer un des numéros ci-après :
1 (Adresse domicile) 2 (Adresse professionnelle) Je demande mon
inscription au Tableau des masseurs-kinésithérapeutes du
Département du lieu de mon exercice principal Nom du Département
:
J’atteste sur l’honneur que les déclarations ci-dessus sont
conformes à la vérité. Je m’engage à envoyer au Conseil
départemental de l’Ordre des masseurs-kinésithérapeutes un
rectificatif dès qu’il se produira une modification dans les
déclarations précédentes et à répondre à toute demande de
renseignement émanant du Conseil de l’Ordre. Date : / / 200
Signature (Précédée de la mention manuscrite « Lu et approuvé
»)
Conformément à la Loi Informatique et Libertés du 06/01/1978, vous
bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification pour les données
vous concernant auprès du Conseil de l’Ordre départemental ou vous
êtes enregistré.
PIECES OBLIGATOIRES A FOURNIR EN VUE
DE LA PRE-INSCRIPTION AU TABLEAU DE L’ORDRE
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bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification pour les données
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êtes enregistré.
SALARIES
1 Photo d’Identité au format passeport, collée ou agrafée à une
feuille A4
Photocopie recto verso de la Carte d’Identité ou photocopie du
Passeport ou extrait de naissance www.acte-naissance.fr
Photocopie d’un Justificatif de domicile (Facture EDF ou GDF ou
Téléphone) datant de moins de trois mois
Photocopie du Diplôme d’Etat recto-verso (DRASS ou a été délivré le
diplôme)
Photocopie de l’autorisation d’exercice si diplôme UE ou Hors UE
(DRASS de la Région d’exercice UE, Ministère de la Santé Hors
UE)
Photocopie des autres diplômes
Photocopie de l’inscription au fichier ADELI ou photocopie de la
Carte Professionnelle. (DDASS du département d’exercice)
Photocopie de la dernière feuille de paie (pour chaque
employeur)
Photocopies du ou des contrats de travail actuels liés à votre
exercice salarié que vous avez signés conformément aux
prescriptions du Code de la Santé Publique
LIBERAUX ou MIXTES
1 Photo d’Identité au format passeport, collée ou agrafée à une
feuille A4
Photocopie recto verso de la Carte d’Identité ou photocopie du
Passeport ou Extrait d’acte de naissance (Mairie du lieu de
naissance ou sur le site Internet www.acte- naissance.fr
Photocopie d’un Justificatif de domicile ou de cabinet pour les
libéraux (Facture EDF ou GDF ou Téléphone) datant de moins de trois
mois
Photocopie du Diplôme d’Etat recto-verso (DRASS ou a été délivré le
diplôme)
Photocopie de l’autorisation d’exercice si diplôme UE ou Hors UE
(DRASS de la Région d’exercice)
Photocopie des autres diplômes
Photocopie de l’inscription au fichier ADELI ou photocopie de la
Carte Professionnelle ou une feuille de soins originale. (DDASS du
département d’exercice - CPAM)
Photocopie de l’attestation d’Assurance Responsabilité Civile
Professionnelle en cours de validité pour l’année en cours
uniquement pour les libéraux
Photocopies de tous les contrats liés à l’exercice tant salariés
que libéral que vous avez signés conformément aux Articles suivants
du Code de la Santé Publique qui sont applicables aux masseurs-
Kinésithérapeutes.
(Contrats de travail, Contrats de remplacement, Contrat
d’assistant-collaborateur, Contrats d’association, statuts SCM,
SCP, SEL justificatifs de siège social, justificatifs
immatriculation au registre du commerce et des sociétés, Baux,
Contrats de leasing, etc .. ainsi que leurs avenants éventuels,
etc..)
Pour les ressortissants d'un Etat étranger, un extrait de casier
judiciaire ou un document équivalent, datant de moins de trois
mois, délivré par une autorité compétente de l'Etat d'origine ou de
provenance ; cette pièce peut être remplacée, pour les
ressortissants des Etats membres de la Communauté européenne ou
parties à l'accord sur l'Espace économique européen qui exigent une
preuve de moralité ou d'honorabilité pour l'accès à l'activité de
médecin, de chirurgien-dentiste ou de sage-femme, par une
attestation datant de moins de trois mois de l'autorité compétente
de l'Etat d'origine ou de provenance certifiant que ces conditions
de moralité ou d'honorabilité sont remplies.
Ordre National des Masseurs Kinésithérapeutes - Sir et 493 355 754
000 18 Courriel :
[email protected] - 88 avenue Niel - 75017 Paris –
01 46 22 32 97 –
Site Internet : www.cnomk.org
COMPTE RENDU
REUNION PLENIERE CNO DU 15 FEVRIER 2007 L’an deux mille sept, Le 15
février, A 9h30, Les membres du Conseil National de l’Ordre, se
sont réunis en réunion plénière, 88 avenue Niel – 75017 Paris,
siège du Conseil National, sur convocation du Président du Conseil
National de l’Ordre des Masseurs-Kinésithérapeutes. Il est établi
une feuille de présence signée par les membres présents en entrant
en séance. - Collège des libéraux, conseillers titulaires Yves
AZZOPARDI, André CALENTIER, Gérard COLNAT, René COURATIER,
Jean-Paul DAVID, Lionel JOURDON, Jacques LAPOUMEROULIE, François
MAIGNIEN, Marcel MICHALON, Georges PAPP, Eric PASTOR, Alain
POIRIER, Michel RUSTICONI, Yvan TOURJANSKY, Philippe VIGNAUD -
Collège des salariés, conseillers titulaires Didier EVENOU, Marc
GROSS, Michel PAPAREMBORDE, Jacques VAILLANT L'Assemblée est
déclarée régulièrement constituée et peut valablement délibérer.
L’Assemblée est présidée par Monsieur Jean-Paul DAVID, Président.
Le Président rappelle que l'Assemblée est appelée à délibérer sur
l'ordre du jour suivant :
1. Approbation du compte rendu du 14 décembre,
2. Tableau et procédure d’appel de cotisation, explication,
3. Mise en place de la commission exercice illégal,
4. Compte rendu des rencontres avec la Haute Autorité de
Santé,
Ordre National des Masseurs Kinésithérapeutes - Sir et 493 355 754
000 18 Courriel :
[email protected] - 88 avenue Niel - 75017 Paris –
01 46 22 32 97 –
Site Internet : www.cnomk.org
2
5. Communication sur l’avancée des travaux du système
d’information,
6. Communication sur la commission « règlement intérieur »,
7. Communication sur la commission « code de déontologie »,
8. Mise en place d’une FAQ sur notre site, (envoyer vos
préoccupations sous forme de questions précises afin de constituer
notre FAQ),
9. Compte rendu de la conférence des Trésoriers des CDOMK,
10. Le point sur l’ostéopathie, compte rendu de la réunion du 20
décembre,
11. SASCNOMK, le point,
12. Questions diverses.
Le Président dépose sur le bureau et met à la disposition des
membres de l'Assemblée : - la feuille de présence.
Le Président déclare la discussion ouverte et demande aux membres
du Conseil National s’ils souhaitent poser des questions et
recevoir des explications complémentaires. Personne ne demandant
plus la parole, le Président met successivement aux voix les
résolutions figurant à l’ordre du jour. 1. Approbation du compte
rendu du 14 décembre, Le compte rendu du Conseil plénier du 14
décembre 2006 est adopté après les modifications souhaitées par les
conseillers nationaux. André Calentier souhaite que le conseil
détermine si les travaux du conseil plénier bénéficient d’un
compte-rendu ou d’un procès verbal. Après discussion, le Conseil
opte pour un compte-rendu. Les débats bénéficieront d’un
enregistrement. André Calentier souhaite que le rappel des points à
l’ordre du jour soit inscrit au début de chaque résolution. Ce
souhait sera pris en compte dans les prochains comptes-rendus.
Après les modifications apportées par les conseillers et
retranscrites en séance, le Compte-rendu est adopté à l’Unanimité.
2. Tableau et procédure d’appel de cotisation, explication, Yvan
Tourjansky indique que d’ici le 5 ou le 6 mars, les
masseurs-kinésithérapeutes libéraux devraient recevoir l’appel de
cotisation ainsi que les dossiers de pré-inscription.
Ordre National des Masseurs Kinésithérapeutes - Sir et 493 355 754
000 18 Courriel :
[email protected] - 88 avenue Niel - 75017 Paris –
01 46 22 32 97 –
Site Internet : www.cnomk.org
3
Une procédure de minoration des cotisations est en cours de
finalisation concernant les confrères qui seraient dans des
situations précaires sur le plan financier. Les
masseurs-kinésithérapeutes qui s’estimeraient relevés de cette
situation auront quinze jours pour interpeler le Conseil
départemental de leur ressort sur cette demande de minoration
accompagnée des pièces justificatives. Le Conseil départemental
aura quinze jours pour instruire et transmettre son avis au Conseil
National. A la réception de la demande de minoration, le Conseil
Départemental transmettra au confrère demandeur un document que
celui-ci devra retourner le plus rapidement possible. Dans ce
document, il s’engage à respecter la décision du Conseil National
prise après avis du Conseil Départemental. François Maignien
indique que cette procédure n’est pas aussi bien définie sur les
documents reçus par les membres du CNO. Yvan Tourjansky lui répond
que cette procédure est en train d’être affinée. Michel Rusticoni
demande lequel de l’avis du Conseil National ou du Conseil
Départemental l’emporte en cas d’avis contradictoires. Yvan
Tourjansky indique que cela sera l’avis du Conseil National qui
primera. Georges Papp se pose la question de savoir s’il y aura une
commission recours amiable ? Jean-Paul David indique que, s’il est
nécessaire d’instituer une telle commission, le Conseil National la
créera. Yvan Tourjansky poursuit son exposé en indiquant que la
minoration pourra être totale ou partielle (un tiers ou deux tiers
du montant de la cotisation) suivant les situations, le Conseil
départemental duquel relève le masseur-kinésithérapeute percevra la
quotité prévue de la cotisation minorée et ne percevra rien en cas
d’exonération totale... Lionel Jourdon indique que, lors de la
commission de contrôle des comptes, il avait été évoqué que le
différentiel serait payé par le national. Yvan Tourjansky précise
effectivement que ce problème avait été évoqué et, suite à cette
remarque, le bureau s’était prononcé pour que ce soit le Conseil
départemental qui assume la charge de la minoration. Le bureau va
poursuive la rédaction de cette procédure et la transmettra aux
Conseillers Nationaux après validation du bureau. Jean Paul David
évoque le problème que pose la garantie de confidentialité des
pièces recueillies à l’occasion de la procédure de pré-inscription.
Il indique qu’il est de la responsabilité des Conseils
Départementaux de conserver ces documents dans des conditions
garantissant leur confidentialité. Alain Poirier indique que le
premier document de l’appel de cotisation lui paraît peu clair.
Yvan Tourjansky lui répond que ce document a bénéficié d’une
modification depuis l’envoi aux conseillers nationaux. François
Maignien pose la question du délai dans lequel la pré-inscription
et l’appel de cotisation seraient envoyés aux
masseurs-kinésithérapeutes salariés. Didier Evenou répond que les
données du fichier des salariés (13 à 14.000 salariés) sont peu
crédibles. Compte tenu de ce manque de fiabilité, le bureau a
décidé de s’appuyer sur le fichier FINESS qui recense les
établissements pour solliciter les établissements de santé afin
qu’ils indiquent les masseurs-kinésithérapeutes qu’ils emploient.
Une fois ce recensement effectué, les dossiers de préinscriptions
et les appels de cotisations seront envoyés pour chaque
professionnel dans les établissements dans lesquels ils
exercent.
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Le bureau a sollicité à plusieurs reprises la Direction Générale de
la Santé et les services du ministère afin qu’ils nous accompagnent
dans cette démarche, en indiquant par un courrier conjoint auprès
des directions des établissements qu’ils appuyaient cette démarche.
A ce jour aucune réponse ne nous a été signifiée.
Après discussion, il est décidé de faire partir ces courriers en
indiquant que les services de la DGS et de la DHOS ont été mis au
courant de cette démarche et en ayant préalablement à cet envoi
transmis par courrier les documents envoyés aux établissements de
santé. François Maignien demande si les Conseils Départementaux
pourraient mettre en place une démarche de validation du fichier
ADELI pour les salariés. Didier Evenou lui répond que la
construction d’une base de données est d’autant plus efficiente que
le nombre de sources d’entrée est limité et, qu’il est préférable
de n’avoir qu’une seule source d’information dans le cadre de la
procédure qui est mise en place. Le 23 mars est la date butoir que
nous nous fixons pour traiter les retours des établissements et
envoyer l’appel. Cette procédure a été validée en bureau le
14/02/07. François Maignien souligne qu’il faut que les Conseils
Départementaux soient bien informés de cette démarche car il existe
un mouvement des salariés qui pourrait poser problème. Didier
Evenou explique qu’il existe actuellement une expression plus ou
moins organisée du mécontentement des salariés en matière de
cotisation à l’Ordre. Cette expression concerne 10% des salariés en
tenant compte des pétitions que nous avons reçues. Il semble que le
ton change et que de plus en plus de réflexions remontent du monde
salarié exprimant plus de compréhension et, notamment, suite aux
rencontres qui sont organisées dans les départements avec les
salariés par les Conseils Départementaux ou par les Conseillers
Nationaux salariés. Eric Pastor indique à ce sujet que la
conférence des présidents du 30 mars sur le code de déontologie
sera doublée d’une conférence auprès des élus salariés afin
d’aborder avec eux les argumentaires à déployer sur cette
problématique auprès des salariés. Michel Rusticoni pose la
question de savoir si les Conseillers Nationaux doivent être
présents à cette conférence. Jean Paul David indique que cette
présence ne lui semble pas être une obligation mais interroge le
conseil. Yvan Tourjanky indique que dans cette phase de création de
l’Ordre, il semble nécessaire de mettre les moyens à disposition
pour que la participation soit la plus large possible. Jean Paul
David indique qu’étant donné l’importance que revêt l’ordre du jour
de cette conférence (le Code de Déontologie et les problématiques
salariés) il ne voit pas d’objection au fait que les Conseillers
Nationaux soient présents. Ils les invitent donc à se libérer.
François Maignien exprime son souhait que la fréquence des Conseils
pléniers soit revue à la hausse et ne soit pas obérée par
l’augmentation des réunions de type conférence. Après cette
discussion. Didier Evenou poursuit son intervention concernant la
procédure de pré-inscription. Il souligne qu’il s’agit bien d’une
pré-inscription et non d’une inscription qui, elle, est du ressort
des Conseils départementaux comme le stipule le Code de la Santé
Publique. Il s’agit de faciliter par cette démarche le travail des
Conseils départementaux dans cette phase d’installation délicate
pour tout le monde. Le questionnaire pourra être aussi rempli sur
Internet.
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Il fait part de la rencontre avec COGESER représenté par M. Touzel
avec qui nous travaillons sur l’élaboration de la base de données
et sa traduction de manière informatique. Philippe Vignaux se pose
la question de savoir s’il est utile de demander une fiche d’Etat
civil alors que celle-ci n’a plus cours. Didier Evenou lui répond
après confirmation de cet état de fait par les membres du Conseil
que la correction sera faite. François Maignien demande s’il ne
faudrait pas rajouter sur un plan pédagogique la nécessité de
l’existence de contrat pour les collaborateurs, étant donné que le
code de déontologie le rendra vraisemblablement obligatoire. Jean
Paul David indique que le code de déontologie n’étant pas sorti,
nous ne pouvons pas anticiper sur les prescriptions de celui-ci. Il
pense qu’il ne faudrait peut être pas alourdir plus le document de
pré-inscription et attendre la sortie du code de déontologie.
Philippe Vignaud demande si, dans le cas de défaut de production de
contrat, sur quel texte en l’absence du code de déontologie va-t-on
s’appuyer pour prendre des mesures coercitives. Alain Poirier
répond qu’il existe toute une jurisprudence sur laquelle il est
possible de s’appuyer pour le traitement de ces affaires. Jean Paul
David souhaite que la commission du code déontologie puisse
encadrer les modalités de la collaboration. Michel Rusticoni
souhaite que l’obligation de contractualiser soit mise dans le
dossier de pré- inscription. François Maignien demande s’il serait
possible de rajouter cette obligation de détenir un contrat en cas
de collaboration dans le document de pré-inscription qui rappelle
cette obligation. Jean Paul David indique qu’il prend bonne note de
cette remarque et que les modifications seront effectuées. Alain
Poirier indique qu’il faut nettoyer les documents des dernières
fautes d’orthographes qui y subsistent encore. Il indique qu’il
paraît préférable, sur un plan financier, de faire plutôt un
sondage pour essayer de disposer d’une vision sociologique que
d’alourdir le questionnaire. Il indique aussi que les autres Ordres
professionnels ne demandent pas de photographie d’identité, de même
il s’étonne de la demande de l’extrait du casier judiciaire B3,
alors que l’extrait B2, plus complet doit être la référence. René
Couratier explique que le B2 ne peut pas être donné aux personnes
physiques, seules les personnes morales comme les Conseils
départementaux peuvent le demander. Didier Evenou indique que
chaque Conseil Départemental a eu communication de la procédure
pour obtenir la possibilité de consulter les extraits B2 par
Internet. Alain Poirier poursuit en demandant pour quelle raison il
faut demander les autres diplômes. Jean Paul David explique que
nous souhaitons, même si ce n’est pas obligatoire, recenser les
activités. Seuls 2 diplômes sont reconnus, Cadre de Santé et Aide
Dermatologiste. Alain Poirier rétorque, qu’étant donné que la liste
des documents exigés pour les inscriptions au tableau est
réglementée chez les autres professionnels, on ne doit on pas
attendre la sortie de textes réglementaires pour mettre en place
cette liste de pièces. Jean Paul David indique qu’en l’absence de
cette réglementation, notre demande est valide et opposable. André
Calentier souhaite que la distinction « obligatoire » «
non-obligatoire » puisse être indiquée dans le cadre de la liste
des documents exigés.
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Didier Evenou craint que les cases non obligatoires si elles sont
identifiées comme telles ne soit pas remplies et nous privent de
renseignements précieux. Mais il indique que cette réflexion est
légitime et fera partie du guide d’usage qui sera réalisé en
direction des départements concernant les pièces qui sont
obligatoires pour que l’inscription puisse valablement être
réalisée. René Couratier indique que les pièces obligatoires
pourraient être le Diplôme d’Etat, l’extrait de casier judiciaire
B3 et l’attestation d’assurance responsabilité civile
professionnelle. Michel Rusticoni demande s’il y aura une carte
professionnelle. Est-ce qu’elle comportera une photo ? Aura-t-elle
une validité comme une pièce d’identité ? Jean Paul David lui
répond que oui, mais qu’elle n’aura pas la valeur d’une pièce
d’identité. Gérard Colnat souligne qu’en Meurthe et Moselle, il a
déjà été fait une demande d’inscription avant la fin 2006 auprès
des professionnels du département. Les retours sont de 235 sur 700
envois. Il s’inquiète de la lenteur des retours qui pourrait se
reproduire sur l’appel du national. Didier Evenou lui indique qu’il
avait été mentionné dès le 10 novembre, lors de la première
Conférence des Présidents, que ce serait le Conseil national qui
effectuerait cette démarche. La solennité du national devrait
augmenter le retour. Alain Poirier croit comprendre que les
Conseils Départementaux auraient une certaine latitude sur la liste
des documents demandés. Il s’inquiète des différences possibles
entre les départements qui pourraient être préjudiciables à la
lisibilité de cette démarche.
Didier Evenou souligne que le document ADELI devrait être le 4
ème
document obligatoire avec le casier judiciaire et la fiche de paie
pour les salariés. Alain Poirier s’interroge sur la liste des
documents obligatoires pour l’inscription. Didier Evenou suggère
que le Conseil National se prononce par un vote sur cette liste.
Jean Paul David reprend cette proposition et propose au Conseil
National de voter une liste des pièces obligatoires pour
l’inscription. Cette liste ne sera communiquée qu’aux Conseils
Départementaux après l’envoi des dossiers de pré-inscription afin
de ne pas court-circuiter la communication tant que nous n’aurons
pas un certain seuil de retour. Georges Papp estime que cela
traduit un manque de transparence vis-à-vis des départements. Eric
Pastor propose que nous puissions envoyer un document explicite aux
départements sur le fait qu’il existe une liste obligatoire mais
qu’il faille surtout qu’ils se limitent en terme de communication.
Didier Evenou indique qu’à ce sujet certains sites Internet
risquent de rendre obsolète l’efficacité de la procédure en
diffusant des documents que nous souhaitons garder comme
confidentiels. Marcel Michalon indique que le nomadisme de l’outre
mer rend indispensable la mise en place d’une liste identique de
pièces obligatoires. Yvan Tourjansky demande à quelle échéance fixe
t’on l’information aux Conseils Départementaux sur cette liste de
pièces obligatoires. Il évoque aussi le problème des conseils
départementaux qui seront retenus comme sites pilotes pour
l’utilisation du système d’information. Jean-Paul David indique de
nouveau qu’il ne faut pas communiquer trop tôt cette notion de
pièces obligatoires aux Conseils départementaux. Il redemande que
l’on fixe une liste de pièces que nous estimons obligatoires pour
l’inscription au tableau de l’Ordre. René Couratier indique que
nous avons cinq pièces : Diplôme d’Etat, Carte Nationale
d’Identité, extrait de casier judiciaire B3, attestation ADELI,
attestation d’assurance responsabilité civile professionnelle.
François Maignien souhaite que les contrats soient considérés comme
des pièces obligatoires, en application de l’article L 4113-10 du
code de la Santé Publique.
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Jean-Paul David tranche en indiquant que tous les contrats
professionnels seront demandés. Philippe Vignaud s’interroge sur le
fait que cela soit l’Ordre ou les syndicats professionnels qui
doivent donner des contrats types ? Alain Poirier indique que les
contrats types peuvent être élaborés mais qu’ils ne seront pas
opposables ; ils faciliteront le travail des Conseils
Départementaux. Didier Evenou précise que les Conseils
Départementaux analyseront les contrats au regard du Code de
déontologie et non pas que le plan juridique. Jean-Paul David
soumet donc au vote du conseil la liste des pièces obligatoires
suivante : Diplôme d’Etat, Carte Nationale d’Identité, extrait de
casier judiciaire B3, attestation ADELI, attestation d’assurance
responsabilité civile professionnelle, les contrats professionnels
en cours. Il propose un vote à main levée qui est accepté par le
Conseil. Alain Poirier s’abstient, 18 Conseillers votent pour, la
motion est adoptée à la majorité moins une l voix. Concernant la
date butoir pour l’information des Conseils Départementaux,
concernant cette liste de pièces obligatoires, les conseillers se
prononcent pour le 30 mars en conférence des présidents Adopté à
l’unanimité.
3. Mise en place de la commission « exercice illégal »,
Jean-Paul David indique qu’Yves Azzopardi assurera le pilotage de
cette commission. Yves Azzopardi souhaite que l’on puisse se
focaliser sur un ou deux cas que les Conseils Départementaux
pourraient nous faire remonter et qui serviraient d’exemples. Cette
commission sera constituée de 5 personnes. Lionel Jourdon
souhaiterait que cette commission soit jointe à la promotion de la
profession. Jean-Paul David l’objet de cette commission ne peut pas
s’occuper de la promotion, c’est plutôt un débat relevant du
Conseil. Certains experts seront sollicités. Philippe Vignaud cette
commission ne pourrait-elle pas être composée de plus de membres ?
Yves Azzopardi indique que les experts ne seront pas présents de
façon systématique. Ils seront sollicités et entendus autant que
nécessaire. Jacques Lapouméroulie indique qu’il lui semble
nécessaire que la commission s’attache les compétences d’un avocat.
Cette commission doit aussi être force de proposition sur la
promotion de notre profession. Michel Paparemborde lui répond que
la promotion pourrait se faire plutôt à partir de la commission de
réflexion sur la définition de la masso- kinésithérapie. Yves
Azzopardi précise que le constat de carence qui pourrait être fait
dans la commission exercice illégal pourrait déboucher sur des
objectifs de promotion. François Maignien souhaite que les missions
des membres du Conseil National ne soient pas dépouillées des
décisions qui lui reviennent par le biais de la constitution de
trop nombreuses commissions. Jean-Paul David sollicite les
candidatures à cette commission d’exercice illégal. Se présentent
Didier Evenou, Georges Papp, Yves Azzopardi, Lionel Jourdon, René
Couratier, Marcel Michalon.
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Un vote à bulletin secret est organisé. Sont élus : Georges Papp :
19 voix, Lionel Jourdon :17 voix. Yves Azzopardi : 16 voix, René
Couratier : 15 voix ; Didier Evenou : 13 voix
4. Compte rendu des rencontres avec La Haute Autorité de
Santé,
Jean Paul David fait état des deux entrevues qui se sont tenues le
17 janvier 2007 au siège de la Haute Autorité de Santé et le 08
février 2007 au siège du Conseil National. Lors de ces entrevues,
la Haute Autorité de Santé nous a précisé qu’elle ne souhaitait pas
reproduire ce qui se passe aux Unions Régionales des Médecins
Libéraux, mais plutôt construire un dispositif basé sur une
pédagogie de l’Evaluation des Pratiques Professionnelles qui mette
l’accent plus sur l’aspect formation que sur celui du contrôle.
Nous avons décidé avec la Haute Autorité de Santé de mettre en
place une convention de partenariat. Ce point a été plus
complètement abordé lors de la 2 ème
rencontre au siège qui a abouti à la constitution des éléments sur
lesquels cette convention pourrait être élaborée. Eric Pastor
explique qu’il existe un lien fonctionnel entre la Formation
continue et l’Evaluation des Pratiques Professionnelles. Il nous
faut réfléchir à l’implication des différents niveaux de l’Ordre et
aux compétences que chacun de ces échelons doit posséder. Le
National aurait comme mission de définir les orientations de
l’Evaluation des Pratiques Professionnelles avec la Haute Autorité
de Santé en lien avec les problématiques de Santé publique, le
Régional aurait pour mission de construire le dispositif
d’appropriation, le Départemental de diffuser le message ainsi
construit. Didier Evenou indique que la Haute Autorité de Santé
nous a fait passer la notion de vision collective de l’Evaluation
des Pratiques Professionnelles, tels les groupes de pairs, les
staffs pluri disciplinaires, les réseaux de santé. Le lien
indissociable entre l’Evaluation des Pratiques Professionnelles et
la formation continue est prégnant dans cette vision. Lionel
Jourdon pose la question de savoir si la Haute Autorité de Santé a
prévu des fonds complémentaires pour soutenir ces missions de
l’Ordre. Jean Paul David répond que les finances de l’Ordre seront
sollicitées, mais elle nous amènera les méthodes et éventuellement
sa logistique en appui. François Maignien souligne que ce débat est
éminemment politique. Le rôle des formateurs ne devrait pas, selon
lui, se substituer à celui des évaluateurs. Nous ne devons pas
suivre obligatoirement ce que la Haute Autorité de Santé souhaite
faire passer. Jean Paul David tient à préciser que la convention ne
sera pas signée sans que cela passe devant le Conseil National.
Didier Evenou précise que la Haute Autorité de Santé semble évoluer
vers une démarche plus formative que sanctionnante. André Calentier
se demande où se trouve la limite entre formation et évaluation?
Est ce que la formation continue conventionnelle ne devrait pas
être intégrée à la réflexion ? Eric Pastor précise que l’évaluation
se doit d’être non sanctionnante basée sur l’autoévaluation et non
sur le flicage. Il faudra préciser les critères de qualité
concernant à la fois les formateurs, la formation et son contenu,
les organismes de formation, et réfléchir aux critères pédagogiques
à mettre en place qui sont essentiels au passage du message et à
l’appropriation par les professionnels.
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Michel Rusticoni indique qu’il y a eu une expérience sur les
groupes de pairs. A la demande de Jean Paul David, Michel Rusticoni
fournira au Conseil le rapport de cette expérience financée par le
Fonds d’Aide à la Qualité des Soins de Ville. Alain Poirier indique
qu’en mars 2002, une réunion sur un projet de décret au ministère
sur l’Evaluation des Pratiques Professionnelles s’est tenue. Il en
est ressorti que les évaluateurs seraient formés par la Haute
Autorité de Santé et habilités par l’Ordre pour une durée de 5 ans.
L’évaluation individuelle devant se faire sur la base du
volontariat. L’Ordre doit maintenir ses compétences mais pas
accréditer les formateurs. La décision finale est politique et
appartient à l’Ordre. La Formation Continue Conventionnelle n’est
pas dans nos prérogatives. Eric Pastor souligne que nous avons un
rôle prépondérant dans la création d’un lien entre la Formation
Continue et l’Evaluation des Pratiques Professionnelles. En effet
l’Evaluation des Pratiques Professionnelles est prescriptrice de la
Formation Continue. Cela fait partie des prérogatives qu’il nous
faut essayer d’obtenir. Il nous faudra également présenter
l’Evaluation des Pratiques Professionnelles aux professionnels
comme une amélioration des pratiques même si les textes légaux
n’emploient pas ce vocable, du fait que les professionnels sont
censés être, de par leur diplôme, de bons professionnels.
5/ Communication sur l’avancée des travaux du système
d’information,
Présentation de Miriam Carrasco, sur le projet d’intégration des
systèmes : trois axes : expression des besoins, solution
informatique, planning du projet. COGESER assure la réalisation de
la construction, le bon fonctionnement, fournit les logiciels et
assure la relation avec BOOST. BOOST, est l’hébergeur choisit par
COGESER qui gère et exploite les plates-formes technologiques.
EUROTVS est notre service d’acheminement. Lionel Jourdon pose la
question de savoir si la formation de la secrétaire administrative
des Conseils Départementaux sera prise en charge ? Yvan Tourjansky
répond que la formation se fera au siège où nous aurons les
fonctionnalités informatiques adéquates pour recevoir des groupes
de 10 personnes. Cela sera mis en place après l’installation des
sites pilotes. Georges Papp pose la question de savoir si les
membres des Conseils Départementaux et des Conseils Régionaux
seront formés ? Miriam Carrasco précise que l’on ne pourra pas
développer une formation de masse considérant le nombre de
structures et d’élus concernés mais que la formation pourra être
réalisée progressivement au coup par coup.
10/ Le point sur l’ostéopathie, compte rendu de la réunion du 20
décembre, (point abordé avant le point 6)
Michel Paparemborde indique que la 8 ème
résolution du Conseil National du 14 décembre 2006 avait mandaté le
bureau pour saisir un avocat en Conseil d’Etat sur les futurs
décrets. Maître Farge, qui a été choisi, est également l’avocat des
médecins rhumatologues. Il nous a précisé que le Conseil d’Etat
juge de la conformité à la loi et de la précision du décret qui en
découle. L’avocat peut adresser un mémoire à la section sociale du
Conseil d’Etat, laquelle n’accuse jamais réception. Ce mémoire peut
servir à l’instruction. Quand les décrets sortent, il est possible
de faire ou ne pas faire un recours avec débat contradictoire, ce
qui n’est pas le
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cas avant. Cela permet également d’obtenir tous les mémoires des
avocats sur cette problématique. La Haute Autorité de Santé
consultée a rendu un avis non exploitable. François Maignien
indique qu’avant que le gouvernement arrête les décrets, nous
avions les médecins avec nous, apparemment ce n’est plus le cas.
Qu’en est il ? Le fait que l’on s’associe avec le syndicat des
rhumatologues affilié à la CSMF peut poser un problème de
positionnement. Jean Paul David précise que notre angle d’attaque
sur cette problématique fait que nous sommes en perspective
d’augmentation de compétences là où les médecins sont en maintien
de compétence. François Maignien se pose la question de savoir si
l’on fait un mémoire commun avec les médecins où la notion de libre
accès risque d’être remise en question ou si nous le faisons seul ?
Lionel Jourdon s’interroge de savoir si le mémoire est commun, est
ce que l’on aura un mémoire commun ou en 2 parties ? Jacques
Vaillant indique que la tendance à la déréglementation ne va pas
dans notre sens. René Couratier indique qu’il y a des incohérences
suffisantes dans le décret pour qu’en droit cela puisse nous
permettre de faire casser le décret. Jacques Lapouméroulie souhaite
que l’on attende l’avis du Conseil d’Etat. Il lui paraît important
de rencontrer le syndicat des rhumatologues concernés pour
réfléchir à la construction d’un mémoire avec des arguments communs
éventuels. Alain Poirier indique qu’il lui semble que les
incohérences seront levées par la section sociale du Conseil
d’Etat. Si les arguments se contredisent au niveau du mémoire, son
éthique ne pourra pas autoriser l’avocat à faire un mémoire commun.
Jean Paul David souhaite que nous soulignons notre volonté de ne
pas reconnaître les « ni
ni» et ensuite l’accès direct sera la 2 ème
étape. François Maignien souhaite ne pas attendre la sortie du
décret en Conseil d’Etat pour se rapprocher des médecins
rhumatologues afin de nous assurer de la cohérence de nos démarches
respectives. Il faut le faire dès maintenant. René Couratier
approuve cette nécessité de se rapprocher rapidement et
l’envisageait déjà. Georges Papp se pose la question de savoir
pourquoi ne pas créer une cellule de crise ? Jean Paul David
indique qu’elle existe de fait. Elle est constituée de Jacques
Lapouméroulie et de Michel Paparemborde. Ils sont en charge de ce
dossier. Alain Poirier s’interroge sur le fait de savoir si Maitre
Barthélémy a été contacté ? Michel Paparemborde lui répond que non.
François Maignien demande à savoir qui a saisi en premier l’avocat
? Michel Paparemborde lui répond que la saisine a été conjointe. 6.
Communication sur la commission règlement intérieur, Jean Paul
David indique que le travail a été commencé sur la base d’un texte
concernant le conseil national. Ensuite il pourrait servir
d’exemple et être décliné sur le plan départemental notamment sur
la comptabilité, la trésorerie et les finances. Didier Evenou
indique que ce futur règlement intérieur national pourra servir
d’exemple aux Conseils Départementaux qui auront libre choix de
leur propre règlement intérieur à condition qu’il n’entre pas en
contradiction avec le règlement intérieur du Conseil national. Le
problème des suppléants se pose. Le conseil juridique nous a fourni
un projet de règlement intérieur qui pourrait servir de base de
travail à la Commission. La prochaine réunion est prévue dans 15
jours.
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François Maignien indique qu’il ne s’exprimera que lorsque la
commission rendra son rapport.
7. Communication sur la commission code de déontologie,
André Calentier demande quel est le taux de retours concernant les
réflexions des départements.? Il souhaite savoir si la commission a
tenu compte des avis des Conseils Départementaux ? René Couratier
lui répond que, bien sûr, la commission a tenu compte des avis. Ils
ont d’ailleurs été plus nombreux à la première révision qu’à la
deuxième. Eric Pastor indique qu’il a été prévu que la conférence
des présidents aura pour mission de présenter le code de
déontologie avec les articles qui posent de réelles questions
éthiques. Il n’y aura pas de vote sur ce code en conférence, et les
départements recevront la version définitive avant présentation. Le
Conseil National sera destinataire du code très rapidement du fait
de l’avancée des travaux. François Maignien indique que la FFMKR
souhaitait être reçue et il suggère de les recevoir. Jean Paul
David lui répond que nous pourrons donner seulement la tendance du
travail de la commission. Il pose la question de savoir si on les
invite avant le 30 mars ? Gérard Colnat indique que la commission
n’a pas réfléchi uniquement sur un plan conventionnel, car elle a
pris en compte tout le champ de l’exercice de la profession. Jean
Paul David précise que cela sera fait si possible à la prochaine
réunion de bureau ou la suivante.
8. Mise en place d’une FAQ sur notre site,
« Frequently Ask Questions » ou en français les questions les plus
fréquemment posées. Jacques Vaillant et René Couratier s’en
chargeront.
9. Compte rendu de la conférence des Trésoriers des CDOMK,
Lionel Jourdon pose la question de savoir si les excédents
financiers des Conseils départementaux seront repris en fin d’année
?
Yvan Tourjansky répond que certains Conseils départementaux ont
présenté des budgets prévisionnels faisant apparaître des déficits
de l’ordre de 70.000 euros alors que d’autres font apparaître des
excédents de l’ordre de 180 000 euros. La responsabilité en matière
de gestion budgétaire demeure entière.
Il est indispensable de gérer au mieux la part des cotisations
reçues dans le cadre des missions ordinales. Il n’est pas question
de désavantager ceux qui gèrent leurs finances de façon éclairée,
c’est pour cela que les excédents seront laissés aux Conseils
départementaux.
Alain Poirier réagit en s’inquiétant que l’on puisse poser ce genre
de question alors que pour lui les Conseils départements sont
totalement autonomes.
Yvan Tourjansky répond en rappelant que c’est le conseil national
qui a la charge de contrôler les placements de l’Ordre et que dans
ce cadre nous pourrions envisager en cas d’excédents trop
importants de redéfinir la répartition des quotités de
redistribution des
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cotisations afin de limiter ces excédents. Il rappelle à
l’assemblée que c’est au Conseil National que le législateur a
confié la gestion des biens de l’Ordre.
François Maignien s’interroge sur le fait que le fonds
d’harmonisation a bien pour mission de faire la péréquation entre
les Conseils départementaux ou bien d’harmoniser les budgets
?
Yvan Tourjansky lui répond que le fond d’harmonisation est destiné
à permettre aux Conseils départementaux d’avoir les moyens
financiers en adéquation avec leurs missions.
11. SASCNOMK, le point,
René Couratier indique qu’un courrier est parti au ministère de la
santé concernant les sections d’assurances sociales des médecins.
En effet, au niveau des départements les situations sont très
hétéroclites. Peut-on passer d’une juridiction à l’autre (des
médecins aux masseurs-kinésithérapeutes)? Nous souhaitons prendre
rendez vous avec l’Ordre national des médecins sur ce sujet. Il est
demandé à l’assemblée de donner mandat au bureau pour prendre un
rendez-vous dans ce sens.
Le conseil donne mandat à l’unanimité au bureau pour prendre
contact avec le Conseil National des Médecins afin d’aborder le
problème évoqué.
Alain Poirier s’interroge sur les éléments qui s’opposent à la
nomination par le Conseil National de deux assesseurs à la SASCNOMK
en signalant ces nominations au ministère ?
René Couratier lui répond qu’il est nécessaire qu’un décret
autorise le passage d’une juridiction à l’autre.
Jean Paul David indique que c’est une stratégie qui permettrait de
forcer la main au ministère. Ce point sera mis à l’ordre du jour du
prochain Conseil National plénier.
Jacques Vaillant, Philippe Vignaud, Jacques Lapouméroulie, Michel
Paparemborde prennent congé17.30 pour des impératifs de
transport.
12. Questions diverses.
Georges Papp demande si, dans le cadre des frais de transport,
l’achat des cartes senior seront pris en charge ? Jean Paul David
indique qu’elles seront vraisemblablement prises en charge du fait
des économies substantielles que cela fait réaliser à
l’Ordre.
François Maignien souhaite savoir où en est le décret sur les
élections régionales ? René Couratier lui répond que les dernières
informations reçues du ministère indiquent que la publication est
imminente.
L'ordre du jour étant épuisé et personne ne demandant plus la
parole, le Président déclare la séance levée à 17.40 heures.