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Colloque "inversé" de l'Adie

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Colloque « inversé » de l’Adie Sciences Po Paris8 février 2012

L’objectif du colloque « inversé » de l’AdiePorter le message des créateurs d’entreprises afin de mieux connaître la réalité et les difficultés de la création d’entreprises en France.

Le moyen Inviter les patrons d’entreprises, responsables politiques, universitaires, à écouter les témoignages de créateurs soutenus par l’Adie, puis favoriser un échange entre eux.

Finalité Réunir les contributions du colloque afin d’éditer un Livre blanc de propositions à l’attention des candidats à l’élection présidentielle

Temps 1 (5’) Ouverture du colloque par Isabelle Giordano et introduction par Catherine Barbaroux, Présidente de l’Adie, et Héritier Luwawa, créateur soutenu par l’Adie.

Temps 2 (20’) 3 créateurs sur scène racontent leurs parcours à Isabelle Giordano

Temps 3 (20’) 3 autres créateurs montent sur scène pour partager leurs témoignages

Temps 4 (20’) Yann Algan et Élise Huillery, économistes et professeurs à Sciences Po, montent sur scène et contribuent au débat.

Temps 5 (15’) Présentation du « live tweet » et explications techniques, puis séance de « live tweet » : envoyez vos contributions par Twitter, SMS ou email.

Temps 6 (max 60’) Le public est invité à prendre la parole

Temps 7 (5’) Conclusion de Catherine Barbaroux

Colloque « inversé » de l’Adie Le déroulement

Colloque « inversé » de l’Adie Sciences Po Paris8 février 2012

Les six créateursAvant leur montée sur scène

L’arrivée dans l’amphithéâtre Boutmy

L’amphi BoutmyPrès de 500 personnes

Ouverture du colloqueCatherine Barbaroux, Présidente de l’Adie, et Héritier Luwawa, créateur

Temps 1

Les créateurs prennent la parole

C hris tine Andréoli: " À l'Adie on n'es t pas qu'un numéro de doss ier. »

Christine AndréoliÉlevage d’escargots

Temps 2

« On doit faire énormément d'administratif au lieu de faire notre métier »

« Le régime auto-entrepreneur est presque trop simple ! Mais l’important, c’est d'être accompagné »

Jean-Pierre GestinVente et réparation de vélos

Temps 2

« Les banques ne me suivaient

pas. Le microcrédit de

l’Adie m’a permis de me

lancer » Georgette KoumbaImport/Export de produits capillaires

Temps 2

« Si toutes les administrations pouvaient avoir accès à un dossier unique basé sur le numéro Siren, cela serait plus

simple pour elles comme pour les entreprises. »

« Il n’est pas indispensable d’avoir un diplôme pour travailler, il faut surtout de la motivation et une formation »

Jérôme CrignonLavage écologique de voitures

Temps 3

« Il est important d’être accompagné aux différents stades. Pas seulement avant, mais aussi après »

« Je ne comprenais pas pourquoi le personnel de l’Adie m’appelait. Je n’avais pas compris

qu’ils voulaient suivre mon projet après m’avoir accordé le prêt. »

Létitia GhérhesPsycho-socio-esthéticienne

Temps 3

« C’était important de pouvoir capitaliser mes 6 années de salariat »

« Grâce à l’Adie, j’ai rencontré le Président de KPMG qui a aimé mon projet, et au final il a 20% de parts dans

l’entreprise. Il faut mettre en réseau les

entrepreneurs. »

Héritier LuwawaServices de ménage écologique

Temps 3

AttentifsCatherine Barbaroux, Présidente de l’Adie, et Jean-Paul Huchon, Président du Conseil régional d’Île de France

Elise Huillery : "le microcrédit est une réponse majeure à la pauvreté »

Yann Algan : "La spécificité du microcrédit est de marier innovation

financière et innovation sociale »

Yann Algan et Élise HuilleryÉconomistes et professeurs

à Sciences Po

Temps 4

Live TweetExplications

Temps 5

Live TweetLe public joue le jeu

Temps 5

Participation du public

Temps 6

ConclusionCatherine Barbaroux, Présidente de

l’Adie, et Lolita N’Sondé,?.

Temps 7

Les créateurs à l’honneur