CHASSE - FDC06

BULLETIN D’ INFORMATION INTERNE DE LA FÉDÉRATION DES CHASSEURS DES ALPES-MARITIMES

RECENSEMENT DES CHAMOISdu massif de Bas-Thorenc

ECOLE DE TIRdans les Alpes-Maritimes

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CHASSEE N PAY S D ’ A Z U R

N°61

BÉCASSESSYNTHÈSE DE LA SAISON

2015/2016

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Chers amis,La saison de chasse 2016 se termine lentement avec ses moments de joie, de partage et de désagréments.

Avant l’échéance électorale de 2017, au niveau national en cette fin d’année, les attaques écologistes contre la chasse fusent. Ils profitent de cette période car la plupart d’entre nous s’adonnent à leur passion favorite.

Lors du dernier CNCFS les chasseurs et pro-chasses, à l’exception de l’ANCGG, ont quitté la réunion pour faire part de leur désaccord sur la mise en place de la loi d’avenir agricole concernant les dégâts forestiers. L’application des mesures prévues risquent en effet d’entraîner à moyen terme, la faillite de la plupart des Fédérations Départementales de Chasseurs.

Au niveau des réseaux sociaux les écologistes sont très virulents, preuve en est de l’attaque inacceptable dont ont été victimes via la fondation Brigitte Bardot, 30 millions d’amis et autres intégristes écologistes Luc Alphand et Pascal Olmeta, sous le seul prétexte que ce sont des chasseurs qui revendiquent haut et fort leur passion.

Enfin, notre secrétaire d’état, Mme POMPILI a tenté de mettre à l’ordre du jour de toutes les CDCFS l’interdiction de la chasse le dimanche. C’est pour préparer notre défense que nous vous avons demandé de nous faire parvenir au fur et à mesure les résultats de vos battues en restant bien conscients des contraintes supplémentaires que cela a entrainé. La mise en place d’un nouveau logiciel concernant les tableaux de chasse devrait vous simplifier cette saisie l’année prochaine.

Tous ces problèmes et la mise en place du nouvel organigramme de la Fédération Nationale ne m’ont pas permis de venir partager quelques sorties de chasse avec vous. Mais, j’espère que vous en avez profité à ma place.

Au niveau Départemental, la nouvelle épidémie de Kérato-conjonctivite sur les chamois semble à ce jour moins virulente que la précédente. Les chaleurs du début de saison ont rendu la chasse de celui-ci bien plus délicate que les années précédentes. Les populations de chevreuils et de mouflons restent très disparates en raison de la pression du loup.

Concernant les sangliers, on semble s’acheminer vers une année record tant les équipes de battues ont été efficaces, en espérant que cette surpopulation n’impactera pas trop les dégâts agricoles. On se doit, toutefois de rester vigilant concernant la maladie d’Aujeszky qui en plus du foyer de l’est du département semble exister sporadiquement sur un peu tout le département. Notre service technique vous présentera en fin de saison les résultats de la campagne de dépistage que nous avons menés avec votre collaboration.

Enfin, avec la vague de froid, les Bécasses sont arrivées et des concentrations par endroit très satisfaisantes ont été observées.

A toutes et à tous, je vous souhaite une bonne fin de saison cynégétique riche en émotion avec un objectif principal la sécurité et de joyeuses fêtes de Noël et de fin d’année.

Votre Président Fédéral JP CAUJOLLE

CHASSEE N PAY S D ’ A Z U R N° 61

De la nature à chez vous…

QUELS COCKTAILS pour combattre l’hiver?

Une déco « nature » : des morceaux de branches, des pommes de pin, des branches d’arbres et … des paillettes parce que, quand même, c’est Noël !

Aujourd’hui, pour compléter la déco, je reviens avec des bougeoirs réalisés avec des branches d’arbres ramassées dans le jardin.

Les agrumes : ils contiennent tous de la vitamine C, un véritable remède préventif contre les infections.

Les épices : chacun a son action bienfaisante pour notre corps ou notre forme! De plus, leur action vasodilatatrice permet une meilleure irrigation des cellules et donc une production plus importante d’enzymes qui aident à nous réchauffer. Parmi les épices et leurs vertus la cannelle qui a un effet antioxydant.

Apple tea Ingrédients pour 1 personne • 1/2 bâton de cannelle

• 1 cl de sirop de miel

• 8 cl de jus de pommes

• 8 cl de thé

«L’Apple tea» se prépare directement dans le verre.

• Faire chauffer dans une casserole à feu doux, le thé, le jus de Pomme, le miel et la cannelle.

• Servir dans un verre épais type «chope».

VOILÀ CE QU’IL FAUT : des morceaux de branches d’arbre de la même hauteur que la bougie (tous d’un diamètre iden-tique tant qu’à faire) .

Pour aider à mettre en place ces morceaux de

bois glissez un élastique autour de la bougie.

Disposez ensuite les branches tout autour en

les glissant dans l’élastique.

Lorsque vous avez fini, entourez le tout d’un fil

doré pour maintenir les bois mais surtout pour

créer le côté design.

Ramassez quelques pommes de pin.

Saupoudrez-les de paillettes…

Votre chemin de table est prêt…la magie de Noel peut commencer

2

Le 24 août 2016, le Conseil d’Administration de la Fédération nationale des chasseurs (FNC) s’est réuni et a procédé au renouvellement de son Bureau. Ont été élus :

Président : Monsieur Willy SCHRAENVice-président délégué : Monsieur Alain DURANDVice-président : Monsieur Hubert-Louis VUITTONSecrétaire : Monsieur Jacky DESBROSSESecrétaire : Monsieur André DOUARDTrésorier : Monsieur Pascal SECULATrésorier adjoint : Monsieur Alain HURTEVENT

COURTE BIOGRAPHIE DE WILLY SCHRAEN :

En résumé, un chasseur et un pêcheur passionné, un rural engagé et un chef d’entreprise motivé.

Willy Schraen vient d’être élu, le 24 aout 2016, Président de la Fédération Nationale des Chasseurs (FNC) qui est l’organisation officielle du monde de la chasse, regroupant l’ensemble des fédérations départementales et régionales des chasseurs et représentant les 1,1 million de chasseurs de France. La FNC assure la défense de la chasse française auprès des pouvoirs publics et coordonne l’action des fédérations départementales qui ont en charge la gestion de la chasse, des chasseurs et du gibier ainsi que des missions de service public s’y rapportant. Dans le monde cynégétique, Willy Schraen est depuis 2010 président de la fédération départementale des chasseurs du Pas-

de-Calais, et depuis 2012 président de l’Institut scientifique Nord Est Atlantique(ISNEA). Il est l’un des fondateurs de cet organisme, avec d’autres présidents de fédérations des chasseurs, destiné à améliorer les connaissances sur l’ensemble de la faune migratrice et sédentaire. D’abord passionné de petit gibier et de gibier d’eau pendant sa jeunesse, il a découvert après 30 ans la chasse au grand gibier qui est devenue un autre de ses centres d’intérêts cynégétiques.Il est aussi passionné de pêche et fait partie d’un club de pêche en mer.Amateur de chiens de chasse, il a toujours eu plusieurs fidèles compagnons pour pratiquer la chasse devant soi.… / …

Sur le plan professionnel, il crée sa première entreprise de négoce de fleurs à l’échelle européenne à 22 ans, ce qui le conduit à parler plusieurs langues.Autodidacte, il s’est associé avec son frère pour concevoir et développer une chaine de magasins de fleurs qui sont installés dans le Nord-Pas-de-Calais. En complément de cette activité, il est aujourd’hui très impliqué dans l’immobilier commercial dans toute la région des Hauts de France.Il a toujours vécu à la campagne. Il est né dans un village des Flandres françaises le 5 septembre 1969, dans le département du Nord. Aujourd’hui il habite toujours un petit village mais dans le Pas-de-Calais. Elu conseiller municipal à l’âge de 18 ans, dans le village de Broxeele, il reste attaché à cet engagement et occupe toujours des fonctions d’élu local au sein de son village de Bayenghem lès Eperlecques.

Membre du Bureau de la FNC De gauche à droite : Pdt Hurtevent ; Pdt Sécula ;

Pdt Vuitton ; Pdt Schraen ; Pdt Durand ; Pdt Desbrosse ; Pdt Douard.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Monsieur Willy SCHRAENélu à la tête de la FNC

PLAN DE CHASSE ONGULÉS Saisie et Analyse des Constats de tir

14

sommaire CHASSEE N PAY S D ’ A Z U R

5

7 12

1617

RECENSEMENT DES CHAMOIS du massif de Bas-Thorenc

ÉLÉCTIONS FNC

AUDIENCE

LA MALADIED’AUJESZKY Premiers résultats

BÉCASSESSynthèse de la saison

COMMISSION LIÈVRE

21BALL TRAP

JOURNÉE JEUNES et nouveaux chasseurs

N°61

Conception, réalisation et régie publicitaire : SEA’COM - Impression IAPCA - www.riccobono.frCrédits photos : Bernard Bonifassi, Olivier Bayard, F. Vilain, P. Zabe et Fotolia

6 8

182220

ECOLE DE CHASSE ET DE TIRUDUCR 06

SAINT-HUBERT UTELLE

4 5Actualités cynégétiques nationales

Une délégation de la Fédération Nationale des Chasseurs conduite par son président, Willy Schraen, accompagné d’Hubert Vuitton et Pascal Sécula, a été longuement reçue hier à l’Elysée par le Président de la République, François Hollande.

Dans une ambiance studieuse et très cordiale, les représentants de la chasse française ont pu faire un point détaillé sur les projets de réformes de la nouvelle équipe dirigeante de la Fédération Nationale des Chasseurs, ainsi que sur les dossiers d’actualité.

DES REMERCIEMENTS APPUYÉSAu préalable, Willy Schraen a remercié le Président de la République pour l’ensemble des arbitrages effectués au cours des 27 mois de débat autour de la loi pour la reconquête de la biodiversité, défendue au Parlement par la ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal.

Le président de la FNC a également salué l’action déterminante du Président de la République pour inclure les représentants des chasseurs dans la gouvernance nature et dans la majorité des instances de décision des politiques agricoles et forestières.

De même, la consolidation de la filière chasse avec le maintien de l’indépendance de l’ONCFS à l’égard de l’Agence Française de la Biodiversité (AFB) a été soulignée par Willy Schraen, car il a fait l’objet d’un arbitrage très clair du Président de la République.

DES RÉFORMES NÉCESSAIRES POUR LA CHASSE FRANÇAISEIls ont ensuite présenté au Président de la République les principales mesures qui doivent faire l’objet d’un programme de réformes à débattre au sein de la chasse française et à négocier ensuite avec les différents ministres concernés et avec le Premier ministre.

Du permis unique à l’examen simplifié, en passant par la défiscalisation, la dématérialisation, la réforme des statuts et diverses mesures de simplification, l’échange a été constructif et direct avec François Hollande.

Le Président de la République partage cette volonté de réformer la chasse afin de faciliter son renouvellement et son accès à un coût raisonnable pour de nouveaux chasseurs.

Il a pris l’engagement d’adresser une lettre d’intention à tous les ministres, et ils sont nombreux, qui doivent participer à cette négociation sur les réformes. Il fera de même avec le Premier ministre afin que ce dernier reçoive rapidement les représentants de la FNC.

Seront concernés en priorité par un ou plusieurs sujets, les ministres de l’Ecologie, de l’Agriculture et de la Forêt, de l’Intérieur, de la Ruralité, de l’Education nationale, de la Justice, de la Culture, du Budget et de la Simplification.

Concernant la bonne mise en œuvre des réformes nécessaires à la chasse française, le président Willy Schraen a demandé officiellement au Président de la République de prolonger jusqu’en décembre 2017 la mission de Jean-Pierre Poly à la tête de la direction générale de l’ONCFS, en saluant son professionnalisme et son sens de l’Etat. Le Président de la République a considéré comme parfaitement légitime cette requête et attend l’analyse juridique du ministère de l’Ecologie pour faire valider cette prolongation.

DES INITIATIVES À STOPPERLe Président de la FNC a plaidé pour que l’on suspende au plus vite les initiatives intempestives du Secrétariat à l’Ecologie qui cherche à mettre en place la mutualisation des services de police dans les départements, alors que l’AFB n’est pas encore opérationnelle. La FNC souhaite un moratoire complet, qui est aussi demandé par les syndicats, afin que l’AFB se mette en place sans nuire à l’indépendance et au bon fonctionnement de l’ONCFS dans les départements. Le Président de la République a confirmé qu’il était favorable à cette mesure de bon sens.

Pour Willy Schraen, il est inconcevable que l’arbitrage présidentiel sur l’indépendance de l’ONCFS soit remis en cause. Il a ensuite précisé à François Hollande les raisons qui l’avaient conduit à polémiquer avec la Secrétaire d’Etat à la biodiversité sur le partage de la nature, après avoir découvert son initiative visant à généraliser sans la moindre concertation, les mesures de la préfecture de Haute-Savoie prises en situation de crise dans un contexte très spécifique. Il a souhaité que la concertation soit la règle élémentaire de la collaboration avec le Secrétariat d’Etat à la biodiversité, ce qui n’est pas le cas jusqu’à présent.

DES NÉGOCIATIONS À ACCÉLÉRERLes représentants de la FNC ont insisté auprès du Président de la République pour que la signature de la Convention nationale sur l’Education à la nature soit effectuée au plus vite, car les fédérations l’attendent depuis 2 ans.

Le Président de la République est favorable à cette signature et l’Elysée va consulter la ministre de l’Education nationale.

Les réformes européennes nécessaires pour régler les conflits et tensions sur les chasses traditionnelles et sur la chasse aux oies en février ont fait l’objet d’un échange détaillé. La FNC a insisté sur le caractère symbolique attachée à ces pratiques de chasse alors que les prélèvements effectués sont dérisoires.

Les dérogations spécifiques pour la chasse à l’ortolan et pour celle du pinson ont été abordées. Pour les oies, le président Willy Schraen a salué la bonne volonté de la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal depuis 2 ans, tout en plaidant pour une procédure qui s’intègre dans le plan de gestion européen qu’elle a initié avec les pays concernés. Le Président de la République

qui connait bien les polémiques sur les dates de chasse depuis les années 2000, a confirmé qu’il était souhaitable de trouver des solutions plus pérennes qui répondent aux attentes des chasseurs.

Les représentants de la FNC ont salué l’évolution positive de la loi Montagne présentée par Jean-Michel Baylet lors du débat à l’Assemblée nationale et ont apprécié les interventions utiles de l’Elysée pour assouplir le projet de loi.

Si les mesures environnementales dans les Parcs naturels régionaux ont fait l’objet d’un toilettage indispensable, les chasseurs sont toujours en attente de savoir s’ils pourront être représentés dans les instances du Conseil national de la Montagne et dans les Conseils de massifs, selon la place accordée ou non aux associations.

La FNC a souligné que l’augmentation des quotas de prélèvements des loups allait dans le bon sens, mais qu’il serait nécessaire d’aller plus vite et plus loin au regard de l’augmentation des populations, comme cela a été demandé au cours des débats de la loi montagne.

La réforme européenne sur les armes a fait l’objet d’un point résumé pour le Président de la République afin qu’il plaide auprès du ministre de l’Intérieur sur l’importance de la concertation permanente avec le Comité Guillaume Tell. Nous rentrons dans la phase finale du vote de la directive armes en novembre 2016 et sa transposition devrait être très rapide. D’autres points devront être abordés avec le ministre concernant les interdits d’armes et le FINIADA. Le Président de la République a souligné la priorité que doit présenter la lutte contre la criminalité organisée et le terrorisme, mais que cela ne devait pas impacter les règles concernant les détenteurs légaux d’armes à feu.

DES SUJETS QUI NOUS CONCERNENTLes contraintes financières qui vont s’accroitre prochainement sur la presse fédérale ont fait l’objet d’une requête de la FNC et d’une demande d’audience avec la ministre de la Culture sur la possible création d’une catégorie de journaux du savoir et de la connaissance.

Le président de la FNC a insisté sur le fait que le monde de la chasse s’investissait de plus en plus dans la mise en œuvre d’actions pour le maintien de la biodiversité dans les territoires ruraux et que ces interventions doivent être soutenues. Willy Schraen a pris l’exemple de la réhabilitation des chemins ruraux qui peut représenter un atout dans la défense de la biodiversité ordinaire.

Enfin, les représentants de la FNC ont souligné l’importance du rapprochement des domaines de Chambord et de Rambouillet à la fois en matière de gestion de la partie forestière et cynégétique des domaines et des projets de valorisation proposés par le directeur général de Chambord et soutenus par Gérard Larcher, François Baroin et Claude Bartolone.

Pour conclure ce long échange très constructif, le Président de la République a répondu favorablement à Willy Schraen pour programmer une nouvelle réunion de travail en février 2017 afin de faire le point sur l’avancée des négociations avec les différents ministres.

LA MALADIE D’AUJESZKY SUR SANGLIER DANS LES ALPES-MARITIMES

RAPPELAu cours du printemps 2016, la Direction Départementale de la Protection des Populations (DDPP) informait la FDC06 d’un cas de maladie d’Aujeszky sur un hybride porc/sanglier en provenance d’un élevage situé sur la commune de Sospel et de chiens morts de cette même maladie après avoir consommé le cadavre laissé à l’abandon d’un de ces hybrides porc/sanglier.

Un courrier avait été adressé à l’ensemble des adhérents territoriaux afin de les informer sur cette maladie, sur les risques encourus par les chiens et particulièrement les chiens de chasse et sur les mesures élémentaires de prudence à adopter. Une information a également été dispensée lors de réunions auprès d’associations de chasse spécialisées.

Dans le même temps, le conseil d’administration de la FDC06 prenait l’initiative de lancer une étude sur la maladie d’Aujeszky. L’objectif consiste à obtenir un nombre minimum de prélèvements par commune afin d’estimer la répartition géographique de cette maladie et la proportion de sangliers contaminés.

A cet effet, les associations de chasse des Alpes-Maritimes ainsi que les lieutenants de louveterie ont été sollicités pour réaliser des prélèvements de sang sur sangliers.

Le nombre de sérobuvards distribués devrait permettre d’atteindre environ 1000 prélèvements pour l’ensemble du département, pour autant que toutes les associations de chasse destinataires les renvoient à la FDC06 et qu’ils soient tous exploitables.

RÉSULTATS AU 30 NOVEMBRE 2016Les prélèvements de sang utilisés pour la recherche de la maladie d’Aujeszky sur sangliers sont réalisés à partir d’animaux abattus, selon une méthode simple qui consiste à imbiber de sang des buvards élaborés à cet effet. Ces « sérobuvards » ont été distribués aux associations communales de chasse ainsi qu’à plusieurs lieutenants de louveterie.

Ces prélèvements ont débuté dès le mois de juin 2016 sur des sangliers prélevés par les lieutenants de louvèterie, dans le cadre de battues administratives ou de tir de régulation, lors de battues de sociétés de chasse dans le cadre de dégâts avérés. Ils se sont intensifiés dès l’ouverture anticipée du sanglier sur la zone littorale pour ensuite s’étendre à l’ensemble du département avec l’ouverture générale de la chasse.

Fin novembre, le nombre d’échantillons de sang reçus s’élevait à 500. Parmi ces échantillons, 39 n’ont pas été transmis au laboratoire car ils se sont avérés inexploitables et 117 étaient en cours d’analyse. Sur les 344 prélèvements restants, transmis aux laboratoires, 55 n’ont pu être analysés faute de contenir suffisamment de sang.

Les 289 prélèvements analysés se sont répartis en 255 résultats négatifs, 4 positifs probables et 30 positifs certains ce qui représente, au 30 novembre, 10% des sangliers échantillonnés porteur de la maladie d’Aujeszky.

Au terme de cette saison de chasse 2016/2017, une synthèse sera rédigée et transmise à l’ensemble des adhérents territoriaux.

Aujeszky / Détails des prélèvements de sang reçus au 30 novembre 2016

Prélèvements reçus fin novembre : 500

Prélèvements inexploitables / non transmis : 39

Prélèvements analysés : 344

Prélèvements en cours d’analyse : 117

Aujeszky / Principaux résultats des analyses au 30 novembre 2016

Prélèvements analysés : 344

Prélèvements analyses impossibles : 55

Analyses négatives : 255

Analyses positives : 30

Analyses positives probables : 4

UNE NOUVELLE AUDIENCE avec le Président de la République

Issy-les-Moulineaux - 28 octobre 2016

La maladie d’Aujeszky est une maladie virale du porc domestique et du sanglier, tous deux considérés comme des espèces réservoirs. Les carnivores sont également concernés dont les chiens. La contamination s’effectue par les sécrétions bucco-nasales et génitales, le lait, et la consommation de cadavres et d’abats infestés.Si cette maladie ne présente pas de risque pour la santé humaine, les chiens peuvent effectivement en mourir, principalement les chiens de chasse utilisés lors des battues au sanglier après qu’ils aient consommé un sanglier infesté et particulièrement les abats. Quant au sanglier, elle peut être mortelle pour de jeunes individus mais pas pour les adultes.A propos des chiens de chasse, les mesures élémentaires de prudence consistent donc à ne pas leur distribuer de viande et d’abats de sanglier, et de désinfecter les blessures de chasse.

Saison 2016 / 2017 Premiers résultats

6 7Actualités cynégétiques nationalesActualités cynégétiques nationales

L’analyse des CPB (Carnets de Prélèvement Bécasse) (*) retournés à la Fédération conforte le bilan de la saison bécassière que nous avions présenté lors de notre AG avec les données du «CNB 06» (**).

La saison 2015/2016, malgré son caractère très hétérogène, doit être considérée dans son ensemble comme «assez bonne».

En novembre l’humidité au sol est très favorable à la dispersion des oiseaux. En décembre, l’installation de la sécheresse associée à des températures très douces va favoriser ponctuellement les concentrations sur les zones restées protégées et limiter les mouvements erratiques de janvier.

Pour le chasseur spécialisé du CNB 06 comme pour le chasseur occasionnel (CPB), novembre est le mois de référence mais, on voit aussi que janvier a été pour les deux, très au dessus des moyennes habituelles. Février a été excellent pour certains.

Synthèse de la saisonBÉCASSES2015/2016

INFLUENCE DES CONDITIONS CLIMATOLOGIQUES SUR LA SAISON

DÉMOGRAPHIE DE LA POPULATION BÉCASSIÈRE 2015/2016

Le % de Jeunes est cette saison nettement en dessous de la moyenne, la courbe de tendance s’inscrit dans la stabilité.

Les taux de mue suspendue (TMS) de la saison montrent que nos oiseaux ont connu des conditions de vie estivales satisfaisantes et sans doute pour les adultes un départ en migration assez précoce.


Le taux de retour des CPB n’étant que de 72% sa légère augmentation ne nous autorise toujours pas, grâce à une extrapolation simple, de répondre au but de la mise en place du Prélèvement Maximun Autorisé (PMA) qui est de connaître le nombre de bécasses prélevées dans notre département, ce nombre nous étant par ailleurs réclamé par les instances cynégétiques.Combler cette lacune devient une urgence, nos détracteurs étant prêts à faire valoir l’incapacité des chasseurs à se conformer aux lois.Vous pourrez voir dans un encart ci-contre les mesures envisagées par votre Fédération pour assurer un retour minimum de 80% des CPB.

Gérard AUROUSSEAUPôle relais «migrateurs» FDCAM (*) (**) L’analyse détaillée des CPB retournés à la Fédération

pour la saison 2015/2016 ainsi que le «bilan de la saison bécassière CNB 06» peuvent être

consultés sur le site de la FDCAM.

SUIVI QUANTITATIF DES PRÉLÈVEMENTS DANS LES ALPES-MARITIMES

Depuis quelques saisons nous avons attiré l’attention des chasseurs souhaitant obtenir un CPB sur l’obligation que comportait cette demande, à savoir : retourner le CPB à la Fédération distributrice, qu’il ait été utilisé ou pas, pour obtenir celui de la saison suivante. En acceptant des «déclarations de perte» pour accorder un CPB la Fédération a fait preuve pendant 5 saisons d’une grande tolérance pour une mise en application qui n’a pas portée ses fruits. Le taux de retour des CPB n’est que de 72% au lieu des 80 minimums requis. Par ailleurs, la réclamation de ces «déclarations de perte» aux indisciplinés est un frein à la bonne distribution des validations du permis de chasser et une complication administrative qui tend à devenir insupportable.Pour mettre progressivement fin à cette situation, et se rapprocher de l’application stricte de l’Arrêté Ministériel instaurant le PMA national et le CPB unique, la FDCAM met en place certaines mesures.

Lors des demandes de validation du permis de chasser pour la saison 2016/2017 1. Il a été établi un listing de tous les chasseurs ayant fait pour la

saison 2015/2016 une «déclaration de perte».2. Il a été établi un listing de tous les chasseurs ayant déclaré

avoir retourné leur CPB 2015/2016 mais qui n’a pas été reçu par la Fédération.

3. Il a été établi un listing des chasseurs qui ont retourné un CPB d’une saison antérieure à 2015/2016.

Les récidivistes en 2016/2017 des points 1 et 3 ne se verront pas attribuer le CPB de la saison 2017/2018.

Une attention toute particulière sera faite sur le point 2, l’importance de cette catégorie semblant excessive pour n’être due uniquement aux lacunes des PTT.4. Dans le but de remettre à jour le fichier du guichet unique, la demande de CPB, dans le questionnaire de validation du permis de chasser, sera formulée uniquement par OUI ou NON. Le NON permettra aux chasseurs qui n’utilisent pas de CPB de ne plus en recevoir et de ne plus être importunés par des relances.Le OUI impliquera l’obligation d’avoir fait retour avant ou en même temps que la demande de validation du CPB de la saison 2016/2017 (rappel : la date légale pour le retour des CPB est le 30 juin).

Nous espérons que nos mesures réveilleront la responsabilité des demandeurs de CPB, dans le cas contraire, la loi sera appliquée stricto sensu pour la saison 2018/2019.

MODIFICATIONS DANS LA DISTRIBUTION DES CPB POUR LA SAISON 2017/2018 DANS LES A.M

Le Conseil d’Administration de la FDCAM

L’ICA (Indice Cynégétique d’Abondance).Il est au-dessus de la moyenne et la saison s’inscrit au 7ème rang du suivi fait par le CNB 06.

Les prélèvements relevés sur les CPB.

L’utilisation, dans notre département, d’un Carnet de Prélèvement Bécasses (CPB) permettant de préciser le département des captures donne la possibilité de déterminer les prélèvements effectués uniquement sur les Alpes-Maritimes.Il convient, cependant d’être prudent sur les chiffres énoncés, tous nos chasseurs n’étant pas encore rompus à l’utilisation de ce type de Carnet de Prélèvement Universel (CPU).

Les chiffres mettent en évidence la qualité du mois de novembre, ainsi qu’une fin de saison meilleure que le début (février par rapport à octobre).

La valeur de l’ICA et le nombre de prélèvements conforte le statut d’une saison 15/16 «assez bonne»

LES PRÉLÈVEMENTS EN CHIFFRES

Le poids moyen est légèrement en dessous de la moyenne, dans une tendance orientée à la baisse.


6 secteurs de comptage, 12 participants, 4 organismes représentés, 13 chamois dénombrés

Détail des observations de chamois en 2016

Mâle Femelle Adulte Eterle Individu adulte adulte indéterm. Eterlou

Chevreau indéterm.

TOTAL

Poste 1 1 0 0 0 0 0 1Poste 2 1 0 0 0 0 0 1Poste 3 1 3 0 1 3 1 9Poste 4 0 0 0 0 0 0 0Itinéraire ouest 0 0 0 0 0 0 0Itinéraire est 2 0 0 0 0 0 2TOTAL 5 3 0 1 3 1 13

Depuis trois décennies, le chamois a entrepris la recolonisation des Préalpes du Cheiron et de Grasse au gré des nombreuses zones rupestres présentes sur ces massifs. Le secteur dit de « Bas-Thorenc » abrite un noyau de chamois qui a fait l’objet de deux recensements, en 2010 et en 2016. Ils ont permis de dénombrer respectivement 24 et 13 chamois.

RECENSEMENT DES CHAMOIS DU MASSIF DE BAS-THORENC

ORGANISATION DU COMPTAGE

Le plan de comptage de 2016 était strictement identique au précédent ; 4 postes d’observation positionnés dans la plaine pour scruter l’adret du massif, et 2 itinéraires sur les crêtes. Chacun des participants disposait d’une fiche d’observation ainsi que d’une carte IGN et d’une photo de son secteur afin d’y reporter les observations le plus précisément possible. Jumelles et longues vue sur trépied complétaient le dispositif de comptage.

Au total, 13 chamois ont été dénombrés, répartis en 4 observations dont un groupe de 9 individus. Les autres observations n’ont concerné que des mâles en déplacement. Comme dans tout dénombrement, l’exhaustivité est peu probable et quelques individus peuvent échapper au dispositif, que ce soit pour le comptage de 2010 ou de 2016. La différence d’effectif entre ces deux dénombrements, 13 contre 24, est cependant trop importante pour ne pas être le fait d’une évolution du nombre de chamois ou de leur répartition sur ce secteur.Il a également été observé 3 chevreuils mais aucun cerf.

LISTE DES ORGANISMES PARTICIPANT

ONCFS D 06

3 agents

Société de chasse de

Caille2 agents

FDC 063 agents

Société de chasse d’Andon4 agents

LOCALISATION DES OBSERVATIONS DE CHAMOIS EN 2010 ET 2016

SociétéS de chaSSe

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Communes d’Andon

et de CailleNovembre 2016

Photo : Frédéric VILAIN



12 13Actualités cynégétiques localesActualités cynégétiques locales

Résultats Pour la saison cynégétique 2015/2016, les attributions ont totalisé 5304 bracelets plan de chasse, toutes espèces de grand gibier confondues. Il a été prélevé 4672 animaux, soit 88% des attributions, devant normalement générer autant de constats de tir.

La saisie des constats de tir s’effectue à l’aide d’un logiciel spécifique et permet d’enregistrer, pour chaque ongulé, divers éléments (sexe, âge, poids,…). Le traitement de ces données fait état, par espèce, du nombre de constat de tir réellement exploitables.

CERF

Sur les 1128 animaux prélevés en plan de chasse, 70% ont fait l’objet d’un constat de tir et 68% ont pu être exploités en totalités.

CHEVREUIL

Seuls 70% des 2128 chevreuils prélevés ont fait l’objet d’un constat de tir dont 67% ont été correctement renseignés.

CHAMOIS

Les 1183 chamois prélevés ont donné lieu à 61% de constats de tir totalement exploitables sur les 65% retournés à la Fédération.

MOUFLON

Le plan de chasse mouflon a donné lieu à un prélèvement de 233 animaux avec pour résultats 44% de constats de tir dont 42% pleinement d’exploitables.

LIMITES ET PERSPECTIVESLe nombre de constats de tir retournés à la FDC06 mérite d’être augmenté pour être représentatif des plans de chasse réalisés. A cet effet, le SDGC06 2015/2021 prévoit l’obligation de remplir et de retourner un constat de tir pour chaque animal prélevé dans le cadre du plan de chasse. Un effort doit également être consenti pour renseigner correctement les données demandées, notamment le poids, afin de permettre une analyse objective des différents paramètres figurant sur ces constats.

Seul le recueil en nombre d’informations exploitables sur plusieurs années sera en mesure de fournir des éléments d’analyse pour évaluer la pertinence des plans de chasse attribués et les mesures de gestion en vigueur. Le croisement de ces informatons avec l’évolution numérique et spatiale des populations d’ongulés sauvages s’avère également riche d’enseignements pour appréhender l’équilibre population/milieu et pour compléter les différentes méthodes de suivi des populations d’ongulés sauvages.

RappelDans un objectif de tendre vers un équilibre agro-sylvo-cynégétique, la Fédération des Chasseurs des Alpes-Maritimes propose annuellement à la Commission Départementale de la chasse et de la Faune Sauvage des attributions plans de chasse pour la gestion des ongulés sauvages. Les bénéficiaires de ces plans de chasse de grand gibier (Cerf élaphe, chevreuil, chamois, mouflon) ont l’obligation de remplir et de retourner à la FDC 06 un constat de tir pour chaque ongulé prélevé.

Ces constats de tirs sont à remplir par les chasseurs pour chaque gibier prélevé. Les données ainsi recueilli ont pour but de mesurer le résultat des prélèvements par les plans de chasse et d’évaluer les mesures de gestion en vigueur.

PLAN DE CHASSE ONGULÉS Saisie et Analyse des Constats de tir Saison cynégétique 2015-2016

Bracelets plan de chasse ongulés réalisés en 2015/2016

ESPECES Bracelets Bracelets Taux de attribués réalisés réalisation

Cerf 1241 1128 91%Chevreuil 2330 2128 91%Chamois 1406 1183 84%Mouflon 327 233 71%

Constats de tir ongulés retournés et exploitables en 2015/2016

ESPECES Bracelets Constats de Tir Constats de Tir réalisés retournés exploitables

Cerf 1128 791 / 70% 767 / 68%Chevreuil 2128 1493 / 70% 1425 / 67%Chamois 1183 766 / 65% 721 / 61%Mouflon 233 103 / 44% 98 / 42%

Nombre de bracelets plan de chasse réalisés et de constats de tir retournés par espèce de grand gibier Saison 2015/2016

1128 1183

233

2128

Cerf

■ Bracelets réalisés ■ Constats de Tir

retournées

Chevreuil Chamois Mouflon

791 766

103

1493

A VENDRERARE SUR LA REGION

Propriété de 220 hectares située à 20 kilomètres d’Aix en Provence.

• 25 hectares de terres cultivables, le reste en landes.

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Sur le territoire, on chasse les sangliers, chevreuils, daims, bécasses,lièvres, lapins, perdreaux, faisans, palombes, tourterelles, grives.

Très gros potentiel de développement en chasse, balltrap, tourisme, exploitation forestière.

Elevage et activités liées à la nature.

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CONCOURS DE RAPPROCHEUR DANS VOIE NATURELLE DU SANGLIERSAMEDI 18 ET LE DIMANCHE 19 MARS À SOSPEL Pour toute information veuillez contacter :Mr Didier Calcagno tél 06.12.85.55.01 ou par MAIL : [email protected]

L’AFACCC des Alpes du Sud a invité une vingtaine de jeunes ou nouveaux chasseurs le samedi 29 Octobre à Castellane. A part quelques désistements de dernière minute, toute l’équipe de l’AFACCC, ainsi que les chasseurs de la Diane Castellanaise se sont retrouvés à la Salle polyvalente gracieusement prêtée par la municipalité.

Roger n’avait pas oublié les croissants pour accompagner le café d’accueil.

Baptiste GAGLIO, Responsable de battue et Président de l’association locale, a fait preuve comme d’habitude

de son sens de l’organisation et des responsabilités. Après les consignes strictes de sécurité, il a réparti tout

le monde sur les différents postes de la battue de Talloire, secteur choisi pour accueillir les invités. Les chasseurs locaux

ont guidé les jeunes vers leurs postes respectifs, tandis que les traqueurs partaient vers les lieux de découplés.

Très rapidement les chiens ont lancé des sangliers et plusieurs tireurs ont pu tester leur efficacité au tir sur sanglier en terrain difficile. Quatre

d’entre eux ont fait mouche, d’autres ont été moins chanceux ! Vers 13 heures, la fin de battue est annoncée. Les sangliers abattus sont ramenés,

non sans peine, jusqu’aux véhicules.

Par la suite, tout le monde est rentré au rendez-vous, où Roger et ses aides nous ont servi un copieux repas. Puis, l’équipe s’est rendue à Brans pour dépecer les

animaux, dont la venaison a été distribuée à l’ensemble des chasseurs.

Cette journée conviviale a été appréciée par tous les participants. Elle facilite chaque année des rencontres entre les chasseurs des deux départements (04 et 06), ainsi que des anciens et des

jeunes. Cette initiative de l’AFACCC est soutenue et encouragée par les Fédérations des Chasseurs des Alpes de Haute Provence et des Alpes Maritimes. Elle est intégrée au processus que la Fédération

des Chasseurs aux Chiens Courants met en place au niveau national pour perpétuer ce mode de chasse et le faire connaître et apprécier.

Un grand merci à tous ceux qui, de près ou de loin, ont œuvré afin que cette journée, sur le magnifique

territoire de la Diane Castellanaise, soit une réussite. Guy MAUNIER, Président de l’AFACCC des A.S.

Notre Président de Commission, Jean Pierre SQUIRI est revenu sur la maladie RHDV2, qui touche le lièvre, dont les symptômes s’apparentent au virus hémorragique avec la fameuse goutte de sang au museau.

Pour l’animal trouvé mort la procédure pour le recueillir a déjà été évoquée dans le numéro précédent. Une vigilance particulière est demandée aux chasseurs face à un animal au comportement suspect comme l’absence de reflexe de fuite. Nous parlons ici de lièvres adultes et non de levrauts, qui souvent demeurent prostrés à l’approche d’une personne.

Notre Président Fédéral a ensuite pris la parole pour nous indiquer tout l’intérêt qu’il porte à la préservation du petit gibier, source de biodiversité et de richesse cynégétique, mais aussi un excellent moyen d’attirer de jeunes chasseurs.

Des efforts devront être faits pour rendre attractifs nos territoires et diversifier nos cultures.

Le tout blé est révolu.

Les légumineuses comme la luzerne, le trèfle, le sainfoin, les fèveroles ou les crucifères type colza ou moutarde sont

appétants pour le petit et grand gibier, qui trouvent là une nourriture riche et abondante, une grande partie de l’année.

Une attention particulière sera portée à l’utilisation des subventions fédérales pour que les aménagements réalisés bénéficient aussi au petit gibier.

Les règles de sécurité sont aussi une de ses préoccupations. Bon nombre d’associations en France militent pour interdire la chasse le dimanche. Le respect de règles élémentaires comme l’identification formelle du gibier avant chaque tir sont à la portée de tous.

Ne donnons pas le bâton pour nous faire battre, et relevons le défi du zéro accident de chasse.

Jean Pierre SQUIRI après avoir remercié notre Président Fédéral pour sa présence, a conclu la réunion.

Marc MARCON. Membre de la Commission Lièvre.

Membre du bureau de la Société de chasse de Tende.

Le lièvreCOMMISION LIÈVRE

Le 8 septembre s’est tenue la réunion de préouverture de la Commission Lièvre en présence de notre nouveau Président Fédéral Jean Pierre CAUJOLLE.

Etaient représentées les sociétés de BEUIL, PEONE, BLAUSASC, LEVENS, LES FERRES, MARIE, VENCE, ST VALLIER DE THIEY, ESCRAGNOLLES , ROUBION , VALDEBLORE et TENDE.

Tous les participants s’accordent à dire que la saison 2016-2017 s’annonce relativement bonne avec des animaux sur tous les territoires. Notons, le retour du lièvre sur la commune de ST JEANNET.

Les efforts de gestion portent leurs fruits. Outre, les aménagements indispensables à notre gibier, les réserves tournantes comme à PEONE donnent d’excellents résultats.

La limitation des prélèvements et la prise en compte des densités de lièvre sur chaque secteur sont aussi des facteurs

favorisant une population viable et pérenne. Chaque chasseur de lièvre est mis devant ses responsabilités pour ne pas porter atteinte à la survie de l’espèce.

Le pâturage bovin est lui aussi bénéfique. Une densité d’animaux à l’hectare supportable, un piétinement moins intense avec des zones de quiétude où les troupeaux ne s’aventurent pas, permettent le développement de tout le petit gibier de montagne, galliformes compris.

Concernant les ovins, nous connaissons l’impact des patous sur le gibier, notamment sur le lièvre comme l’ont constaté notamment les chasseurs de BEUIL.

Ces chiens de garde parfois éloignés de leurs maitres posent un réel problème de sécurité pour les chasseurs et leurs chiens. Nous en appelons à la responsabilité des bergers pour éviter qu’un jour, un drame ne se produise.

ET NOUVEAUX CHASSEURS

JOURNÉE JEUNES


UDUCR 06Union Départementale pour l’Utilisation de Chiens de Rouge Des Alpes-Maritimes(Association déclarée, à but non lucratif)

POUR FACILITER LES RECHERCHES DU GIBIER BLESSÉ

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1726, Route de la Grave - 06510 CARROS (face aux pompiers) - Tél. : 04 92 08 66 40 - Fax. : 04 92 08 66 49199, Route de Grenoble - Box M.I.N Fleurs - 06200 Nice - Tél. : 04 93 83 24 65 - Fax. : 04 93 21 96 93

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Protection Électrique

Grillage de protection

OFFRE SPÉCIALE CHASSE

La recherche d’un animal qui a été blessé lors d’une battue est toujours plus difficile que celle d’un animal blessé à l’affût ou à l’approche : le méli-mélo des traces et voies du gibier y est beaucoup plus important, les animaux poursuivis par les chiens ont tendance à s’enfuir beaucoup plus loin et le stress des animaux traqués les amène instinctivement à ruser en laissant vraisemblablement moins de sécrétions s’échapper de leurs glandes olfactives.

En fait, il est préférable d’attendre au moins quelques heures après le tir pour effectuer la recherche. Il est nécessaire en effet de laisser à l’animal blessé le temps de s’installer dans sa reposée et à la voie de se refroidir, car une voie chaude ne permet pas au chien de travailler consciencieusement, les molécules d’odeur composant le sentiment de l’animal blessé flottant alors encore dans l’air et se mélangeant à celles d’autres animaux sains qui croisent la voie de l’animal recherché, ne permettant plus au chien de s’en sortir et l’incitant à prendre le change.

Chers Amis chasseurs,

Je viens par cet article vous rappeler que d’être conducteur de chien de rouge n’est pas donné à tout le monde car cela demande beaucoup de sacrifice et de patience.

Pour commencer, nous avons l’obligation d’effectuer un stage par l’UNION NATIONALE pour L’UTILISATION du CHIEN de ROUGE, suivi de l’éducation d’un chiot pendant plus d’un an, présenter ce dernier à une épreuve de pistage artificielle et la réussir, apporter sa volonté et sa détermination à faire des recherches tout en respectant la chartre de l’UNUCR et de la respecter, ce qui permettra au conducteur ainsi que son chien d’être agréés par les instances nationales.

En fait, la recherche du grand gibier blessé, la vraie, est une activité qui exige de ceux qui la pratiquent, beaucoup de sacrifices tant familiaux que personnels, d’une certaine générosité dans l’effort et dans l’action, de disposer d’une forme physique et morale à toute épreuve ; En effet il s’agit la plupart du temps de crapahuter dans la montagne, de se battre avec des ronciers apparemment impénétrables ou de se glisser à travers les épines noires, et cela par tous les temps.

PREMIÈRE RECHERCHE D’ESUS

Je dédis ce récit à la mémoire de Monsieur LUNGAROTTI Noël ainsi qu’à son épouse Jacqueline qui nous ont quitté le printemps dernier étant donné que «Nono» était mon accompagnateur ce jour-là pour cette recherche.

“ “Un cerf est blessé en battue le 5 décembre 2009 sur le territoire de chasse de PUGET-THENIERS.

Il est 16 heures quand je reçois un appel téléphonique de Mr AUTHIER, Président de la société de chasse, pour me demander s’il serait possible de faire une recherche sur un cerf.

Je lui promets de le contacter au plus tôt pour convenir d’un rendez-vous le lendemain matin, le temps de trouver un conducteur, car j’explique à Mr AUTHIER que mon chien ESUS, rouge de Bavière de 7 mois, n’est pas encore assez expérimenté pour effectuer cette recherche sur cervidé.

Après avoir passé plusieurs appels téléphoniques auprès de mes amis conducteurs déjà pris sur d’autres recherches, je décide d’essayer avec Esus et un chien forceur Dira, chien d’Ours de Carélie, cela sur les conseils de mon délégué et ami Mr Jean-Louis PASSERON, vu le jeune âge d’Esus et son manque d’expérience en poursuite.

Rendez-vous est pris pour le lendemain.

A 8h30 nous sommes sur les lieux du tir, en bordure du Var. Après contrôle de l’anschuss dont je ne trouve que du sang, Esus est mis en longe et empaume la voie, nous entraîne dans un taillis où ce cerf a fait de nombreux angles et de crochets ; Le chien me montre une reposée, à l’intérieur une goutte de sang, nous avons progressé de 400 mètres, Esus contrôle, et après plusieurs cercles, des difficultés à trouver la sortie.

Je décide donc de faire les avants sachant qu’il y a une piste au-dessus de ce bois.

Nous voilà sur cette piste où nous contrôlons les bordures quand soudain Esus s’engage dans le talus très intéressé, je le suis tout en vérifiant son travail car le secteur est très fréquenté par les cervidés, quand j’aperçois une infime tache de sang sur un brin d’herbe, je félicite mon chien et l’encourage tout en demandant à Noël mon accompagnateur de me suivre avec ma chienne Dira qu’il tient en laisse, je balise le travail du chien de temps à autre au cas ou…!

Esus est très appliqué, nous progressons rapidement, changement de végétation et de terrain, nous sommes dans des buis et à flanc de montagne, le cerf ne fait que monter, mon chien montre des signes de fatigue à tirer sa longe de dix mètres qui se coince à tout moment ainsi

que mon accompagnateur qui n’est plus de toute jeunesse, je décide de continuer la recherche en mettant mon chien en libre et de prendre moi-même le chien forceur en laisse.

Une belle distance est franchie quand nous arrivons sur un petit plateau en crête de montagne, Esus est plus rapide que moi et revient régulièrement en arrière pour me ramener sur la voie, jusqu’au moment où 100 mètres devant moi j’entends l’aboiement d’Esus, je me précipite avec Dira toujours en laisse et je vois le cerf se défiler au loin, donc je décide de lâcher le chien forceur.

La poursuite est très rapide et j’entends les chiens aux abois au loin, arrivant sur le ferme je cherche à localiser mes chiens avant de lâcher une balle d’achèvement, mais trop tard le cerf m’a vu et prend la fuite, à ce moment s’engage un ferme roulant qui va durer près d’une demi- heure, je manque le cerf devant les chiens à environ 150 mètres de l’autre côté d’un vallon, ensuite plus rien !

La poursuite se passe sur l’autre flanc de la montagne, après m’être avancé en direction j’entends le ferme au loin qui résonne dans la vallée.

Il me faudra près de dix minutes pour y arriver et là des images qui resterons gravées toute ma

vie, un magnifique 8 cors faisant face à deux jeunes chiens dans un ferme de toute beauté.

Une balle de 9,3x62 mettra fin aux souffrances de ce bel animal ; après un pistage d’environ 2500 à 3000 mètres et une poursuite avec ferme roulant de près de 1000 mètres, les honneurs lui son rendu, reste à le ramener.

Notre brave cerf à une blessure au niveau de l’épaule, tiré de face, la balle de 7x64 est venue se loger sous l’omoplate sans toucher d’endroits vitaux, il aura essayé de fuir les supers prédateurs, le tandem homme chien que nous sommes avec tout son courage et toute sa ruse de Seigneur de la forêt.

Il ne nous reste plus, Noël et moi-même, qu’à regagner le BREUIL ou Jacqueline son épouse nous attend pour déguster un sublime repas comme elle savait si bien les préparer.

Votre dévoué conducteur J-CLAUDE MANGINDE PRÉCIEUSES INFORMATIONS POUR LE CONDUCTEUR

Et si le tireur ne peut pas, lui-même, informer le conducteur de chien de rouge sur ce qui s’est passé ou mieux encore, participer lui-même à la recherche qui suivra, il s’agira de faire en sorte que le conducteur de chien dispose d’un maximum d’informations pour pouvoir faire la recherche du gibier blessé dans les meilleures conditions. Ainsi on s’efforcera de lui apporter les réponses les plus précises aux questions qu’il se pose :

Quel est le calibre de l’arme utilisée ? L’animal blessé était-il seul au moment du tir ? Sinon s’est-il séparé ensuite de sa compagnie (sangliers) ou de sa harde (cervidés) ? Quelle a été sa réaction corporelle au moment du coup de feu et immédiatement après celui-ci ? L’animal a t’il été poursuivi ensuite par des chiens de battue ? A- t-on entendu les abois de chiens de battue au ferme ? Le cas échéant, ce ferme était-il roulant ? A quelle distance environ et dans quelle direction ? Est- il possible que l’animal ait été tiré à nouveau, voir achevé par un autre tireur ? Ou au moins, a- t-il été revu ? N’y a t’il pas un animal au tableau avec plusieurs impacts de balle qui pourrait correspondre à l’animal recherché ?

Mais il s’agit avant tout aussi de marquer (baliser) l’Anschuss le plus visiblement possible et de pouvoir renseigner ensuite le conducteur de chien de rouge sur les indices qui ont été trouvés. Plutôt que de recouvrir aux traditionnelles brisés souvent peu repérables dans la pénombre d’un sous- bois, il est préférable, pour baliser l’Anschuss, d’utiliser des matériaux plus visibles : mouchoir jetable, papier hygiénique, etc… Et pour être sûr de retrouver ce balisage après une forte pluie ou une chute de neige, il est même conseillé de se servir d’un morceau de bande de nylon phosphorescent, du type de celles qu’on utilise sur les chantiers de travaux publics.

En fait, tout cela demande une organisation des battues, laissant à chaque tireur, après la traque, le temps de vérifier minutieusement son tir et de baliser la piste de sang de l’animal blessé.


DE LA FEDERATION DES CHASSEURS DES ALPES-MARITIMES

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STÉPHANE CLAMENS REJOINT L’ÉQUIPE DE LA FDC06

C’est avec grand plaisir que Stéphane CLAMENS, chasseur de sangliers et du gibier à plumes sur le pays Mentonnais, a rejoint l’équipe des formateurs de la FDC06.

En effet, que dire de plus sur Stéphane, sinon qu’il est le plus grand tireur Français de fosse Olympique. À son actif pas moins de 4 jeux olympiques, 14 médailles mondiales, dont deux en 1ère place à la coupe du monde de Belgrade en 2008 et Grenade en 2013. Vice-champion d’Europe scratch et Recordman de France avec le score de 124/125 en fosse Olympique. Son palmarès est tout simplement impressionnant !

Futur entraîneur de l’équipe de France fosse olympique, Stéphane nous a dit oui pour nous aider à la formation de tous les chasseurs, dans notre département.

Ainsi, ils pourront se perfectionner au Tir tout en respectant les mesures de sécurité, apprendre les gestes à faire et ne pas faire, ainsi que les positions du corps qui ont une importance pour les tirs.

A partir de janvier 2017, nous programmerons des demi-journées de tir, sangliers courant, ainsi que plateaux. Vous trouverez les informations en contactant la Fédération des Chasseurs des Alpes-Maritimes.

Cette école de chasse et de tir sera ouverte à tous les chasseurs et futurs chasseurs du 06.

Nous vous demanderons simplement de réserver vos places à l’avance.

Jean-Louis TOFANELLI Administrateur UG 11 Président Ecole de Chasse et Tir FDC06

C’est avec le plus grand plaisir, que je viens d’apprendre que notre ami M. Walter RASO, et chasseur de sanglier d’AURIBEAU SUR SIAGNE, vient de décrocher la médaille de champion du monde par équipe vétéran de fosse universelle à Marrakech, avec le superbe score de 191/200.

L’entraînement et la persévérance finissent toujours par payer.

CHAMPIONNAT DU MONDE AU MAROC EN SEPTEMBRE 2016

La fédération des chasseurs des Alpes-Maritimes RECHERCHE DES FORMATEURS BÉNÉVOLES

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Les personnes intéressées sont priées de contacter LA FDC06 AU 04 93 83 82 39

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C’est, le 18 Septembre dernier, que se sont déroulées les Rencontres du Saint-Hubert dans le département du 06, sur la commune de DRAP et plus précisément sur le plateau «Tercier».

Tel l’esprit souhaité, les sélections se sont effectuées dans une ambiance conviviale avec des beaux échanges entre chasseurs. Ouvertes à tous chasseurs possédant un chien d’arrêt ou un spaniel, les Rencontres du Saint Hubert ne demandent qu’à être valorisées. Anciennement dénommées « Concours Saint-Hubert », ces rencontres ont changé de nom pour atténuer la notion de concours. Bien plus qu’une compétition, elles sont avant tout des joutes amicales qui privilégient les échanges entre les concurrents et les représentants du monde cynophile et cynégétique.

C’est après les vingt minutes imparties à chaque participant que les juges ont pu évaluer la complicité entre chien et chasseur mais, aussi le respect de la sécurité, le respect de l’environnement, les connaissances cynégétiques et cynophiles.

En présence de Monsieur Jean Christophe CENAZANDOTTI, Adjoint au Maire de DRAP, et de Monsieur Gérard AUROUSSEAU, Président d’honneur de la Fédération des Chasseurs des Alpes Maritimes, il a alors été divulgué le classement suivant:

CATÉGORIE CHASSERESSE : Emilie ROSSI avec Emma de Felpaola - setter anglais

CATÉGORIE CHASSEUR : Pierre François PIETRI avec Luisette de keranlouan - épagneul breton

CATÉGORIE TRIALISANT : Laurent AMORETTI avec Ethan du pied du mont - braque allemand

Les trois sélectionnés représenteront notre département au concours régional qui se tiendra le 11 Décembre à Castifao-Capelle, en haute Corse.

Je tiens à remercier, Messieurs Gérard AUROUSSEAU de la Fédération des Chasseurs, Robert NARDELLI, Maire de DRAP qui m’ont honoré par leur présence sur le lieu de ces rencontres, ainsi que Fabien GUGLIELMINO, président de la Société de Chasse de DRAP, pour la mise à disposition du terrain, et aux chasseurs de la société qui se sont abstenus de pratiquer leur passion cynégétique dans cette zone, ce jour là.

Egalement, un grand merci à tous les partenaires qui m’ont aidé, je citerai à cet effet, la Fédération Départementale des Chasseurs du 06, Monsieur MARTIN de la Coopérative de Nice, F.A.M.I, Meccanocar, Champyland, Pro Services.

A tous les passionnés, Je vous donne rendez-vous à l’année prochaine sur de nouveaux terrains.

P. ROSSI

C’est avec beaucoup d’émotions et de tristesse, que nous avons appris le décès de Jean-Paul Tardieu, enfant du pays.

Il était à l’origine de la création de la société de chasse de LA CROIX SUR ROUDOULE et en fut le Président fondateur, fonction qu’il assuma durant de nombreuses années.

Passionné de chasse et en particulier des battues aux sangliers, il savait mieux que personne mener les chiens auxquels il vouait une véritable admiration.

Toujours présent, il avait contribué avec les anciens de la Société à la mise en œuvre du local de chasse, mis à disposition par son oncle Hubert AGNESI.

Ce qu’il revendiquait avant tout, c’était l’amitié et la convivialité. Nombreux de ses amis chasseurs de LA CROIX SUR ROUDOULE, et des villages voisins sont venus l’accompagner pour son dernier voyage au cimetière perché du village, qu’il aimait tant.

Ciao Jean Paul, repose en paix. Les Chasseurs de La Croix.

Journée d’entrainement de chiens d’arrêt Cette manifestation s’est déroulée le 04 Septembre 2016 au plateau de la Madone. Une manifestation très réussie car dans la journée 25 chiens ont pu être évalués.

L’ensemble des représentants canins ont fourni une prestation de qualité tant par le travail des animaux présentés et jugés par Olivier Ciais que par le standard des chiens britanniques et continentaux.

Le Président de l’association de chasse L’Utelloise Yves Gilli accompagné des membres du Conseil d’Administration ont clôturé la journée par un apéritif d’honneur offert par la Municipalité en présence de M. Le Maire d’Utelle.

Une journée placée sous le signe de la convivialité et le partage d’une même passion. Merci à tous les participants.

RÉSULTATS CHIENS BRITANNIQUES :

❶ Mr Corneglio Michel avec Falco

❷ Mr Daumas avec Iris

❸ Mr Ollier avec Igloo

RÉSULTATS CHIENS CONTINENTAUX :

❶ Mr Pietri avec Louisette

❷ Mr Adrien Petruzzi avec Alf

❸ Melle Dorothy Calvaire avec Lascar

Saint-Hubert

Utelle Une partie des participants

Le maire et les membres du C.A, de gauche à droite : B. Cortès, Olivier Ciais (juge et dresseur) Nelly Augier, secrétaire générale, Claudia Ciais, Vice-Présidente, Yves Gilli Président, Joseph Marrari, cultures et aménagements et José Ciais Garde particulier.

Tous vos articles, recettes de cuisine ou autres, sont à envoyer à l’adresse suivante :

[email protected] prochain numéro de votre journal doit sortir fin avril.

Nous recevrons les articles et photos jusqu’à fin mars. Les articles arrivés après cette date ne

seront plus pris en compte.

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