DIMANCHE8 FÉVRIER 2015 16 H.Salle multifonctions(AFFAIRES MARITIMES)AUDIERNEDÉCLARATION DE CANDIDATUREPOUR LE RENOUVELLEMENT DUCONSEIL D’ADMINISTRATION :cap.accueil@orange.fr

Juste un mot :

Élitisme"Je suis saisie par ce terme "élitisme" qui fait énigme pourmoi dans le contexte de Cap Ac-cueil qui, par définition litté-rale, me laisse plutôt entrevoirune ouverture si j'en croisl'épaisseur des commissions etdes activités qu'elle développedepuis sa création. Au sensélargi du terme, dans le cadrede pratiques sociales et associa-tives, l'élitisme signifie à mesyeux "tirer les choses vers lehaut", "aller plus loin", "oser","prendre des risques", " fairedes choix en commun et pro-gresser" . Du coup, à Cap Ac-cueil, je suis bien à la bonneadresse, où l'effet d'accueil semet bien en circulation, sansjeter d'ombre arbitraire sur quoique ce soit ni sur qui que cesoit. Alors oui, l'élitisme sous ceprisme-là, de bon aloi, ambi-tieux, tolérant, riche et com-plexe, retient ma curiositéchaque année, notamment enart et en musique. À ce titre,Cap Accueil s'adresse à tousdans un langage compris detous pour promouvoir l'idée dedévelopper les capacités de cha-cun à vivre ensemble des tempsforts au cours d'une année géo-graphiquement partagée. Cha-cun dans sa pluralité de penséeet d'agir."Marie-Claire Garnier, co-présidente

LES ACTIFS S’ENGAGENT,LES VOLONTAIRES SE DÉCLARENT, LES ADHÉRENTSVOTENT

Association intercommunale de loisirs et de culture en Cap SizunCap-Accueil • 9, rue Lamartine, 29770 Audierne02 98 70 28 72 • www.cap-accueil.com•cap.accueil@orange.frDirecteur de la publication : Claude BouvierImprimé par nos soinsNe peut être vendu.N° 8 • Février 2015

Bulletin d’information de Cap AccueilDiffusion publique et gratuite

Parisienne Anne-Marie ? Oui, pour sonboulot où elle a appris toutes les ficellesde l'informatique et de la comptabilité.Mais indéfectiblement non, tant soncœur s'accorde avec ses racines bre-tonnes qui chantent encore le goémonque son grand-père, directeur de l'usinedu Stum d'Audierne, alchimisait ensoude. Et couic ! (qu'elle est par sa mèreaudiernaise), elle a coupé le cordon avecses 27 m2 à la capitale pour Esquibien,afin de mettre son tempérament trempéà l'épreuve de toutes les tempêtes.Sportive dans l'âme, performante et per-fectionniste à l'excès, Miss « quick »,boostée à l'adrénaline, gonflée à l'hé-lium capiste, a convaincu l'ensemble deCap Accueil d'exercer ses talents de mo-zartienne du clavier culturel au servicede la vingtaine d'ateliers hébergés parC.A. De son mètre soixante-quinze, l'hy-per-iodée jusqu'au fond des yeux bienhandicapée du dos, ne procrastine ja-mais. Energique, punchie, le phrasé brefet musclé, elle a créé la tornade dans lebureau qui l'accueille en CDI depuis le24 novembre 2014. Depuis lors, tout à trac, elle s'est lancéeun défi en fixant ce cap : tout classerparce qu'elle n'aime pas être prise au dé-pourvu. Car s'il y a une chose qu'ellen'aime pas, c'est bien le désordre. Suivitout près par la fourberie, le mépris etles grincheux. D'ailleurs, intraitable avec

la rigueur, elle s'excuse pour un oui, pourun non espérant, peut-être, faire ainsi latraque aux actes d'incivilité qu'elleconstate, déçue, aux avants-postes deson job de coordinatrice culturelle. Et, qu'on ne se risque pas de la vexer oude la décevoir, son affectif très sensiblepourrait faire retrancher cette jeunesexagénaire dans ses 150 m2 intimespour ne plus s'occuper que de ses quatrechats et ceux de ses amis, qu'elle aimed'un égal élan ; ou bien écrire, tel sonpère Louis-Marie, un mémoire sur l'arabeancien. Ce serait dommage, car Anne-Marie a lebénévolat chevillé à l'âme (anciennecheftaine scoute) et elle aime bien l'es-prit Cap Accueil. Enjouée et rationnelleencore, remettant ses qualificatifs dansla bonne trajectoire, elle en décrit toutce qui l'a séduite naguère comme béné-vole pour conclure que c'est un lieu detolérance et d'originalité qui a le goûtde la gagne. Comme elle, en somme.C'est sûr, son tempérament breton n'estpas prêt de déteindre avec la pluie.

L’engagement associatif, déclaré « grandecause nationale » en 2014 met en lumièreles actions des bénévoles qui s’engagentau quotidien dans l’animation des terri-toires, le développement culturel, la cohé-sion sociale, rouages essentiels del’attractivité d’un pays et de son économie.Dans le paysage associatif du Cap Sizun, « Cap Accueil » développe un projet ambi-tieux de loisirs et de culture fondé sur laconvivialité, la tolérance, l’échange de sa-voirs, la créativité…Aujourd’hui néanmoins le bénévolat évolueet les études nationales convergent sur cepoint: il se fait plus ponctuel, accuse desbaisses de régularité et un moindre enga-gement dans la prise de responsabilités :Fluctuation due à l’usure ? Au « ronronne-ment » des structures ? À l’offre trop abon-dante ? Aux charges de travail ? À lastagnation du projet ?(…) Bénévoles en action, nous savons pourtantbien que seul l’effort collectif garantit lapérennité d’un projet associatif tout en

rappelant qu’il appartient à chacun deprendre la mesure de son engagement individuel.A la lumière de ce constat, on devra s’effor-cer le plus possible de concilier les attentesdes adhérents avec les besoins et les mis-sions de l’association ; rappelons que celle-ci est par nature différente du fonction-nement de l’entreprise : si les deux struc-tures requièrent des opérations à effectueret des compétences à mettre en œuvre, l’uneest une organisation pyramidale, l’autre estun collectif de personnes qui se partagentdes tâches. L’adhésion au projet associatifest donc essentielle en ce sens qu’il fait deses adhérents des membres-acteurs et nondes clients-consommateurs.Les adhérents restent les forces vives d’uneassociation; dynamisons le projet associa-tif en acceptant de participer aux commis-sions et instances de décision : plus on estinvesti, plus on est vigilant sur le bon déroulement des activités !

Andrée Chapalain, co-présidente

PORTRAIT ANNA-MARIETESSIER

Oyez ! Oyez !

E 8 FÉVRIER 2015 > 16 H. SALLE MULTIFONCTIONS (AFFAIRES MARITIMES) AUDIERNE > ASSEMBLÉE GÉNÉRALE CAP ACCUEIL DIMANCHE 8 FÉVRIER 2015>16 H. SALLE MUL

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE :

Les Quatre-vingtsans de Ginette parmiles siens dans l’ambiancechaude et fraternelle que saventcréer les randonneurs.C’était la dernière rando de l’année, celle du mardiau Père Noël qui s’achève au restaurant par unedistribution de petits cadeaux. Anciens Ecureuilset Léopards, nouveaux, regroupés ont retrouvé Gi-nette pour lui souhaiter un très heureux anniver-saire pour ses 4 fois 20 ans et lui dire qu’elle esttoujours dans leur cœur même si depuis quelquetemps elle a dû abandonner la rando. Elle a tantarpenté les sentiers du Cap, chemins du bord demer, des menez, des vallées qu’ils portent encorel’empreinte de ses pas …. ! De belles heures savoureuses où on a évoqué lesdébuts mais pas seulement, les marcheurs n’ontpas l’intention de s’arrêter à remettre leurs pas dansceux de Ginette ou de trouver d’autres chemins àexplorer dans d’autres régions ou d’autres pays. Au traditionnel bouquet de fleurs, les randonneursont ajouté un autre cadeau, une magnifique idée :donner son prénom « Ginette » à son circuit pré-féré.Quel sera-t-il ?Il n’y a pas encore deréponse.Mais après la médaille dela Jeunesse et des Sports,la voilà inscrite au tableaud’honneur des randon-neurs… Foi de Cap accueil !Très heureux anniversaire, Ginette !

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AUDIERNE1erMAI

• Mètre Linéaire : 3,5 �� • Table 2 M : 9 ���• Entrée : 1�� •

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PAR TÉLÉPHONE :

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Pour préparer et réussir le Spok2014 (Festival de cirque organisé par laFadoc), Cap Accueil, (mais qui d’autre ?) était sollicité par la mairie d’Audierne : prêter main forte au chapiteau, aux réservations pour les stagesd’enfants et à la billetterie… Les bénévoles étaient présents pour « la joie des petits

et des grands » !

ON DÉBARRASSE !!Les organisateurs du vide greniers2015 lancent un avis de rechercheparmi les adhérents pour faire descrêpes le vendredi 1er mai. Ils espèrent en capturer 4 ...(qu'ils se fassent connaître au bu-reau de cap accueil ou lors de laréunion du 4 mars ."Une réunion de préparation estprévue le mercredi 4 mars à 10heures à Cap Accueil .Venez nombreux, nous avons be-soin de .....tous .

Cette journée du samedi 8 novembre, orga-nisée conjointement par l'associationMenez Ararat et Cap Accueil a connu unfranc succès. Trois cent personnes environont assisté à des projections de films ; auxexpositions (peintures de Artak Sakanyan etexpo sur l'Arménie (histoire et culture), unatelier de prise de contact avec l'alphabetarménien…)

Les débats, avec des intervenants passion-nés ont permis à nombre de capistes deprendre connaissance de l'histoire du pays,du génocide et de prendre conscience de laréalité actuelle de ce pays attachant. Nousremercions la municipalité dEsquibien pourl'aide technique conséquente qu'elle a ap-portée pour assurer le succès de cettejournée.

le KRANK: Jean, tu nous avaisfait part de ta décision, dansle cadre d’une aide humani-taire, de te rendre au Kurdis-tan, pays gravement touchépar la guerre?J. LADAN -Oui, je connais biencette région, j’y vais depuis 21ans. le KRANK: Sur ta proposition,nous avons collecté à Cap Ac-cueil 800 € auprès des mem-bres du C.A. et lors de notrejournée Arménie où tu nousavais expliqué ton engage-ment.J. LADAN : Avec des amis et à Douarnenez j’aiaussi collecté des sommes assez importantes.Je rentre d'un séjour de 15 jours (et 15 nuits)au pays des Peshmergas (le Kurdistan d'Irak),je ne viens pas des faubourgs illuminés de Do-houk, ou des hôtels d'Arbill, la capitale decette région massacrée.Je rentre directement de la première ligne defront où mon camarade Z... a devant ma ca-méra lâché une rafale de mitrailleuse de 14mm sur un groupe de Daesh.le KRANK: Nous supposons que tu as beau-coup de choses à raconter....J. LADAN : Oui, entre autres, surprise pourmoi, je ne m'attendais pas à trouver au frontdeux amis, deux « vieux » Peshmergas de 50ans environ qui ont combattu Saddam Husseinet qui vivaient tranquillement en France de-puis 25 ans.Ils ont «abandonné» femme et enfants (tousnés en France) pour aller combattre...Eux savent mieux que la plupart des Françaisce que le dévoiement d'une religion peut nousapporter de terrifiant. Ils sont calmes, lucides,volontaires, solides. Deux de leurs amis qui,comme eux, habitaient l'une de nos villes sontrécemment tombés au combat... Ils sont prêtsaussi à se battre pour la France, leur secondpays... Ils me l'ont dit et répété. Ils aimentleurs deux pays, ils le prouvent par des acteset non seulement des paroles. Leurs femmeset leurs enfants les encouragent à se battre etsont prêts à les rejoindre si on leur donnaitdes armes. Mais celles-ci manquent. Les Occi-dentaux en sont avares. Je l'ai constaté surplace.J'ai rejoint, par deux fois, ce poste avancé à 5km de Mossoul (très visible de l'endroit oùnous étions) ; ce poste qui avait été attaquéla veille. Mais notre travail de reporter deguerre (n'ayons pas peur des mots), ne s'estpas limité au front. L'entrée dans Kobané ne nous a pas été auto-

risée ces jours-là par manque de filière appro-priée. La visite en hélicoptère des monts Sinjar(enclave entourée de Daesh) a été rendue im-possible par le crash du premier hélicoptère,le second n'a pu décoller à cause du mauvaistemps.Mais nous avons pu interroger les rescapés dece lieu maudit, d'où 4.000 femmes et fillettesont été déportées, violées, vendues pour lesvierges à des émirs du Daesh, et j'en passe, deces qualificatifs innommables.Les exemples sont nombreux où des femmes,main dans la main, avec leurs filles adoles-centes, se jetaient dans le vide, préférant lesuicide à la captivité. Les cadavres des en-fants, des vieillards surtout, morts de faim etde soif, parsèment encore ces sentiers de ter-reur.Le KRANK: c’est terrifiant...J. LADAN : Oui ceux qui ont pu mangerquelques herbes, escortés de Peshmergas etplus particulièrement des maquisards du PKK-Parti des travailleurs du Kurdistan- et du PYD-Parti de l'union démocratique- (considérés parnos pays occidentaux comme marxistes léni-nistes et terroristes), ceux-là ont rejoint leKurdistan.Voilà donc comment, des « communistes » ontsauvé d'une mort assurée des milliers de yézi-dis et de chrétiens. Nous avons pu les interro-ger, j'apporte 7 heures de films et 400 photosà disposition de tout un chacun si vous avezde quoi les enregistrer.le KRANK : nous ferons en sorte de mettre àla disposition de tous, à notre siège de CapAccueil films et documents que tu as rappor-tés.J. LADAN : merci, grâce aux 39.000 € de donsqui ont été faits, nous avons pu acheter surplace 800 réchauds à pétrole et les avons dis-tribués dans 3 camps différents. Le premiercamp fait de 3.000 tentes abritait environ21.000 réfugiés (le Kurdistan a accueilli1.800.000 déplacés irakiens et 250.000 réfu-

giés syriens) ; mais beaucoupvivent encore dans des immeu-bles en construction (sansporte, ni fenêtre) ou en dé-construction,La dernière distribution de ré-chauds s'est faite au village à100% chrétien de Inichke. Ilfaisait 5°, la neige tombait surles sommets tout autour et j'aiobservé des personnes nu-pieds dans leurs sandalettes. Ilsont marché plus de 10 joursdans la montagne, sans nourri-ture, et ne prenant pas le temps

d'enterrer leurs morts car il fal-lait, en priorité, sauver leur vie.

Ils ont faim, la nourriture manque, et nous leuravons promis, avant fin janvier de faire unenouvelle collecte de dons, pour leur apporterce minimum de survie ; ce don qui peut-êtreéclairera notre conscience de nantis et d'aveu-gles. Car j'ai souvent l'impression de quitter lemonde de l'horreur pour retrouver ici celui del'indifférence.Puissent les faits dénier ce pessimisme passa-ger. Et puissent les lecteurs de cet article prou-ver leur clairvoyance en encourageant par leursdons ceux qui, là bas, au Kurdistan, meurentpour que vivent les valeurs qui leur sont chèreset qui sont aussi nos valeurs démocratiques.Mes dernières pensées vont à S. et D., cesPeshmergas français qui, sans bruit, offrentleurs vies aux balles de Daesh pour que nouspuissions demain vivre en sécurité.On a beaucoup parlé dans les médias de L'E.I.et de ses exactions, je n'ai encore lu aucun ar-ticle sur ces héros, ce mot n'est pas dans leurvocabulaire, ils préfèrent parler de martyrs.Merci pour euxLe KRANK : merci Jean pour ton témoignage,ton courage et ta générosité.Les chèques sont à faire au nom de l'asso-ciation franco-kurde d'Albi et postés à JeanLadan, Trez Kerouer, 29780 Plouhinec.

E 8 FÉVRIER 2015 > 16 H. SALLE MULTIFONCTIONS (AFFAIRES MARITIMES) AUDIERNE > ASSEMBLÉE GÉNÉRALE CAP ACCUEIL DIMANCHE 8 FÉVRIER 2015>16 H. SALLE

SOLIDARITÉ KURDISTAN retour de mission humanitaire

Le Petit Princede Saint-Exupéry

Le 6 décembre 2014, Les souris blanches,module de Cap Accueil, ont produit unelecture du Petit Prince, au bénéfice del'association « Pas à pas avec Alexia » quis'occupe des enfants porteurs du syn-drome Smith-Magénis. Le bénéfice réa-lisé (300 euros) grâce à l'engagement età la générosité des présents a été inté-gralement reversé à l'Association par An-drée Chapalain. Au-delà du plaisir de lire et d'offrir cettelecture, nous avons été heureux de par-ticiper à l'investissement de Cap Accueildans sa démarche sociale. La prochaine intervention des Sourisblanches se fera au profit des Restos duCœur.

Sur la photo, pendant le vernissage de l'expo du peintre Artak Sakanyan, Sacha Hamparian artisanavec Marie de Lagausie de cette journée, Marie-Claire Garnier et Andrée Chapalain co-présidentes deCap Accueil, Claude Bouvier, Mr Georges Kervorkian président de Menez Ararat, Mme Isabelle Rivier,adjointe à la culture et Mr Yves Cariou adjoint. Jean Ladan (2e à gauche) avec le ge�ne�ral SERBES et deux Peshmergas

René VAUTIERCaméra au poing, un ami nous a

quittés.La presse régionale et nationale a large-ment rappelé l’itinéraire de ce cinéaste(Avoir 20 ans dans les Aurès) inlassablemilitant anti-colonialiste, décédé à Can-cale le 4 janvier 2015.Nous avons eu l'occasion à Cap Accueil,de rencontrer René VAUTIER, pour ses 80ans en janvier 2008 autour de son filmAfrique 50. Il était heureux de retrouverdes amis Plouhinecois. Nous avionspassé des heures merveilleuses car Renéétait un conteur talentueux à la mémoireextraordinaire. Claude Bouvier

JOIE DE VIVRE&

CONVIVIALITÉQue ce soit pour la soirée consacrée aux ateliers (photo du haut) et activités de CapAccueil (photo du bas) ou pour accueillir les adhérents récents à l’occasion du Beau-jolais nouveau, tous les prétextes à passer de bons moments ensemble à se détendreet à créer ou renforcer des liens d’amitié sont bons. La réussite de ces soirées convi-viales repose sur la préparation des bénévoles qui rivalisent de talents d’organisateursen cuisine ou sur la piste.