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art moderne - danse présente quatre danseurs d’exception! ANUANG'A - ZIYA AZAZI MARISTELLA - LORETA JUODKAITE

ART MODERNE - DANSE

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art moderne - danseprésentequatre danseurs d’exception!ANUANG'A - ZIYA AZAZI MARISTELLA - LORETA JUODKAITE

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ANUANG'A Le sang de la terre, le feu du soleil - KENYA

Anuang’a, gardien du rituel massaï, est détenteur d'une grandepuissance. De son corps naissent le rythme et la musique, de sonénergie nait le souffle qui anime une gestuelle épurée, sensuelleet lascive, mais pleine d’énergie : ondulations, sauts vertigineux,Anuang’a est traversé par une vague. Celle dont la puissance dé-place les dunes depuis l’horizon du désert et met en branle l’océansans fin.

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ANUANG'A & ZIYA AZAZI

Contact : art moderne - 63, rue Consolat 13001 Marseille-France - +33 (0) 495 043 028 - artm

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wanadoo.fr

ZIYA AZAZI Tourner, Tourbillonner - TURQUIE

Ziya Azazi tourne, tourbillonne sans cesse en quête de la joie etde l’extase. Ce danseur et chorégraphe d’Antioche, a commencépar la danse contemporaine et la gymnastique acrobatique avantde se ressourcer auprès des derviches anatoliens. Il a inventé unconcept et des spectacles, véritables lieux de progression de l’âmeet un vocabulaire chorégraphique personnel et unique. A la re-cherche de sa vérité, il a transgressé les tabous et la rigidité desunivers qu’il a successivement traversés, forgeant un langage per-sonnel.

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LORETA JUODKAITE Le feu et la glace - LITUANIE

Belle et entêtante, d’une immense force dans le mouvement, elleparait enfermée dans un monde étrange qui serait fait d’énergiepure. Muscles bandés, elle frappe le sol des poings et des pieds,éclaire les ténèbres, déchaîne les éléments, puis revient à l’essen-tiel, à la matière des origines. Ses chorégraphies ont défrayé lachronique. Inclassable, elle n’appartient à aucune école et peuts’intégrer à toutes les modes. Elle s’accroche à la matrice de laterre en même temps qu’elle la déchire, elle éclipse ses parte-naires, on ne voit qu’elle sur la scène, qui nous emporte dans sontourbillon farouche. Femme des âges premiers, déesse, prophé-tesse, un feu brûlant surgit, venu du nord des univers glacés.

MARISTELLA La morsure de l’araignée - ITALIE

La médecine traditionnelle est impuissante. La victime est possé-dée, mélancolique ou agitée, on ne sait à quel saint se vouer. Onen appelle aux dieux. Mais les dieux d’aujourd’hui ne savent plusguérir ce mal. On va solliciter le cortège des dieux antiques, Dio-nysos en tête. Pour leur parler, il faut chanter, il faut danser aurythme fou des tambourins et des tambours, aux accords endiablésdes guitares battantes, des heures durant, jusqu’à la transe,jusqu’à la délivrance. Quand les dieux ont accepté la supplique,la frénésie prend fin, le mal s’éloigne brusquement, la tarantellea vaincu la tarantule. Maristella peut enfin dormir.

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MARISTELLA & LORETA JUODKAITE

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ANUANG'A Le sang de la terre, le feu du soleil - KENYA

Eleveurs pacifiques et guerriers courageux, les massaï ignorent les frontières ; du lac Victoria aux rives de l’océan Indien, ilsconduisent les troupeaux dont Dieu leur a confié la garde. Dans un univers d’ocre rouge qui mêle la terre, le soleil, le feu etle sang, la tunique écarlate du guerrier à la silhouette longiligne émerge d’un tourbillon de poussière. Plastique parfaite, an-neaux de bronze, lance en main, glaive passé dans son étui en peau de girafe, il semble marcher sur l’eau.

Anuang’a, gardien du rituel, est détenteur de cette puissance. De son corps naissent le rythme et la musique, de son énergienait le souffle qui anime une gestuelle épurée, sensuelle et lascive, mais pleine d’énergie : ondulations, sauts vertigineux,Anuang’a est traversé par une vague. Celle dont la puissance déplace les dunes depuis l’horizon du désert et met en branlel’océan sans fin.

TRADITIONAL FUTURE ( solo 2011)Production Pierre Cardin

30mn ou 55mn

Dans ce spectacle, Anuang’a relie la tradition à une chorégraphie résolument contemporaine. Sol sableux, ocres rouges de saterre natale, pagne écarlate. La lumière va du vermeil au grenat, traverse le carmin, joue avec l’amarante. C’est le sang dutroupeau que les éleveurs boivent avec respect. Le sang des animaux dont les dieux leur ont confié la garde et dont le sangest religieusement recueilli par un procédé d’antique transfusion. C’est la couleur du sable au couchant. C’est le sable dontles danseurs enduisent leurs corps humides. Ce sont les traces que les doigts impriment sur les membres. Ce sont les cerclesqui délimitent les huttes et les villages. Ce sont les chants traditionnels scandés sur un tempo répétitif et envoutant. C’est leciel d’un bleu profond au matin, blanchi par la chaleur torride du midi et apaisé de rose le soir. Concours de beauté, de forceet de souplesse, sauts vertigineux, souffle puissant, réunis dans une chorégraphie audacieuse.Créé en 2011 à l’Espace Pierre Cardin de Paris, puis interprété au Musée des arts premiers du Quai Branly à Paris.

A JOURNEY INTO THE FUTURE (solo * 2007)Production Ballet Preljocaj

30mn ou 45mn

Réputé pour sa maîtrise d’une danse qui canalise l’énergie plus qu’elle ne cherche comme ailleurs les débordements, Anuang’aexcelle dans le déroulé de son corps comme traversé par une vague. Le corps du danseur est en lui�même puissance rythmiqueet production musicale, un corps suffisamment fort pour s’affronter au reste du monde. Or la réalité du monde a changé.Alors comment, à partir de données traditionnelles, s’engager dans la modernité sans perdre au passage ce qui fonde sonidentité ? A journey into the future est l’histoire des risques de cette évolution nécessaire, le récit personnel d’un apprentissagedes codes contemporains sans jamais tourner le dos aux traditions. Anuang’a signe un solo dans la lignée de la danse intérieureMaasaï : son récit initiatique.Ce spectacle, créé au festival OFF d’Avignon, a été également interprété au « Pavillon noir » d’Aix-en-Provence (A. Preljocaj),au Colisée de Roubaix (Carolyn Carlson), puis en juin 2011 au festival June Events (atelier parisien de Carolyn Carlson).

VOÏCES & Feeling ( solo * 2009 )Production Mizizi Arts

30mn ou 45mn

A travers cette pièce, ANUANG’A a voulu rendre hommage aux Voix Maasaï, véritable moteur de sa gestuelle traditionnelle,dansée dans ses chorégraphies contemporaines. Prières des ainés écoutées sagement par les jeunes morans, chants mélan-coliques des anciennes fiancées qui racontent les mariages et les naissances; transe des jeunes guerriers; chansons d’amour,de jeux, de labeur quotidien et de transmission culturelle.

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ZIYA AZAZI Tourner, Tourbillonner - TURQUIE

Ziya Azazi tourne, tourbillonne sans cesse en quête de la joie et de l’extase. Ce danseur et chorégraphe d’Antioche, a commencépar la danse contemporaine et la gymnastique acrobatique avant de se ressourcer auprès des derviches anatoliens. Il a inventéun concept et des spectacles, véritables lieux de progression de l’âme et un vocabulaire chorégraphique personnel et unique.A la recherche de sa vérité, il a transgressé les tabous et la rigidité des univers qu’il a successivement traversés, forgeant unlangage personnel.

DERVISH (solo en deux parties)

Avec ses créations Ziya Azazi exploite l’espace, trangresse les limites mentales et physiques de la tradition des derviches tour-neurs et invente une nouvelle forme.Dervish est un rituel à la fois antique et moderne. Il met en scène la progression de l’âme... L’énergie extraordinaire de ZiyaAzazi nous entraîne dans cet univers mystique, où la beauté et le tournoiement jusqu’au bout du vertige, conduisent à latranse. Le danseur déploie l’espace, transgresse les limites mentales et physiques de la tradition des derviches tourneurs etcrée une nouvelle écriture chorégraphique.

ICONS (deux danseurs, un musicien)

Ziya Azazi s’est associé à Loreta Juodkaite, dans une chorégraphie qui mêle sans répit tournoiement et jaillissements. La trom-pette de Serge Adam porte la magie du spectacle : sons rauques ou lumineux, violents ou langoureux, rythmes effrénés. Leséclairages du plasticien light designer Lutz Deppe ajoutent au mystère de l’ascension et de la chute, thèmes au cœur de la re-cherche du chorégraphe. Les danseurs brûlent littéralement la scène et leurs corps dans le défilement d’une passion déchaînéequi relie rituel, tradition et avant-garde.

EMBER (spectacle pyrotechnique, solo, 20 minutes)

Cerné par les flammes, la jupe embrasée, le derviche se déploie en un tournoiement désespéré. Il se consume dans l’espacechaviré engendré par sa danse vertigineuse. Créée en 2010, cette pièce a immédiatement connu un succès internationalauprès des organisateurs de spectacles de rue. Elle a évolué, atteignant aujourd’hui la perfection.Pour des raisons de sécurité, ‘Ember’ ne peut se dérouler qu’en extérieur.

ENERGY (deux danseurs, un percussionniste, 60 minutes)

« À la lumière » de l’électronique, Ziya Azazi a composé cette ode à l’environnement avec la complicité du percussionnisteClaudio Bettinelli. Ils revisitent bien à propos l’histoire de l’énergie. Un clin d’œil au développement durable, le choc du tour-noiement quand il produit de la musique, la magie de la musique quand elle produit du mouvement. Cramponnez-vous !Nouveau spectacle, création à Toulon le 9 juin 2012 en coproduction avec le Théâtre Liberté

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MARISTELLA La morsure de l’araignée - ITALIE

La médecine traditionnelle est impuissante. La victime est possédée, mélancolique ou agitée, on ne sait à quel saint se vouer.On en appelle aux dieux. Mais les dieux d’aujourd’hui ne savent plus guérir ce mal. On va solliciter le cortège des dieux an-tiques, Dionysos en tête. Pour leur parler, il faut chanter, il faut danser au rythme fou des tambourins et des tambours, auxaccords endiablés des guitares battantes, des heures durant, jusqu’à la transe, jusqu’à la délivrance. Quand les dieux ont ac-cepté la supplique, la frénésie prend fin, le mal s’éloigne brusquement, la tarentelle a vaincu la tarentule. Maristella peutenfin dormir.

Maristella Martella représente l'association Tarantarte, centre de formation de danses populaires du Sud de l'Italie et de laMéditerranée. Elle organise plusieurs ateliers de danse à Paris, Rome, Bologne, Milan, Tanger.Ses créations : le spectacle Taràn et Tarante d'Amore di Lotta di Euforia di Trance proposent un voyage qui emmène le publicdans différentes régions du sud de l'Italie à travers les rituels de la danse ancienne et puissante. Les étapes de Pizzica dans leSalento, Tammurriata en Campanie, Calabre et la Tarantella du Gargano sont le point de départ des créations chorégraphiquesde Maristella Martella.

Belle et entêtante, d’une immense force dans le mouvement, elle parait enfermée dans un monde étrange qui serait faitd’énergie pure. Muscles bandés, elle frappe le sol des poings et des pieds, éclaire les ténèbres, déchaîne les éléments, puis re-vient à l’essentiel, à la matière des origines. Ses chorégraphies ont défrayé la chronique. Inclassable, elle n’appartient àaucune école et peut s’intégrer à toutes les modes. Elle s’accroche à la matrice de la terre en même temps qu’elle la déchire,elle éclipse ses partenaires, on ne voit qu’elle sur la scène, qui nous emporte dans son tourbillon farouche. Femme des âgespremiers, déesse, prophétesse, un feu brûlant surgit, venu du nord des univers glacés.

Chorégraphe et interprète, Lora Juodkaite a commencé la danse à l’âge de 6 ans en Lituanie. Depuis, elle n’a cessé de seformer. En 2001, elle est diplômée de l’Académie des Arts de Vilnius et part en Autriche à l’Académie expérimentale de dansede Salzbourg, dont elle sort diplômée en 2005. Depuis 2001, elle participe à des projets de danse internationaux tels que «Fuzzy Time » de Rebecca Murgi (2004, Superuovo, Milan) et « Paprika made me blind, garlic made me evil » de Vita Osojnik(2005, Sommerszene, Salzbourg)). En 2003 elle joue dans le film « Anna Netrebko : the woman, the voice » de V. Paterson. En2005 elle joue le rôle d’un ver dans la pièce ubuesque de M. Slakeski mise en scène par Christa Hassfurther.En 2005, elle retourne à Vilnius où elle rejoint la compagnie de danse de V. Jankauskas et participe au projet « Footprints ».Elle commence également une collaboration avec le projet Art-Jam dirigé par Vladimir Chekasin. Avec le musicien André ellecrée notamment le projet « Puzzle Music » dont elle signe la chorégraphie, pour le festival Vilnius City Jazz. Cette collaborations’est poursuivie par des concerts à Birstonas et Moscou en janvier-février 2006, par le projet « Here and now » pour le festivalNew Baltic Dance 06 et par le projet « Riba » mené avec des étudiants des classes de danse de Lora Juodkaite.En 2008, elle signe la chorégraphie des pièces « Nepaklusti » (en collaboration avec le musicien A. Gotesmanas), « Riba » (duo)et « Isnykti » (en collaboration avec le musicien V. Nivinskas)pour le Lithuanian National Drama Theater. Elle crée également« Eskiz » pour le Kardes Turkiler Art Pinting, Boltic Festival, et « Sibile ».Elle travaille également avec Rachid Ouramdane ; elle est une des interprètes de Des témoins ordinaires.Depuis 2011, elle collabore avec Ziya Azaz. Leur passion commune pour le tournoiement les a rapprochés. Elle est sa partenairedans la pièce Icons (musique de Serge Adam), et elle a créé avec lui et le percussionniste Claudio Bettinelli la pièce Energy aumois de juin 2012.Elle enseigne également à l’Académie des arts de Vilnius, au Vilnius Kolegium for art et dirige le Théâtre académique localde danse.

LORETA JUODKAITE Le feu et la glace - LITUANIE

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