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Les publications sont en ligne sur le site www.jiqhs Parcours médicament et dispositifs médicau A4 Parcours certification & qualiticiens A1, A2, A5, A7 Parcours des gestionnaires de risques A3, A6, A7 Parcours dirigeants, cadres dirigeants, acteurs de proje SympA, A1, A2, A5, A7 Symp C, A21, A23, A27 Parcours soignants Symp A, A5 Parcours médicaux et paramédicaux 14èmes JIQHS Lundi 26 et mardi 27 novembre 2 De nombreuses voies nouvelles pour progresser Avec plus d'efficacité, plus de terrain, plus de coopération, plus de proximité Le programme détaillé, les enjeux, les intervenant et le traitement des problémat Version finale Onglet 2 : les quatre Plénières Puis, dans l'ordre chronologique, un onglet par série de avec les symposiums, ateliers, et séances de découv Tous les témoignages présentent des approches systémiques et pluridisciplinaires. Pour v les JIQHS vous proposent des parcours. D1, D3, D5, A15 A26 D12 D1, D4 & D7 A11 , AT13, AT17 Symp C, A21, A25, D13, D16, D17 D1, D5, D6, D6, A11, A14, A15 SympC, A21, A24, D12, D13, D17, D18 D1, D2, D3 SympB, A11, A12, A13, A17 D1, D6, D7 Symp B, A14, A16, A17 SympC, A22, A23, A24, A25, D14, D16

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Les publications sont en ligne sur le site www.jiqhs.fr

Parcours médicament et dispositifs médicaux

A4 A32, A35

Parcours certification & qualiticiens

A1, A2, A5, A7 A32, A35, A36

Parcours des gestionnaires de risques

A3, A6, A7 SympD, A32, A36, A37

Parcours dirigeants, cadres dirigeants, acteurs de projets stratégiques

SympA, A1, A2, A5, A7 Symp C, A21, A23, A27

Parcours soignants

Symp A, A5 A31, A34, A36, A37

Parcours médicaux et paramédicaux

14èmes JIQHSLundi 26 et mardi 27 novembre 2012

De nombreuses voies nouvelles pour progresserAvec plus d'efficacité, plus de terrain, plus de coopération, plus de proximité

Le programme détaillé,les enjeux, les intervenants,

et le traitement des problématiquesVersion finale

Onglet 2 : les quatre PlénièresPuis, dans l'ordre chronologique, un onglet par série de sessions

avec les symposiums, ateliers, et séances de découverte

Tous les témoignages présentent des approches systémiques et pluridisciplinaires. Pour vous aider à faire des choix, les JIQHS vous proposent des parcours.

D1, D3, D5, A15

A26D12

D1, D4 & D7A11 , AT13, AT17

Symp C, A21, A25, D13, D16, D17

D1, D5, D6, D6, A11, A14, A15

SympC, A21, A24, D12, D13, D17, D18

D1, D2, D3SympB, A11, A12, A13, A17

D11, D12, D14, D18, A31, A32, A35

D1, D6, D7Symp B, A14, A16, A17

SympC, A22, A23, A24, A25, D14, D16

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Symp A, A6, A34, A36, A35, A37D1, D2, D3, D8, SympBA12, A14, A16, A15, A17

Symp CA21, A22, A23, A26, A27

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Plénière 1 Lundi 26 novembre 2012, de 9h00 à 10h00

Mieux satisfaire le patient à chaque étape du processus de soin

Modération Pascal FORCIOLI, président et fondateur des JIQHS

03.21.79.69.48 (secr) ; [email protected]

1 La satisfaction du patient : ce que nous avons appris à son domicile

Intervenant Yannick GARCIA, directeur, Santé Service, HAD Dax, Aurélie MINBIELLE, responsable qualité & risques

05 58 58 10 58 ; [email protected] ;

2 La satisfaction du patient : ce que nous avons appris en colloque singulier

Intervenant Dr Imelda SCHWARTZ-HAENEL, anesthésiste réanimateur, Hospices Civils de Colmar03 89 12 60 87 ; [email protected]

3 L'expérience du patient et les patients partenaires : une approche québecoise de la qualité

Intervenant Dr Michèle de GUISE, CHU de Montréal, directeur de la Qualité, de la Promotion de la santé et de l'Expérience du patient

001 514 890 80 45 ; michè[email protected]

Christophe GEISLER, commissaire, pour le comité scientifique des JIQHSPrésentation flash du programme et informations pratiques sur le déroulement des JIQHS 2012

Durée totale :

Séances Plénières des JIQHS 2012

Accueil et présentation du thème JIQHS 2012 : enjeuxdes ressources humaines dans les défis de la qualité et de la sécurité, des nouvelles expériences du terrain transposables dans nos établissements,des problématiques émergentesde l'évolution des métiers et repsonsabilités en matière de risques et de qualité

"Les critères d’humanité sont ceux qui surpassent les attentes du patient. Le patient n’attend pas le sourire, ni le réconfort, ni la confiance, ni la gentillesse ou même l’humour. Il espère toujours un regard apaisant, un mot gentil, un geste d’affection. Il n’a pas à les exiger. La Mayo Clinic sait que sa réputation ne peut qu’en sortir grandie. « Cerise sur le gâteau », ce temple de la médecine moderne, de la plus haute sophistication technologique et médico-chirurgicale, cherche à offrir aux patients des médecins et des personnels soignants et administratifs doux, calmes, attentifs voire attentionnés, à l’écoute, et non pressés. Le choix que les personnels soient tous salariés et non rémunérés à l’acte (comme dans la plupart des établissements privés nord-américains) y participe, depuis la fondation de la clinique, par les frères Mayo – il y a 100 ans. La valeur première de l’institution centrée sur « le patient d’abord » y prend tout son sens. Le personnel y met souvent un point d’honneur et y place sa fierté.

La Mayo Clinic a conduit une enquête récente auprès d’un échantillon de 192 patients sortis de l’hôpital, interviews téléphoniques de 20 à 50 minutes, leur demandant ce qu’ils avaient le mieux et le moins bien apprécié dans leurs relations avec les soignants de la Mayo. Les résultats de l’étude ont montré clairement que la satisfaction des patients ne relevait pas uniquement de la qualité technique des soins dispensés. Bien souvent d’ailleurs les patients n’ont pas les moyens de la juger. Non que cette qualité n’ait d’importance à leurs yeux, c’est même la raison principale de leur consultation, mais les relations patients-médecins, la qualité d’écoute du personnel soignant, la qualité de l’accueil et du service hôtelier sont importantes aussi à leurs yeux, et autrement plus faciles à juger par eux." (source E. Flahaux, Doyen EHESP)

« La satisfaction des patients est notre critère n°1, et cela est tout à fait connu des cadres. Aujourd’hui, nous avons 97% de patients satisfaits. » (Un établissement du panel de l'enquête JIQHS 2012)

L'alternative à l'hospitalisation nous pousse à aborder la satisfaction au-delà du patient, de façon plus proche de la personne, de son entourage, de l'ensemble de la vraie vie. Cela nous conduit à modifier notre activité, notre regard, notre façon de soigner. A toutes les étapes. Ainsi notre politique de satisfaction du patient devient toujours plus une politique d'écoute attentionnée : institutionnellement et individuellement, organisationnellement et contractuellement, sur le long terme et dans le quotidien. C'est ce que nous venons partager avec vous : les patients nous remercient, et c'est notre principal raison d'être. Et il reste encore beaucoup à faire !

Personnaliser intensément la relation au patient ? Le faire participer activement aux étapes du soin ? Se rendre totalement disponible pour lui ? Voici le coeur du sujet : les méthodes, les indicateurs, les enquêtes, les processus. Oui, nous y croyons ! Mais la relation singulière, qu'en faisons-nous ? Justement, parlons-en. Envisageons une expérience d'attention totale du patient. Une de ces expériences qui change fondamentalement la communication avec lui et ouvre à une communication thérapeutique nouvelle. Souvent le patient arrive stressé, ses centres d'intérêt nous échapent, il n'est pas disponible ni à l'écoute. En nous formant à l'hypnose, nous nous sommes transformés dans le but de la prise en charge en anesthésie. Puis, cette transformation nous a gagné : l'écoute du patient a changé, le dialogue s'est approfondi, la conversation et la tournure des phrases elles-mêmes se sont modifiées. (Cet aspect sera abordé dans l'atelier 17 "Bientraitance : du nouveau)". Nous sommes presque tous formés : médecins anesthésistes et infirmières. La formation est longue, c'est un investissement.

Oui, vraiment, nous pensions bien faire. Pourtant nous avons appris à encore mieux satisfaire le patient au sein de notre processus de soin. Aujourd'hui, on ne le quitte plus d'une semelle, on le prend totalement en charge. Il se sent authentiquement accompagné. Pour lui ça change tout. Il en est touché, il en exprime sa très grande satisfaction. Le plus incroyable, c'est que nous sommes nous-mêmes transformés par l'approche : on s'améliore jour après jour, même après des années. Chaque cas est extrêmement différent et toujours motivant. Et même un peu plus : on réanime avec chaque patient la source première, on sait pourquoi on a fait médecine !Alors que nous nous sommes fortement inspirés depuis 20 ans des démarches qualité issues de l'industrie, il nous a semblé essentiel de démarrer ces journées par des principes uniques, propres à la santé. Et si les métiers de la santé s'inspiraient plus d'eux-mêmes, de leur expérience si particulière du colloque singulier ? Et si les JIQHS plaçaient leur 14e édition sous le signe du QUALITATIF ?

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Plénière 2 Lundi 26 novembre 2012, de 17h00 à 18h00

Modération Pascal FORCIOLI, président des JIQHS, Christophe Geisler, Commissaire

Introduction et présentations

Témoin

Intervenant Pascal DUFOUR, directeur des soins, de la qualité et de la gestion des risques, CH Henri Ey, Eure & Loire

02.37.44.76.06 ; [email protected]

Intervenant Pr William DAB // Pr Jérôme SALOMON, Chaire « Hygiène et Sécurité » au CNAM

01 40 27 25 65 ; [email protected] ; 01 58 80 86 23 ; [email protected]

Elargissement, synthèse et conclusions

Plénière 4 Lundi 26 novembre 2012, de 18h30 à 19h30

Questions ouvertes à la HAS

Intervenants

Animation

Mieux prendre en compte les professionnels et notamment leur santédans les démarches qualité et sécurité

Un représenant du personnelUn DRH

ET SI ON SE METTAIT VRAIMENT DU COTE DES USAGERS ? Les ressources humaines, facteur n°1 d'attractivité !Score EQAR : Les indicateurs d'attractivité d'un établissement de santén°1 : un personnel qualifié et en nombre suffisant = 100%n°2 : des professionnels aimables et accueillants = 94%....n°8 : Valorisé par la HAS pour la qualité et la sécurité des soins = 65%n°14 : Qui fait partie des classements réalisés par la presse = 29%Voilà un travail qui remet les idées en place ! Inspirons-nous en tous.

La direction au service du terrain !La sécurité, la santé, les conditions de travail réelles des professionnels : pourquoi de nombreux secteurs économiques sont-ils en avance sur le monde de la santé ? Faut-il en faire un sujet central de la politique qualité, avec quelles spécificités pour le monde de la santé ? Faut-il envisager des modalités pratiques de pilotage local d'une telle stratégie ou faut-il attendre une intervention du législateur ? D'autres acteurs de la régulation peuvent-ils accélérer cette transformation souhaitable (agences, autorité, tutelles, ministère, médecins du travail). Faut-il mieux prendre soin des professionnels qui soignent ? Qu'envisager pour les 10 ans à venir alors que nous traversons une époque financièrement difficile ?Nous pensons à deux sujets prioritaires : - Les effectifs, qui représentent un "facteur surdéterminant" des conditions de travail (avec la question de l'adéquation entre les ressources et la charge de travail réelle)- L'encadrement et la hiérarchie de proximité, premier manager et premier DRH des équipes sur le terrain.

Premier débat : la qualité au service du terrain !La fonction qualité : à l'écoute des professionnels, dans leur situation quotidienne de travail, dans le cadre d'une stratégie collective d'intense amélioration continue. La sécurité, la santé, les conditions de travail réelles des professionnels : sujet central de la politique qualité, déclinaison opérationnelle, impact. La démarche qualité a-t-elle un rôle dans la motivation et la satisfaction des professionnels ? Modalités pratiques de pilotage d'une telle stratégie pour les 10 ans à venir.

Second débat : la DRH au service du terrain !La DRH au service du terrain : à l'écoute des professionnels, dans le cadre d'une stratégie collective de performance globale, avec les partenaires sociaux, autour de la sécurité, de la santé, des conditions de travail réelles des professionnels : sujet central de la politique RH, médicale, paramédicale et fonctions supports. Modalités pratiques de pilotage d'une telle stratégie RH, en vue de quel modèle pour les 10 ans à venir.

Pr Jean-Luc HAROUSSEAU, président du collège de la Haute Autorité de SantéDominique MAIGNE, directeur de la Haute Autorité de Santé

Pascal FORCIOLI, président des JIQHSChristophe GEISLER, commissaire des JIQHS

Un moment d'échange particulier :pour vous participants, souvent pionniers des démarches dans vos environnements,pour les JIQHS, lieu décloisonné de préparation concrète de l'avenir,pour la HAS, à l'autorité reconnue mais à la légitimité toujours à construire.

Pas de diaporama. Le dialogue est ouvert avec le président du collège et le directeur. Les questions sont posées par la salle.

Trois thèmes seront abordés successivement :

1/ Evolutions à moyen terme de la certification et de la mesure de la qualité et de la sécurité

2/ Evolutions des risques, des politiques de gestion des risques et de la place des médecins dans les démarches qualité et gestion des risques

3/ Sur des axes particuliers : médicaments, dispositifs médicaux, SIH, RH/qualité de vie au travail, référentiels

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Synthèse, conclusion

Questions ouvertes sur les évolutions à moyen terme de la certification et de la mesure de la qualité, de la sécurité, de la satisfaction, de l'efficience.EXEMPLES : Allègement ou allourdissement ? Certification tous les x temps ou continue ? Certification d'un niveau ou d'une dynamique ? Augmentation des certifications ciblées sur des activités spécifiques (imagerie, laboratoire, radiothérapie, ...) ? Durcissement des sanctions positives ou négatives ? Reconnaissance des établissements atteignant tel niveau d'excellence ?Nouveaux domaines : certification des équipes, du parcours de soins, etc.Qualité et temps difficiles : place de l'efficience ? financement des ressources pour la qualité, la sécurité et l'efficience ?Certification en ligne : est-ce abandonné ?Ouverture plus grande vers la francophonie (ici présente) ?Lourdeurs administratives : les qualiticiens font de plus en plus de gestion, de moins en moins d'amélioration ou de réduction du danger réel. Soit il faut plus de qualiticiens soit il faut supprimer ce qui est sans réelle valeur ajoutée...Avons-nous tout exploré ? L'avenir sera-t-il fait de "plus de même" ? Pouvons-nous retrouver une vision positive des démarches qualité ?Prendrez-vous en compte les propositions pour la HAS, formulées et remises à Thomas Le Ludec ce jour par le groupe de travail ?

Questions ouvertes sur l'évolution des risques et des politiques de gestion des risques :EXEMPLES Irons-nous un jour vers des exigences affichées de niveau de risque maximum ?Comment la HAS soutient-elle les politiques positives de signalement ? sanctionne-t-elle les excès de non signalement ? Comment la HAS soutient-elle la réduction des risques pour les professionnels de santé (TMS, RPS, épuisement, absentéisme...) : comment mieux soigner l'hôpital qui soigne ?Quels sont les nouveaux risques ? quid des spécialités à risques, de la collaboration avec les sociétés savantes, les nouveaux CNP et le financement du DPC ? de la collaboration avec les RU et les aidants des malades chroniques ?Quid des des métiers de gestionnaire de risque et de qualiticien : plus de spécificités ou plus de convergence ?Lourdeurs administratives : les gestionnaires de risques font de plus en plus de gestion, de moins en moins de réduction du danger réel. Redondance des demandes des tutelles...Inaugurer une approche plus collaborative avec les professionnels après la récente avalanche de textes

Questions ouvertes sur l'évolution de la place des médecins dans les démarches qualité et gestion des risquesEXEMPLES Avenir des EPPCarrière et rémunération des médicaux et paramédicaux qui s'investissent dans les démarches qualité ? Avenir de l'accréditation individuelleResponsabilité des PCMENouvelles exigences de formation des médecins en Q et GRNouvelles exigences en matière de conflits d'intérêtsNouveaux modes de partage des connaissances, de production collective de dynamique collaborative, de traitement des enjeux globaux

Questions ouvertes sur des axes particuliers :EXEMPLESLe médicament (des dispositifs d'alerte aux lanceurs d'alerte, des dispositifs de vigilance transversaux aux vigilances quotidiennes sur le terrain)Les dispositifs médicaux, (idem)Le SIHLe développement durable Les RH, le bien-être au travail et son pendant négatif "le mal-être" au travail (sujets fortement traités dans le programme des JIQHS).Les référentiels doivent-ils se mêler de chaque sujet ? Ne doivent-ils pas se focaliser sur l'état d'esprit, les méthodes communes, l'engagement des responsables ?

Questions ouvertes diversesEXEMPLESLa prochaine enquête ENEIS montrera-t-elle une amélioration ?La HAS validera-t-elle les dispositifs de télésanté ?Quelles orientations spécifiques pour la psychiatrie ? Pour les EMES ? Pour les maisons de santé ?La HAS demande à tout le monde d'évoluer, mais est-elle réformable ?

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

spécial Lundi 26 novembre 2012, de 19h30 à 20hQGR francophones : ensemble en 2013 !

Intervenant Isam KHAY, CHU de Marrakech, président de l'AFQUARIS, membre du comité scientifique des JIQHS

00 212 6 64 64 19 18 ; [email protected]

Plénière 3 Mardi 27 novembre 2012, de 13h30 à 14h45

De la performance individuelle des professionnels à la performance territoriale de l'offre de soins

Principe de la plénière : dialogue en direct avec la salle

Modération

03.21.79.69.48 (secr) ; [email protected]

Intervenant Didier IDJADI, professeur à l'université, intervenant au CNAM et à L'Ecole centrale

06 21 92 29 71 ; [email protected]

Premiers exercices d'anticipation : exemple d'un établissement

Intervenant Pascale GUILLAIN, Présidente de la CME du CH de Douai

03 27 94 76 20 (sec) ; [email protected]

Intervenant Jean-François TOUSSAINT, professeur à la faculté de médecine, Hôtel Dieu, Paris

06 25 93 20 76 ; [email protected]

Dialogue avec la salle

Intervenant

01 40 56 76 85 ; [email protected]

14:30 Remise des prix des Posters Scientifiques JIQHS 2012

Avec Risques & Qualité

connexion@

Alliance Francophone pour la Qualité et la gestion des Risques AFQUARISConférence de lancement international de l'alliance. Elle fédère les associations, les sociétés savantes, les formations en QGR.Présentation du congrès AFQUARIS 2013, ces 18 et 19 janvier 2013 à Marrakech :www.aquaris.org

Pascal FORCIOLI, président fondateur des JIQHS, directeur du groupe AHNAC, Association hospitalière Nord Artois Cliniques

Les tendances qui ajoutent de plus en plus de pratiques collectives à l'exercice individuel : tout va se jouer au niveau territorial

La réussite du changement consiste souvent à se créer des opportunités, à les saisir et à les transformer en réalité : nouvelles perspectives

Devant ces enjeux, une perspective immédiate, le Programme Hôpital NumériqueLe socle des priorités… nationales, les objectifs d'usage… sur le terrain

Laetitia MESSNER, responsable de la Mission des Systèmes d'Information de l'Offre de Soins, DGOS, en charge du programme numérique national

Appel des auteurs primés ou nominés et remise des prix JIQHS 2012. Invitation à retrouver leurs auteurs en atelier 34 "Restitution des posters primés et nomminés"

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Lundi 26 novembre Matin 10h30 - 12h15Symposium Symposium A : Lundi 26 Novembre de 10h30 à 12h15

Animation

06 16 27 90 85 ; [email protected]

Témoins

1

Intervenant Anne-Marie PRONOST, dir adj Clinique Pasteur, Toulouse

sec : 05 62 21 30 83 ; [email protected] ;

Discussion

Symposiums et Ateliers

Du bien-être au travail au bonheur de bien travailler, nouvel impératif en santé RH & bientraitance "référentiel ARIQ, Magnet hospital, établissement où il fait bon travailler"

Marie-Françoise DUMAY, chargée des ressources humaines, directions de l'offre de sanitaire et médicosociale, ARS Ile de France

Eric SANZALONE, Chef du Bur de l'organisation des rel sociales et des pol sociales, RH3 - DGOSBrigitte SCHERB, coordinatrice gnle des soins, GHU Paris Centre et ADRHESSClaude BERNARD, ancien DRH, ANAP

B.S : 01 58 41 10 99/93; [email protected] ; C.B : 06 26 83 61 86 ; [email protected] ; E.S : 01 40 56 68 63 ; [email protected]

Introduction, enjeux, présentations, règles des échanges, questions de la salleLe lien entre qualité et qualité de vie au travail est évident. Pourtant les améliorations et le changement en général n'apportent pas que des solutions, ils engendrent aussi du stress. Les établissements doivent intégrer les nouvelles obligations 2012 imposant aux CHSCT de se prononcer sur l'annexe du document unique relative au stress et à la qualité de vie au travail. On est allé trop loin : désormais, l'amélioration de la qualité pour les patients passe par l'amélioration de la qualité de vie des professionnels de santé. Qu'est-ce qu'une gestion des RH de qualité du point de vue des salariés ? Plusieurs expériences pilotes, les experts et la littérature montrent des voies à suivre. Devenir davantage vertueux en RH, quand on connaît les solutions, est-ce encore une option ou un impératif ? Facile à dire, plus difficile à réaliser. Voici des pistes remarquables pour nous aider à progresser au niveau des établissements comme des tutelles.

Aimer le travail bien fait, aimer son travail, aimer son établissement : plus de ressources humaines dans la qualité. Trophée RH 2010 (FHP)

"Le devoir de faire ne permet plus de manager, il faut insister sur le plaisir de faire, et d'autant plus que les salariés s'inquiètent de ne pas être capables d'accéder aux performances à la fois grandissantes et renouvelées" écrit Alain d'Iribarne, l'un de nos plus grands sociologues, directeur de recherche au CNRS et responsable scientifique de l'Observatoire de la qualité de vie. Et si nous nous emparions de ce message de bon sens dans nos établissements avant qu'il ne soit trop tard ? Et si la qualité du travail médical et soignant passait par un nouvel impératif stratégique : se donner pour objectif de retrouver le bonheur de bien travailler ? Pas seulement l'évoquer, mais l'écrire, le signer et tenter de le faire. Une utopie ? Ou simplement le retour à un impératif dans nos métiers où la principale valeur sera toujours la ressource humaine ? Plus de reconnaissance, plus d'écoute des besoins du patient et de sa famille, plus d'écoute des professionnels, plus d'humanisation des soins : diable, plus de qualitatif dans la qualité !

L'hôpital magnétique ("magnet hospital") s’oppose aux procédures généralisées sans participation, aux règles figées, à l’absence de prise en compte du facteur humain et social au travail. Cela fait 14 ans qu'on en parle aux JIQHS, que des témoignages indiquent des pistes d'action : voici le premier exemple "global et cohérent dans la durée". La démarche ARIQ prend ce nouvel impératif au sérieux. Concrètement, elle apporte une méthodologie tant au niveau stratégique qu'au niveau opérationnel. Les équipes de soins sont davantage autonomisées. Elles sont encouragées à innover et font évoluer en permanence leurs méthodes de travail pour les améliorer. L’hôpital leur apporte un réel soutien pour progresser sur de nombreux plans : les pratiques, la sécurité, l'informatique, les garderies, l'information accessible, le management de proximité. En même temps, il fait des choix et il contraint. Il est donc vécu comme équitable et utile.

Les infirmières apprécient la valorisation dont elles sont l’objet sur les plans humains et professionnels, car ce dernier point est fondé sur la reconnaissance de la compétence et de la progression. Par exemple, cette reconnaissance peut prendre la forme d’une mission d'expertise, d'un monitorat, d'un enseignement.L'ensemble de la démarche améliore le service médical et paramédical rendu aux patients. C'est donc bien une démarche qualité et sécurité. Mais centrée RH. On ne devient pas magnétique en copiant collant un plan magnétique. Personne n'est magnétique, c'est le collectif qui aimante. Et c'est un choix de long terme qui porte en lui une vision : aimanter et aimer ont la même racine, il s'agit de vouloir davantage aimer le travail bien fait, son travail, son métier, son établissement. Cela suppose de s'y préparer, de s'y investir et au passage d'accepter d'être transformé. Vous en avez sûrement rêvé. La clinique Pasteur l'a fait.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

2

Intervenant Nadia PEOC'H, cadre supérieur de santé, MCU, CHU de Toulouse

05 61 77 94 61 ; 06 19 51 67 81 ; [email protected] ; [email protected]

Discussion

3 Du stress des étudiants en médecine au burn out des médecins

Intervenant

06 14 35 74 59 ; [email protected]

Enjeux, difficultés, réponses, méthode, résultats, leçons

Synthèse et conclusions

Atelier Atelier 1 : Lundi 26 Novembre de 10h30 à 12h15

V2010 : évolution et conseils pratiques avec la HAS

Animation Jamila OUMAHI, ingénieur en chef qualité gestion des risques, CH de Carcassonne

Témoin discuttant

04 68 2435 93 ; '[email protected]'; 03 81 61 68 10 ; [email protected]

1a Réussir sa certification V2010… en 2013

Intervenant

1b Annonce flash : Poster 203 CH Saint-Brieuc : simplifier le manuel qualité avec une version communicante en PPT

2

Intervenant François BERARD, Chef du Service Certification des Etablissements de Santé, HAS

Comment définir la qualité du travail bien fait sous l'angle de la ressource humaine : une réflexion au-delà des procédures et des compétences

"Un individu fortement impliqué s’identifie, s’engage et prend plaisir à être membre de l’organisation qui l’emploie". Un travail de qualité est un travail qui a du sens, qui a de la valeur, qui a des valeurs. Et c'est tous les jours. Réflexion action à partir des valeurs professionnelles, comme composante de la stratégie d’implication organisationnelle des professionnels de santé…Enjeux, difficultés, réponses, méthode, résultats, leçons pour mettre plus de ressources humaines dans la qualité.

Dr Donata MARRA, psychiatre GHU Pitié-Salpêtrière, présidente du bureau-interface professeurs-étudiants de la faculté de médecine Pierre et Marie Curie, Paris

Les études de médecine sont difficiles : charge de travail, durée, examens et concours, sans oublier le stress lié à la pratique de la médecine. Plusieurs études internationales indiquent une prévalence non négligeable de troubles anxio-dépressifs concernant jusqu’à 30% des étudiants. L’expérience acquise dans notre Faculté par la mise en place d’un Bureau-Interface-Professeur-Etudiant (BIPE) dont l’un des objectifs est la détection, l’évaluation et l’orientation des étudiants en difficulté confirme la nécessité de mettre en place, comme pour les seniors, des structures dédiées. Comme leurs aînés, les étudiants consultent difficilement avec une crainte du retentissement sur leur carrière, et avec des conséquences comme l’automédication, le burn-out, et la dépression.Le BIPE développe différentes interventions (de la formation à la gestion du stress, à l’optimisation de leur apprentissage) qui participeraient à la prévention du burn-out des médecins et à l’amélioration de la qualité des soins dispensés. Qualité des soins et bien-être : ne doit-on pas s’en préoccuper pour les soignants dès la formation initiale ?

Dr Patrick NACHIN, directeur du REQUA, réseau qualité de Franche Comté, accompagnateur et formateur de nombreux établissements et expert du patient traceur

Introduction, intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement de questions de la salle

François BERARD, Chef du Service Certification des Etablissements de Santé, HASRomain OUVRARD, Responsable Qualité, Hôpital Privé des Peupliers, Générale de Santé, ParisNassera CHEVALIER, Responsable Qualité, CH d'Argenteuil

Sec. : 01 55 93 72 08 ; [email protected] ; 01 44 16 55 72 ; [email protected] ; 01 34 23 28 57 ou 34 23 24 25 poste 31 57 ;[email protected]

En introduction, la HAS présente un bilan de la certification et les conseils pratiques pour 2013.

La clinique des peupliers et du CH d'Argenteuil nous présentent deux aspects complémentaires de la préparation à la certification. Ils servent d'exemple pour structurer les échanges avec la salle et approfondir concrètement les points clés.

Avant. Les étapes de la préparation et le retroplanning ; les spécificités dans l'implication du directeur, du PCME ; les focus sur les indicateurs et sur les PEP (pratiques éxigibles prioritaires) ;Le déroulement de la visite ; que faire si les experts visiteurs se focalisent sur un domaine dont vous pensez qu'il n'est pas pertinent, sur un problème dont vous pensez qu'il est mineur ou sans risque, etc. Les marges de manoeuvre réelles, et méconnues, dans ces situations. Pendant. La visite du point de vue des Experts visiteurs : ce que nous cherchons, ce que nous entendons, ce que nous voyons, ce que nous écrivons. Les erreurs de certains établissements, les bonnes astuces d'autres, les conseils pratiques des experts visiteurs. Après. Que faire en cas de réserve, de recommandation ? Les marges de manoeuvre réelles, et méconnues, pour rebondir.Et aussi : que faire quand cela se passe bien ? Comment communiquer en retour vers les équipes de terrain, comment valoriser les progrès, comment tirer positivement les leçons en interne d'un exercice contraint par une autorité externe ? Synthèse : manager les fondamentaux de la qualité et de la sécurité dans la durée, le rôle du quintet (directeur, PCME, directeur QGR, DS et le qualiticien).

Comprendre l'évolution de la certification 2014 et savoir en maîtriser les points clésL'approche par les risques, l'audit des patients traceurs, les visites étalées, etc.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Discussion

synthèse et conclusions

Atelier Atelier 2 : Lundi 26 Novembre de 10h30 à 12h15

Animation Jacques HOSOTTE, responsable qualité, Générale de Santé

01 53 23 17 17 ; 06 18 41 83 94 ; [email protected]

Témoin discutant

01 43 29 92 38 ; 06 76 85 79 39 ; [email protected]

1 Jury Citoyen : une innovation démocratique au service de la stratégie

Intervenant

2

Intervenant Patrick STAELEN, cabinet Altense, Bordeaux, Jean de HEDOUVILLE cartographe

09 64 41 95 17 . 06 12 92 76 54 ; [email protected]

Discussion

3 HOSPIDIAG : exercice de simulation et aide à la décision stratégique

Intervenant Gilles BONTEMPS, directeur associé, ANAP

01 57 27 11 50 ; [email protected]

Globalement la HAS fera évoluer les méthodologies de la visite "pour mieux apprécier les facteurs humains et organisationnels qui ont un impact sur le patient". Elle complète les audits de processus ou conduit à en réaliser à partir des constats effectués. Au final ce sont 24 parcours « patients traceurs » qui ont déjà été réalisés autour de deux thématiques prioritaires : gestion des risques et continuité des soins.On en fera le point ici et nous nous arrêterons sur la nouvelle méthode d'investigation pour la visite de certification. Elle a été testée par la HAS auprès de huit établissements de santé : la méthode du "patient traceur". Elle répond à des attentes fortes que les établissements avaient formulées et, sur le fond comme sur la forme, elle est particulièrement bien accueillie. Elle sera généralisée en 2014.

L'audit fondé sur les "patients traceurs" suit l'expérience de soins d'un patient, analyse les modalités de sa prise en charge, observe ce qui les structure (donc les processus, les organisations et le management). Le patient est choisi par l'expert-visiteur en concertation avec l'équipe : il présente une situation clinique complexe et se trouve proche de sa sortie d'hospitalisation. Il permet de passer en revue, in fine, les éléments du référentiel... mais pas nécessairement. C'est le résultat qui compte avant tout et la manière avec laquelle il est fiabilisé : la qualité, les bonnes pratiques, le traitement des riques, la continuité des soins, l'écoute et la satisfaction du patient, la dynamique d'améliration continue, la communication, etc.Voir à ce sujet une forme d'audit innovante et intéressante présentée par L'Eau Vive (Atelier31) : Prends ma place d'être patient, trophée FHP 2012

connexion@

Elaborer et piloter la stratégie d'établissement : il y a vraiment du neufNouveaux outils, nouvelles approches

Jean-Luc PLAVIS, CISS IDF, Correspondant du Conseiller Santé du Défenseur des Droits, Maison de Santé des Chênes, Hôpital Foch et Santé Service (HAD)

Introduction, intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement de questions de la salleDe l'efficacité du management stratégique avec un jury de citoyens et des parties prenantes co-responsables. Un modèle à suivre en situation de crise...alors qu'on raisonne encore trop en termes de qualité de l'acte, et insuffisamment en termes de qualité de la prise en charge ou du parcours de santé. Une gouvernance globale citoyenne plutôt que des gouvernances concurrentes cloisonnées !

Dominique PICAULT Directrice de la stratégie et des projets, CHRU de Lille,Sandrine DELABY, Déléguée à la communication et aux relations avec les usagers

03 20 44 60 36 ; [email protected] ; sec : [email protected] et [email protected]

Les jurés des cours d'assise sont des citoyens tirés au sort. Sur ce principe sont nés les Jurys citoyens. Le CHRU de Lille a organisé en France le premier Jury Citoyen hospitalier, en 2003. Des citoyens formés à la réalité de l'hôpital participent activement à sa réflexion stratégique. Celle-ci leur est présentée, expliquée : ils la critiquent de façon constructive et l'enrichissent avec les propositions concrètes. Le succès des premiers jurys citoyens a conduit le CHRU à proposer des citoyens dans la CRUQ PC et dans les conseils de certains pôles. La légitimité des orientations et des plans d'action en est renforcée.D'autres établissements ont reproduit l'expérience avec bonheur. La qualité de la démocratie, c'est aussi de la qualité. Et si on commençait par là ?

Aisée à comprendre, cette approche nécessite un véritable déclencheur : ce peut être la direction, la fonction QGR, les RU, ou tout autre. Elle suppose une vision innovante de la part des instances et de la direction; surtout, cette vision a un effet d'entraînement influant sur les plans d'action, les comportements et l’engagement dans la réduction collective des risques de la part des acteurs du terrain !

La cartographie en ligne : voir enfin l'offre de soins de son territoire, sa qualité, sa quantité et préparer autrement la stratégie de son établissement

"Si vous aviez eu Hoscare dès le début, vous auriez gagné énormément de temps."L'offre sanitaire et médico-sociale évolue : MCO, alternatives à l'hospitalisation, coopérations, GCS, équipements médicaux, etc. Nous sommes passés de la planification à la stratégie et l'adaptation continue, des évolutions lentes et prévisibles aux changements plus rapides.Hoscare (d’Altense Consulting) s'adresse aux directions et parties prenantes hospitalières qui préparent l'évolution de l'offre de soins en MCO et formalisent les projets stratégiques de l'établissement : médecins, cadres, représentants des usagers, représentants du personnel, administrateurs, tutelles. Au lieu de donner à lire des pages de dossier, Hoscare donne à voir la carte de l'offre de soins de votre territoire de santé, en ligne, sur Internet. Vous voyez immédiatement ses manques, ses excès, ses forces et faiblesses. Vous pouvez même voir l'évolution à long terme. Hoscare est conçu avec Jean de Hédouville, un spécialiste de la cartographie et de l'aide à la décision. Hoscare est actualisé et fiable : il est alimenté avec les données du PMSI.Exemple avec le CH de ...... ou la clinique de ......

B51
le CISS national reste réservé sur le sujet… Je rejoins leur analyse. Pour autant, dire non sans en avoir étudié les contours, les possibles, les freins éventuels (l’expérience « positive » de Lille ne signifiant pas forcément que ce qui se pratique va dans le bon sens car certains critères restent subjectifs selon leur présentation…). Je suis même prêt à me rendre sur Lille avant ce débat, pour rencontrer ce jury citoyen, échanger avec la responsable du service… Tu vois je suis ouvert à la question !!!
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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

En cours

Discussion

Approfondissement collectif, synthèse et conclusions

Atelier Atelier 3 : Lundi 26 Novembre de 10h30 à 12h15

Animation Christine GUERI, directrice qualité et relation avec les usagers, GH Paris Sud

O1 45 59 32 24 ; [email protected]

Témoin Général (2s) René NOTO, président de la Société Française de Médecine d'Urgence

06 07 64 91 89 ; [email protected] ; [email protected]

1 Crise en greffe : comment revenir à la normale et quelles leçons en tirer ?

Intervenant

01 55 93 64 22 / 06 70 43 17 50 ; [email protected] ; 05 55 05 61 13 ; [email protected]

Discussion

2 Le potentiel de crise et les actions préventives

Intervenant David FRITSCH, Consultant en management des risques au Pôle Services de Sham

04 72 75 50 36 ; 06 85 71 91 70 ; [email protected]

3 Ma crise passe à la télé : l'irruption des médias dans l'établissement

Intervenant Denis de MONTGOLFIER, journaliste, formateur, enseignant à Centrale Paris et à Science Po Lyon

06 10 24 71 12 ; [email protected]

De l'incident à la crise : gestion, communication et retour d'expérienceLa souris peut accoucher d'une montagne : les mécanismes de la crise. Eviter les 7 erreurs qui ajoutent de la crise à l'événement.

Introduction : intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement de questions de la salleUn incident, grave ou pas, peut devenir une crise. Certains événements très graves n'engendrent pas de crise. La crise démarre avec la gestion des professionnels, des patients, des usagers, des médias. Ces trois derniers acteurs font basculer la conduite des actions du monde du rationnel au monde de la subjectivité, et, très vite à celui du sensationnel, du scandale, des coupables. Cela va à l'encontre des principes fondamentaux de l'apprentissage et du retour d'expérience ! Attention au choc.

Docteur Anita GUARINOS, Agence de la Biomédecine et Monsieur Hamid SIAHMED, directeur général CHU de LIMOGES

Retour d’expérience d’une collaboration étroite entre établissements de santé, Agence Régionale de Santé et l’Agence de la biomédecine, suite à une succession de décès survenant chez des patients greffés des reins. Plusieurs étapes successives illustrent la gestion de cette crise :Au niveau de l’établissement :1) Revue de morbidité mortalité, 2) Intervention de l’EOH suite à la RMM, 3) Alerte de la direction de l’établissement par le service de néphrologie, 4) Déploiement du plan d’action par le directeur de l’établissement [Alerte de l’ARS, Activation cellule de crise, Conduite d’évaluation sous le pilotage de la cellule de crise, Plan d’actions, Indicateurs de suivi, Communication interne et externe, SuiviAu niveau de l’ARS : 1) Mission d’inspection ARS, 2) Demande d’expertise du C-CLIN en néphrologie et au bloc opératoire, 3) Demande d’expertise de l’Agence de la biomédecine portant sur les protocoles chirurgicaux, la qualité globale de l’activité de greffe rénaleAu niveau de l’Agence de la biomédecine1) Analyse et évaluation de la situation, 2) Préparation concertée de la mission (services ABM, ARS, centre hospitalier), 3) Rapport Fin de crise : Reprise de l’activité, absence de fuite de clientèle, normalisation de la mortalité / données nationales.

Quand la crise est là, tout le monde se dit qu'on aurait mieux fait de l'éviter... Alors ?Le "potentiel de crise" d'un établissement, d'un service ou d'une unité s'observe en grande partie au travers de signes et d'événements avant coureurs. Avant qu'on constate un accident grave, une erreur collective inimaginable, un accident improbable ou une maltraitance jusque là cachée, des signaux sont envoyés : il faut les prendre en compte. Parfois les signaux émis ne sont même pas détectés. Parfois un événements dans un autre établissement n'est pas pris en compte ! Alors, on croise les doigts ? Non, le potentiel de crise, c'est la grande leçon du terrain, peut être considérablement réduit à condition d'anticiper davantage. C'est possible. Le service de la SHAM qui témoigne ici accompagne spécifiquement les établissements en situation de crise. Il a ainsi acquis une base d'expériences dont les enseignements méritent d'être partagés. A partir de cas concrets nous verrons des mesures qui préviennent nombre de crises : - Sur le terrain, notre système de veille interne / externe ne peut-il pas être amélioré ? - Le traitement des signalements ne doit-il pas davantage tenir compte du potentiel de crise ? - De bons réflexes ne peuvent-ils pas être acquis, améliorant ainsi notre capacité à éviter les crises potentielles ? Directions, fonctions QGR, fonctions médicales et soignantes : réduisons ensemble le potentiel de crise.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Approfondissement collectif, synthèse et conclusions

Atelier Atelier 4 : Lundi 26 Novembre de 10h30 à 12h15

Animation

03 83 74 38 97 ; [email protected]

1

Intervenant

Discussion

2

Intervenant

04 90 27 63 17 ; 04 90 27 61 61 ; [email protected] ; 04 90 27 60 40 ; [email protected]

Discussion

Apprenons à ne pas ajouter de crise médiatique à la situation en cours. Ceci n'est pas une formation mais une sensibilisation... active et dynamique à partir de mises en situations concrètes. Au fur et à mesure, nous aborderons les questions suivantes :- Savons-nous comment fonctionnent les médias, ce qu'ils cherchent, trouvent, retiennent et diffusent ? - Savons-nous prendre les précautions utiles ? Savons-nous leur donner ce dont ils ont besoin ? - Face aux médias, "évitons-nous l'évitable" ? - Positionnons-nous adéquatement quand une caméra nous interroge ?- Qu'apprenons-nous d'une crise à travers les médias ? Nous permet-elle de progresser ?Au final : situation de crise, "même pas peur" ?

Conditions de sécurité du médicament dès la prescription : bon usage et mésusagesArrêté du 6 / 4 / 11 et ses conséquences.

Edith DUFAY, pharmacien, CH de Lunéville, SFPCExpert de la REMED et de la conciliation médicamenteuse

Introduction : intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement des questions de la salleOn a dédramatisé l'inspection : une expérience 2 en 1Cartographie des risques, visite d'inspection, accompagnement par un consultantNatacha HURET, titre, CHS T. Roussel, à Montesson (78) et Sophie GARCELON, responsable de l'activité conseil à la SHAM

[email protected] ; 01 30 86 38 55 - [email protected] ; 01 42 68 52 08 ; 05 75 66 94 46

Enjeux, difficultés, réponses, méthode, résultats, leçons Le repérage des risques réels et leur évaluation donne lieu à une cartographie des risques médicamenteux. Cette cartographie est devenue une condition déterminante de la sécurisation de la chaine du médicament. Nous le verrons : l'apport méthodologique assure rigueur, fiabilité et efficacité d'une part, mais aussi dialogue, pédagogie et pistes d'actions d'autre part. Ce témoignage consiste en un retour d'expérience d'une telle démarche. Mais il y a plus. Il présente un intérêt original : en cours de démarche, un visite d'inspection a été imposée par l'ARS. Nous verrons ce qu'apporte ce travail (la cartographie et les actions de sécurisation qu'elle induit) en termes de sérénité et de marge de manoeuvre face à un tel audit des tutelles.

On a dédramatisé l'erreurCREX et construction collective d'une culture de l'erreur dans la durée

Françoise DECROZALS, pharmacien, Charlotte MEYRIEUX, responsable qualité / risques, Institut d'oncologie Sainte-Catherine (ESPIC), Avignon

On a dédramatisé l'erreur. Les CREX mensuels y comptent pour beaucoup : depuis 2009, on y expose tous les types de cas possibles, on en choisit un ou deux qu'on traite de façon pratique. Chaque mois le CREX valide de nouvelles actions (certains cas sont renvoyés en RMM). L'ambiance est bonne : c'est "hyper important". Il faut rester vigilant à ne jamais pointer la faute sur telle personne ou tel service. Y viennent médecins, soignants, préparateurs, aides-soignants, pharmaciens, bref tous les corps de métier. Nous y recevons toujours des invités. Le recul sur les problèmes facilite la prise de conscience des phénomènes qui conduisent à l'erreur ou à des événements indésirables. Cela nous aide à nous réorganiser, à modifier les applications informatiques, à changer les protocoles, à décider de nouvelles formations. Tout le circuit du médicament y passe : le matériel, les chimio, la douleur, la prescription, l'administration, etc. Peu à peu, des éléments restés invisibles sont identifiés comme des facteurs réels de risques. Par exemple, la programmation de la pompe à morphine.

Le service qualité nous aide beaucoup. Sa vision et son apport méthodologique s'avèrent indispensables. Il diffuse une information crédible à tous les chefs de service : c'est pour cela que les gens continuent de s'y investir. Certes, on doit sûrement encore "sous-déclarer" mais nous en sommes tout de même à 30 par mois ! Notre culture qualité est en bien meilleure position pour le travail de mise en conformité avec les exigences de l'arrêté du 6 avril 2011. Les check-lists, par exemple, fonctionnent mieux. Collectivement, nous produisons un travail vraiment utile. Maintenant, nous cherchons comment encore progresser et comment consolider la dynamique humaine.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

3

4

Intervenant Mary-Christine LANOUE, Coordonnateur - OMEDIT Centre, CHRU de Tours

tél: 02 34 38 94 90 fax: 02 34 38 94 80 . Email : [email protected]

Discussion

Approfondissement collectif, synthèse et conclusions

Atelier Atelier 5 : Lundi 26 Novembre de 10h30 à 12h15

S'améliorer fortement et en continu : les stratégies performantes

Animation Marc MOULAIRE, GCS HELPAM et SoFGRES, ingénieur qualité, risques et développement durable en santé

06 07 61 29 39 ; [email protected]

1

Intervenant

06 45 92 51 03; ; adresse du courriel ; 06 88 21 89 59 . adresse du courriel ;

Discussion

Annonce flash de posters : Poster de la clinique Pasteur de Nancy P110 CREX et méthode Orion + Posters du HIA de Brest : P107 CREX sur la PEC médicamenteuse ; P207 Conciliation médicamenteuse

On a dédramatisé les enjeux Prise de hauteur et éléménts d'une politique de sécurité médicamenteuse crédible dans la durée

L'OMEDIT Centre s'est positionné comme une cellule d'appui, une ressource pour mutualiser les expériences mais aussi comme un guide qui conduit ses randonneurs vers les sommets. Nous verrons comment il aide les établissements de toute sorte (MCO, SSR, HAS, Santé mentale, EHPAD) à mettre en place les trois composantes clés d'une sécurisation progressive, globale, maîtrisée. - avec des outils pratiques sur le terrain, simples, opérationnels, efficaces - avec des formations action qui dotent les acteurs de compétences clés pour avoir des résultats et être reconnus en interne- avec l'engagement institutionnel dans une approche globale et pérenne, formalisé dans une "politique du médicament".Nous en verrons des exemples. Préparer et agir selon ces trois axes est plus facile via des formations actions dans lesquelles les établissements mutualisent et partagent leurs expériences. Une émulation dynamisante renforce l'engagement de chacun. Ces trois composantes permettent de prendre en compte les différents niveaux d'enjeux et de les traiter de façon cohérente, concomitante. Les résultats progressent sans rechuter : le contexte devient durablement porteur.

Introduction, intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement de questions de la sallede l'importance d'être constantBâtir un partenariat performant dans la durée : le binôme QGR / partenaire informatiqueUne nécessité pour répondre aux nouveaux enjeux qualité

Stéphanie BEUGNON, responsable qualité du GCS AMPLITUDE (Bourgogne) ; Bertrand BIGO, PDG du groupe QUALIOS, éditeur d'application de management par la qualité

Une séquence interactive avec la salle pour réfléchir ensemble aux contenus et aux modalités du partenariat entre la fonction QGR et le fournisseur d'applications indispensables aux exigences en matière de Qualité et de Sécurité. Sur la base d'un exemple réussi, nous évoquerons les points clé d'un cheminement pas à pas Plus que le cahier des charges de ce partenairat à un moment donné, ce qui sera abordé ensemble, c'est l'élaboration d'une confiance et d'une bonne connaissance réciproque de façon à faire des progrès vraiment au service de tous les utilisateurs. Alors ce partenariat apporte une réelle valeur ajoutée : la qualité progresse, les risques sont mieux maîtrisés, l'établissement gère mieux des plans d'actions, les professionnels sont satisfaits de leurs outils.Voici un témoignage qui nous ramène au fondamental : pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

2

Intervenant Dr Jérôme FRENKIEL, APHP, resp du DIM du GHU Paris Centre

06 71 58 80 49 ; [email protected]

Discussion

3 Bâtir une dynamique positive d'EPP dans la durée

Intervenant Capitaine Audrey MIEGE, responsable qualite-risque, HIA Clermont-Tonnerre, Brest

02 98 43 73 00 ; [email protected] ; [email protected]

Discussion

Approfondissement collectif, synthèse et conclusions

Atelier Atelier 6 : Lundi 26 Novembre de 10h30 à 12h15

Animation Dr Jean-Louis BOURGAIN, chef du pôle blocs opératoires, Institut Gustave Roussy, Villejuif, 94

01 42 11 40 37 ; 06 60 44 20 15 ; [email protected]

Témoin Dr Rémi BATAILLON, direction de l'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins, HAS

01 55 93 73 75 ; adresse du courriel

1 Le bon coté des expériences venues de l'industrie

Intervenant Camille BRUNET, Institut de Culture Industrielle, Toulouse

05 34 32 32 17 / 06 43 23 51 69 ; [email protected] ou 06 32 27 87 08 ; [email protected]

Bâtir une information médicale toujours plus pertinente dans la duréeMédecins et paramédicaux, si vous saviez...

Enjeux, difficultés, réponses, méthode, résultats, leçons Une approche de l'information médicale plus pertinente, qui influe directement sur les décisions stratégiques et, indirectement mais sûrement, sur la qualité, la sécurité et l'efficience.

Comme on peut le lire sur les panneaux au bord de nos routes à propos des investissements de l'Etat, on devrait voir plus souvent "Ici, l'établissement investit pour votre avenir"

Il 'agit de passer des EPP à la dynamique affichée d'amélioration continue- Nous faisons des EPP, il faut que ça se voie.- Nous obtenons des progrès, il faut que ça se voie.- Nous investissons dans les démarches qualité, sécurité, efficience et bientraitance : il faut que ça se voie.- C'est grâce à l'implication de tous, il faut que ça se voie. Et même plus, ça peut se vivre, grâce à la Journée EPP.

Conclusion : inversons le raisonnement.- Le poster n'est pas une communication affichée pour les congrès qu'on recycle en retour dans les couloirs.- La communication affichée est d'emblée pensée avec le terrain, pour le terrain, de façon scientifique et communicante : alors on peut la recycler dans les congrès. Bon pour le service ou pour l'unité ? Alors bon pour l'externe (les congrès, les audits, les experts visiteurs, les formations actions) !Une façon de communiquer dont nous pouvons tous nous inspirer. En relation de coeur et d'esprit avec l'atelier 25 Soyons fiers de nous, communiquons.

Réduire le risque d'EI très grave : la haute fiabilité organisationnelle en concret.

L'équipe opérationnelle est le bon maillon pour faire de la qualité globale et totale, dans toutes nos activités de soin et même de gestion. Le métier est premier, quotidien. Le facteur organisationnel et humain y est abordable de façon cohérente et efficace. L'équipe est le point de départ et d'arrivée des EPP. Pourquoi ne pas faire des EPP... sur l'amélioration des équipes en tant que telles ! Comme un orchestre, une troupe de théâtre, une équipage de navire, une unité de production industrielle, une équipe projet en recherche scientifique !Se pose alors la question : quand les interactions personnelles sont fortes, que doit devenir la fonction qualité ? Tout le monde ne devrait-il pas en exercer et en assumer une part ? Que devient le management par la qualité ? Comment le vivre et travailler ensemble ? La production du sens et de valeurs, et la performance au service du patient prennent alors une place centrale... à intégrer d'urgence !Scientifiquement voir "Improving teamwork to reduce surgical mortality" PJ Pronovot & JA Freischlag, 2010, JAMA

Patrick Lagadec : "Les risques deviennent de plus en plus complexes. Il existe des risques IMPENSES. Nos listes de risques sont en grande partie fausses. Nos solutions sont en grande partie fausses. Nous avons un refus cognitif : le risque est perçu comme résiduel alors qu'il est INTRINSEQUE. Nous pensons le normal, pas assez l'ANORMAL. Les hiérarchies sont là pour rassurer, pas assez pour prévenir, pour réagir et pour maîtriser. Entraînons-nous à la résilience. C'est une compétence qui se prépare en amont : quels comportements, quels raisonnements, quels réflexes, quelles informations utiles sur le terrain ? Et il faut un organisateur de cette compétence collective, sinon la désorganisation handicape la résilience. Il faut un leadership local fort."

Nous prenons souvent exemple sur l'industrie. Mais qu'en savons-nous ? Combien de clichés avons-nous en tête ?Depuis 25 ans, le monde industriel se transforme en profondeur. Des progrès formidables ont été réalisés. Et nous n'en tiendrions pas compte ? De notre coté, nos valeurs et notre sensibilité à l'humain nous donnent des atouts sur certains points déterminants. Nous avons aussi des progrès exceptionnels à faire valoir !Bref, nous avons tout intérêt à partager ensemble nos expériences, et à nous en faire profiter mutuellement.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Discussion

Justement, certaines entreprises sont en pointe dans la réflexion et dans l'action pour réduire les risques au quotidien, de l'industrie lourde aux services aux particuliers ! Pas de recettes miracle, mais pourtant des progrès formidables.Comment prennent-elles le problème à bras le corps ? Comment s'engagent-elles dans la lutte contre les risques majeurs ? Comment progressent-elles vers une haute fiabilité ? Comment font-elles évoluer le travail en équipe, les relations en équipe, le management d'équipe ? Comment équilibrent-elles le directif et le participatif, le formel et l'informel, l'humain et le technico-gestionnaire ? Alors, puisque se mobiliser autour du patient, c'est mieux que se mobiliser pour la marge nette, pourquoi nous, en santé, nous ne ferions pas mieux ? Et pourquoi ne transmettrions nous pas aux industriels notre façon de nous écouter, de nous entendre, d'accepter et de prendre en compte l'hypercomplexité du facteur humain ?

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

2

Intervenant

00 32 + 43 66 46 66 ; [email protected]

Discussion

3 L'art de développer la fiabilité : la ressource est humaine

Intervenant Dr Peter LIMPAR, Practice Scan

06-24-14-26-15 ; [email protected]

Discussion

Approfondissement collectif, synthèse et conclusions

AT 7

Quelle certification idéale pour les patients, les professionnels, les citoyens ?

Présidence Pr Jean-François QUARANTA, CHU Nice, psdt des vigilances, Marie-France LE PECHOUX, CH Lagny, dir des soins

Animation : Daniel CREPIN, Dr François PERNIN, Gilbert MOUNIER, Laurent DUFOUR

RMM, CREX, REMED : les spécificités du modèle en santéNe copions pas aveuglément le modèle industrielPr Anne-Sophie NYSSEN Ergonomie cognitive et Interventions au travail, Faculté de Psychologie et des Sciences de l'Education de l'Université de Liège, Belgique

Extraits de l'article paru dans Risques et Qualité n°2 de mai 2012 : Faut-il copier l'industrie ?Le monde médical est profondément différent de celui de l'industrie et de l'aviation. Il existe souvent "plusieurs bonnes façons de faire". Le professionnel a tendance à se référer au fonctionnement de ses collègues (forte influence du groupe) y compris chez les acteurs clés que sont les médecins. Des violations de procédure sont parfois le fait de l'ensemble d'une équipe. Il y a un apprentissage de groupe particulier en santé : cela apparaît de plus en plus comme essentiel mais il faut "pouvoir en parler". Or des biais cognitifs et des émotions fortes faussent les jugements. Des analyses causales en public peuvent devenir vite accusatoires. Il faut préférer le dialogue avant tout, mais organisé. Alors les résultats progressent nettement.

Six facteurs déterminants seront ici présentés, sur la base d'expériences qui réunissent sécurité du patient et bien être des professionnels. Alors le dialogue conduit au changement de culture face à l'erreur, les croyances sont modifiées par le "renforcement de la confiance mutuelle". Qualiticiens, gestionnaires de risques, attention : le traitement trop rationnel, trop gestionnaire, trop méthodique étouffe la dynamique nécessaire d'échanges entre les acteurs ! A cet égard, voir la liste des points forts / points faibles des RMM !!

Le CRM Crew ressource management (management du potentiel d'équipe) : l'art de travailler fiablement en équipe pour la meilleure satisfaction de tousOn ne pourra pas dire : on ne savait pas !

"La moitié des complications sont évitables et très souvent liées à des problèmes de cohésion d'équipe." Ce n'est pas la check-list qui est prioritaire et exigible, mais sa pratique, la façon de s'en servir, la compétence collective qui se révèle à cette occasion. Ce qu'on peut appeler pratiquer la check-list dans "les règles de l'art". Ce sont ces règles de l'art, davantage que la procédure, qu'il convient désormais d'étendre aux phases pré et post opératoires. Comme l'a montré une vaste étude néerlandaise, l'enjeu de qualité est majeur pour les équipes. Les mêmes conclusions sont valables ailleurs, pour toutes les équipes. Or nous assistons à une avalanche de règles, de procédures, de recommandations et maintenant, c'est très tendance, de guides pratiques !!! Au secours !!!!C'est à cela que nous nous attelons dans cet atelier : la fiabilité de toutes les équipes. Comment identifier le potentiel de progrès, comment ensuite impulser un changement, comment se former et... se transformer ? Comment maintenir dans la durée ? Ce serait impossible ? Pourtant, ils l'ont fait, avec l'appui des meilleurs experts sur le sujet.Exemples vécus ! Passionnant.

Lundi 26 Novembre de 10h30 à 13h30 (plateau repas servi en salle)Partenariat avec la HAS Groupe de travail / méthode KJ

06 10 77 91 50 ; [email protected] ; 06 15 70 64 49 ; [email protected] ; franç[email protected] ; 06 22 04 03 20 ; [email protected] ; 06 73 44 52 47; [email protected]

Atelier où, en groupe de travail, vous élaborez avec la méthode KJ, les bases d'une proposition pour la HAS qui dessine le cahier des charges d'une certification idéale pour 2020.

Le résultat sera présenté le jour-même à 13h15 à Thomas Le Ludec, directeur délégué de la HAS et directeur de l'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins. Il sera suivi d'une diffusion pour lecture ciritique spéciale auprès de l'ANAP, l'ANSM, du ministère, et d'établissements des fédérations publiques et privées et des représentants des spécialités médicales.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Pistes de réflexion, en vracParcours de soins, articulation ville / hôpital, équipes certifiées (bloc, urgence, Alzheimer, EOH, etc.), certification des soins primaires (médecine de ville, maisons de santé)Certification ou accréditation individuelle, DPC ; accréditation d'équipesSIH, DMP, degré de numérisation,Maîtrise des dispositifs médicaux, de la séc médicamenteuse, etc.Approfondissement des concepts à demi abordés : PDCA, jury citoyens, gouvernance, coût de la non qualité, rémunération des acteurs à la performance, libérer les outils rigides (EPP, audits, chemins cliniques,...), politiques qualité & sécurité, mutualisation de moyens, benchmarkings nationaux et internationaux, management de proximité par la qualité...Renouvellement des concepts : certification des résultats, modèle en boucle RADAR (facteurs - résultats - feedbacks apprenants), notion d'échelle d'excellence dans une situation donnée, performance territoriale collective, lean management et efficience des processus, théorie des contraintes et des flux, possibilité de concourir pour un prix qualité reconnu avec des niveaux de qualité (une deux trois étoiles)Intégrer mieux les apports purement médicaux à la qualité (bientraitance, médecine narrative, communication thérapeutique, flow et psychologie positive, médecine / psychologie / ergonomie du travail ...)Simplifier et alléger les procédures, mieux exploiter l'informatique et le webProlonger vers le haut l'échelle d'exigence et de reconnaissance ; Mettre l'implication des professionnels médicaux et paramédicaux au centre, mettre l'engagement et la formation des dirigeants en ressourceReconnaître la qualité perçue par les usagers et les citoyens (accueil, sourire, écoute, hôtellerie, restauration, dév durable) comme une dimension essentielle, notion de valeur perçu par le patient, son entourage, etc. Faire des rapports de certification à plus haute valeur ajoutée, avec des analyses plus ciblées : CME, direction, etc.Formation des EV, identification "d'auditeurs expérimentés"Multiplication des labels ciblés, des chartes, etc.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Lundi 26 novembre de 13h45 à 14h45Découv Découverte 1 : Lundi 26 Novembre de 13h45 à 14h40

Animation Eric BERTRAND, coordinateur général des risques, GH Ouest Parisien, pdt de l'AFGRIS

06 35 33 04 78 ; [email protected]

Introduction, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges

Visual hospital : sur le terrain, c'est pratique face aux aléas du quotidien

Intervenant Stéphanie AFTIMOS, GE Healthcare

06 65 87 34 11 ; 01 41 09 65 46 ; [email protected]

Visual hospital : en direction, c'est pratique face aux risques majeurs

Intervenant

tél: 02 34 38 94 90 ; [email protected] ; tél : 06 32 02 61 03 ; [email protected]

Discussion

Découv Découverte 2 : Lundi 26 Novembre de 13h45 à 14h40 ANNULE ANNULE ANNULE

Animation Charles BRUNEAU HAS

06 09 34 65 50 ; [email protected]

Introduction, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges

Quality in Cleveland Clinic : actions and results

visio conference Linda McHUGH, administrator, Cleveland Clinic, Ohio, USA

Découv Découverte 3 : Lundi 26 Novembre de 13h45 à 14h40

Animation Dr Paul GARASSUS, président du conseil scientifique du Baqimehp et Capio

06 85 23 77 55 ; [email protected]

Témoin Dr Rémi BATAILLON, direction de l'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins, HAS

01 55 93 73 75 ; [email protected]

Introduction, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges

Intervenant

03 27 14 32 23 /33 33 ; [email protected]'

Séances Découverte

connexion@

Visual hospital : c'est révolutionnaireLes innovations visuelles du lean management à l'hôpital, il faut le voir pour le comprendre

Le management visuel consiste à rendre le management plus simple, plus rapide, plus collaboratif en inventant des solutions visuelles pour traiter des décisions. Voici plusieurs exemples pratiques, opérationnels, concrets. Les solutions deviennent plus évidentes, instantanées. Elles sont également mieux partagées, la communication est donc grandement accélérée et fiabilisée. Pourquoi n'y a-t-on pas pensé plus tôt, tout seul ? Comme l'écrit Victor Hugo dans Quatre-vingt-treize, simplifier le complexe est un art difficile. Et simplifier le complexe, le mettre à portée de tous, est révolutionnaire. Un bon schéma vaut mieux qu'un long discours : de même un bon support de management visuel se révèle vite indispensable. Difficile à décrire, mais évident à comprende quand on le voit.C'est simple au premier coup d'oeil. Difficile à inventer, mais aisé à copier ou à prendre en inspiration.

C'est donc à la fois de la communication, du management et de la prise de décision. Faciliter la prise de décision collective, la rendre simple au premier coup d'oeil est l'un des chantiers les plus spectaculaires des hôpitaux avancés. Dans les unités, dans les directions. Sur des sujets quotidiens, sur des sujets stratégiques. Notre équipe devient plus intelligente : ça doit se voir. Notre équipe résout des problèmes : ça doit se voir. Notre équipe s'améliore : ça doit se voir ! Les pédants parlent d'ergonomie cognitive : ils ont raison ! Les modestes parlent de bon sens, ils ont raison ! Pourquoi n'y a-t-on pas pensé plus tôt ?

Mary-Christine LANOUE, Coordonnateur - OMEDIT Centre, CHRU de Tours et Aude JARDEL, pharmacienne consultante en lean management six sigma

Imaginez que vous deviez faire cette carte de façon participative avec des dizaines d'acteurs, chacun ne voyant qu'une partie du sujet ! Imaginez que vous souhaitiez pondérer, mesurer, fiabiliser votre carte par des données objectives ou des dires d'expert sur le terrain ! Imaginez que vous vouliez vous concentrer sur l'essentiel, sur les profils à risques, sur les services à risques, sur les moments à risques, sur les compétences à risques ! N'arriveriez-vous pas à une sorte de jungle, la jungle des risques ?On peut exprimer des choses particulièrement complexes avec une simple carte. Même une jungle. Il faut le voir pour le croire !Imaginez que vous souhaitiez que la CME comprenne cette jungle (si votre CME est normale, c'est improbable). Qu'elle adhère à l'analyse (là, c'est très improbable). Qu'elle soit d'accord sur les principales solutions (là c'est utopique). Et pourtant... Il faut le voir pour le croire. Cette carte des risques, fiable, explicite, compréhensible existe et vous ne le saviez pas. 50 établissements l'ont adoptée (MCO, psy, SSR, Ehpad, dialyse) et vous pouvez la voir pour le croire.

connexion@

Cleveland Clinic (in English session / visioconference)First in Quality !

216 444 3072  ; [email protected]

"Quality ans safety Management : the major goal in the coming years for quality improvement (To exceed any of the national benchmarks )"Indicators"An integrated system : a good network having a single mission and vision and centralized leadership and administrative functions to ensure organization around the mission. ""Business Intelligence supported by the electronic medical record (EMR) and a data warehouse that can return data to dashboards for analysis ""All internal process should be about efficiency in a safe and cost effective environment, eliminate waste, consolidate administrative functions. "About our employees including the majority of the physicians "however their performance is taken into account at their review and if they are not performing at the expected or desired level, they may no longer be employed".Our web site at:http://my.clevelandclinic.org/about-cleveland-clinic/quality-patient-safety/treatment-outcomes.aspxList of government required patient safety indicators at: http://www.jointcommission.org/standards_information/npsgs.aspxPatient’s perception of their experience (HCHAPD score) at:http://my.clevelandclinic.org/patient_experience/hospital_care_quality_information.aspx

connexion@

Informatique : Lost in translation ? Plus de qualité dans la gestion de projet : leçons d'une success story

Réussir le projet, réussir l'informatique, réussir le changement : trois exigences de qualité au départ, des résultats indiscutables à l’arrivée. Dr Nicolas HOUDRE, Chef de projet et Urgentiste, Frédéric ANDRE (DSIO), Dr Etienne COUSEIN (pharmacien), CH de Valenciennes

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Discussion

Découv Découverte 4 : Lundi 26 Novembre de 13h45 à 14h40

Co-animation

tél : ; courriel ; [email protected] ; 04 74 31 30 95

Témoins

01 40 27 37 60 ; [email protected] ;

1 Les médecins médiateurs sur deux fronts: "calmer les conflits" et "améliorer la prise en charge"

Intervenant Pr Marc DECOULX, Président de l'Association Française des Médecins Médiateurs

03 20 44 47 26 ; 06 09 12 79 61 ; [email protected]

2

Intervenant Martine BERT, chef de projet à Institut de cancérologie de Lille Métropole, Hôpital privé de Villeneuve d'Asq (59)

06 10 52 53 44 ou 5344 ? ; [email protected]

3 Une idée simple qui a de l'avenir : deux réunions par an avec les usagers et les RU

Intervenant Isabelle SUTEAU, IDE référente qualité - relation avec les usagers, Centre de SSR / EHPAD "La Chimotaie", MGEN (Cugand, 85)

02 51 45 68 11 ; [email protected] ; [email protected]

conclusion

C'était IMPOSSIBLE, et pourtant ILS L'ONT FAIT.La réussite de ce projet informatique a reposé sur un moteur 4X4 : 1) l’engagement de la direction vers l’hôpital zéro papier 2) la conduite de projet (par un médecin connu de tous) 3) l’implication de la direction informatique 4) la relation avec l’éditeur informatique Cerner (Millenium)

Résultats : une réussite collective : 1) résultats cliniques considérables, mesurés en termes de qualité et de sécurité, 2) résultats humains peu communs, notamment avec un déploiement du projet plus rapide que prévu (et bien plus rapide que dans la plupart des projets hospitaliers) 3) résultats informatiques exceptionnels, mesurés avec un score de 6 sur 7 sur l’échelle HIMMS. Il n’ y a que 3 établissements au niveau 7 dans le monde. Et l’établissement vise 7 sur 7 en 2013.

NOus commencerons par une vidéo qui suit le parcours du patient... puis nous entrerons dans les explications.

Synhtèse, conclusion et suite en atelier 13 : la progression du SIH selon les indicateurs du plan Hôpital Numérique suivie par les experts visiteurs de la HAS. Présentation de l'échelle HIMSS par N. Abdelmoumène.

Les usagers comme partie prenantePistes innovantes concrètes avec les usagers, avec les médecins, avec les instances institutonnelles

Marie-Anne BOUSSEAU, repr usagers, Centre de Soins de Suite et de Réadaptation / EHPAD "La Chimotaie" de la MGEN, Cugand (85)Dr Agnès CAILLETTE-BEAUDOIN, médecin directeur des centres de dialyse Calydial, Lyon et Vienne

Anne-Claude LE VOYER, AP-HP, Directrice du Département des Droits du Patient et des Associations, Direction du Service aux Patients et de la Communication

Participation aux CRUQ PC et à diverses instances ou comités d’usagers, implication dans des programmes de visite, d'accompagnement, d’éducation thérapeutique, création d'espaces d'entraide, …les usagers participent activement à l’amélioration de la prise en charge globale et même de la qualité des soins dans les établissements de santé : des RU qui participent aux EPP ! 2011 fut "année du patient et de ses droits". En 2012, les pistes d'actions concrètes se multiplient. Elles sont variées et dépendent beaucoup du contexte local : les copiés-collés sont délicats mais en revanche, les exemples sont source d'inspiration pour tous. Les usagers, les associations et leur représentants sont devenus de véritables parties prenantes de la PEC. Au-delà de cette reconnaissance, les résultats sont là, encourageants. A partir d'exemples concrets, faisons le point et ouvrons-nous de nouvelles voies pour progresser !

De nombreux progrès ont été obtenus, on en verra ici quelques uns qui monttrent la voie : synergies et état d'esprit constructif sont les deux piliers d'une collaboration efficace entre médecins conciliateurs et médiateurs d'une part et fonctions QGR et les RU d'autre part. Mais ce n'est pas spontané : cela se construit et cela s'entretient ! Par ailleurs la fonction de médecin médiateur est insuffisamment reconnue, soutenue, structurée. Les pratiques sont très hétérogènes d'un établissement à l'autre. Ellest peuvent s'améliorer grâce à la mutualisation, la communication et la formation. Un nouveau guide vient d'être publié, grâce à l"AMCMH, les RU et l'ARS Ile de France. Avançons dans cette direction !

Enjeu: optimiser, dans tous les Etablissements, l'organisation et l'activité des CRUQPC, s'assurer du suivi des recommandations.Depuis le décret d'application (2005) de la Loi KOUCHNER (2002) les fonctions du Médecin Médiateur (MM) et de la Commission de Relation avec les Usagers et de la Qualité de la Prise en Charge (CRUQPC ou CRUQ) sont bien définies. Le MM reçoit des patients mécontents ou leurs familles, analyse les raisons de leur demande d'entretien, essaie de les rassurer, de calmer les conflits. La CRUQ est présidée par le Directeur de l'Etablissement ou son représentant. Les Représentants des Usagers y tiennent une place importante et reconnue. L'analyse des dysfonctionnements (comptes rendus des entretiens de médiation, questionnaires de satisfaction, évènements indésirables, demandes d'indemnisation, recours judiciaires) l'amène à émettre des recommandations. Ce travail est fait en étroite collaboration avec la Direction et les Responsables Qualité, Droits du Patient, Affaires Juridiques, Communication. La CRUQ peut et doit être une des instances décisionnelles de l'Etablissement.

Innovations de la prise en charge tout au long du parcours de soins : ressources nouvelles et satisfaction des patients

Une relation nouvelle se met en place, une relation de vie qui dynamise le parcours de soin. Des ressources nouvelles, souvent bénévoles mais toujours compétentes, donnent des possibilités d'agir et surtout d'innover. Considérons concrètement certaines des ces actions : elles sont engagées avec des villes, des associations, des universités, des fédérations sportives. Résultats : mise en place d'un comité de lecture, d'un atelier d'art thérapie, d'un atelier fitness-escrime, etc. La relation d'aide s'enrichit. Cette qualité en plus, tout le monde y adhère, direction, soignants, patients. A l'institut de cancérologie, on peut parler d'un véritable succès. Elle illustre le thème de la première des JIQHS 2012 "Mieux satisfaire le patient à chaque étape du processus de soin".

Nous organisons deux réunions par an avec les usagers présents dans les six derniers mois. Un RU l'anime avec le référent qualité - relation aux usagers. De nombreuses choses "ressortent", bien plus que dans les questionnaires et les enquêtes. On approfondit bien davantage, beaucoup de questions redeviennent importantes et pertinentes. On est vraiment dans la prise en charge globale : médicale, paramédicale, hôtelière, relationnelle, institutionnelle, etc. C'est devneu indispensable dans un établissement où la DMS dépasse les 30 jours. Les solutions et les actions d'amélioration se révèlent bien plus créatives. Un compte-rendu est rédigé, les actions sont conduites et suivies. Bref l'instance complète et dynamise la CRUQ. Elle illustre judicieusement les nouvelles approches dans l'esprit du Jury Citoyen présenté en atelier 2. Et elle est prise au sérieux : résultat, elle se révèle utile et appréciée. Pourquoi n'y a-t-on pas pensé plus tôt ? Une idée innovante, testé et approuvée, et qui commence à faire école ! Inspirons-nous en tous.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Découv Découverte 5 : Lundi 26 Novembre de 13h45 à 14h40

Sécurité médicamenteuse : comparaison internationale

Animation Rémy COLLOMP, SFPC, CHU Nice

04 92 03 62 74 ; [email protected]

Première comparaison pratique internationale francophone des référentiels de sécurité pharmaceutique

Intervenant Jacques DOUCHAMPS, et…. Prénom NOM, pharmacie, CHU CHARLEROI (Belgique)

Discussion

Un témoin

Discussion

Durée totale:

Découv Découverte 6 : Lundi 26 Novembre de 13h45 à 14h40

Animation

02 41 35 78 11 ; [email protected] ; 06 73 44 52 47

Développer les pédagogies actives pour aborder les situations complexes

Intervenant Béatrice JAMAULT, CPA centre de pédagogie avancée, Amiens

tél : 03 22 66 81 16 (65103) ; [email protected] ; tél : 03 22 66 84 60 ; [email protected] ;

Discussion

La HAS entreprend une profonde évolution : après les scandales qui ont défrayé la chronique (du Médiator à la liste des médicaments remboursés inutiles), la Haute Autorité de Santé s'engage dans une double voie :- réévaluer régulièrement le rapport coût / efficacité des médicaments- abandonner le sacro-saint critère du SMR (le service médical rendu) au profit de l'ASMR (l'amélioration du service médical rendu).Sur ce dernier plan, un index comparatif de l'efficacité thérapeutique permettra de faire des tris et des classements de - - à ++, en comparant des avantages et des inconvénients multicritères (SMR, coût, mais aussi conditions de tolérance, contre-indications, galénique et administration, risques,...).Cette nécessaire réorientation qui a été plusieurs fois réclamée aux JIQHS, nous oblige à penser concrètement l'étape suivante : comment activer sur le terrain, la vigilance de deuxième type, celle qui implique les professionnels de terrain de façon bien plus intelligente aux boucles de rétroactions ?

Cela concerne toute la chaine de la sécurité médicamenteuse à toutes les étapes du processus de soins, et même de l'amont jusqu'à l'aval. Cela concerne notamment les alertes, les signalements, la diffusions de nouvelles recommandations. Bref c'est la qualité de notre fonctionnement collectif telle que les usagers le réclament sans cesse. C'est passer du risque systémique à la fiabilité systémique. Soyons en mesure d'éviter l'évitable en détail à toutes les étapes mais aussi en global sur l'ensemble des étapes. Vaste et nécessaire ambition. Comment font les pays voisins, quelles leçons pouvont nous commencer à tirer en pharmacie hospitalière ? Comment pouvons nous mieux partager nos expériences et progresser les uns avec les autres ? D'autres moments d'échangent pourront-ils approfondir les perspectives évoquées ici ? Les patients nous le demandent !

0032 71 92 51 24 ; 00.32.71.92.51.18 ; [email protected] ; [email protected] ; '[email protected]'

La pharmacie du CHU a observé les démarches en Belgique, en France, en Suisse, au Canada, en Italie, etc. Il lui a fallu plusieurs années pour être bien structurée : maintenant c'est solide. L'équipe est constituée de dix pharmaciens dont l'un se consacre exclusivement à la qualité. Elle dispose aujourd'hui de nombreux auditeurs et de nombreux référents dans les services. Elle a progressé régulièrement en s'inspirant de référentiels externes. Pour coordonner sa progression globale, sa stratégie et son management, son organisation et ses interfaces, elle a d'abord choisi l'ISO et elle vient de démarrer le recours au modèle de l'EFQM, qui est un référentiel global, plutôt pour grands établissements. Pour guider le contenu des améliorations techniques, elle a recouru au MAYA (Manual for Accreditation Year Audit) en pharmacie, avec ses 3800 questions et ses 30 processus, qui est un référentiel néerlandais, très pratique, plutôt pour les petits établissements. La pharmacie s'est ainsi graduellement structurée autour de ses missions, de ses processus, de ses objectifs de qualité et de sécurité. Elle a fréquemment recouru aux recommandations du Pr Jean Vigneron, CHU de Nancy, à qui on doit de nombreux travaux sur les injectables. Enfin, elle a également benchmarké le travail des HU de Genève, auprès du Pr Pascal Bonnabry. Les principaux résultats sont …………………………..La pharmacie du CHU a ainsi progressé dans tous les domaines et souhaite encore le faire en partageant avec d'autres.

Information du CIPIQSProgramme de la visioconférence CIPIQ-S du 04 décembre 2012 sur le circuit du médicament : depuis Genève : " Le bon médicament, au bon patient, au bon moment… Un processus de formation pour les soignants aux HU Genève. "depuis Namur : " Démarche qualité dans la gestion du circuit du médicament en unités de soins "depuis Luxembourg : " La gestion du risque médicamenteux au CH Luxembourg")

Simulation en santé : analyse scientifique des pédagogies activesUne pédagogie adaptée pour aborder les situations complexes : de la théorie à la mise en œuvre d'une révolution pédagogique

Dr Marie-Christine MOLL, CHU Amiens et Laurent DUFOURT, formateur, auteur de Jeux et outils pour accompagner le changement

La modélisation permet la mise en lumière de scénarios de dysfonctionnements liés à des « causes systémiques », non facilement appréhendables, et permet en retour de fiabiliser certains des comportements imprévisibles du système. Une équipe qui s'est entrainée en vaut deux. Or nos métiers fourmillent de telles situations !La réflexion inaugurée ici se prolongera dans une déclinaison opératoire, dans l'atelier 14 (Simuler le risque organisationnel et humain) apports spécifiques pour la qualité et la sécurité, sous toutes ses formes, et avec les recommandations du guide de la HAS.

LE CPA d'Amiens a proposé un projet ambitieux, pour que les pédagogies actives soient mieux (quantitativement et qualitativement) déployées en santé. Pourquoi, comment, avec qui, sur quels fondements théoriques, dans quelles buts pratiques ? Ce sont ces questions et les vôtres que nous verons ensemble dans cette séance Découverte puisque le projet a été retenu et sera un moteur national du ce sujet au cours des prochaines années. L'évolution des besoins, l'élargissement des situations complexes, sans compter la nouvelle perspective du DPC doivent également nous inciter à innover pédagogiquement.

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Découv Découverte 7 : Lundi 26 Novembre de 13h45 à 14h40

Animation Anne GUIRAUD-BONNAUD

01 45 46 19 00 ; [email protected]

Témoin Marc MOULAIRE, GCS HELPAM et SoFGRES, ingénieur qualité, risques et développement durable en santé

06 07 61 29 39 ; [email protected]

Intervenant

06 08 33 97 10 ; [email protected]

Découv Découverte 8 : Lundi 26 Novembre de 13h45 à 14h40

Et si on écoutait le point de vue des services de santé au travail ?

Animation Prénom NOM, titre, établissement

n° de tél ; adresse du courriel

Le questionnaire de Karasek, un levier d'identification des points d'amélioration de la qualité de vie au travail

Intervenant

02 40 08 45 53 ; 07 77 92 57 47 ; [email protected] ;

Discussion

connexion@

Pratiques vertueuses en Développement durable et bien être au travail Le bien-être au travail, c'est du développement durable urgent !

Le développement durable, ce n'est pas que l'énergie et les déchets ! C'est une vision globale ou l'humain a sa place dans l'écosystème et donc ne le détruit pas ni n'est écrasé par lui. Nous mettrons en avant ici la dimension RH, le bien-être au tavail.Marc WASILEWSKI, ancien directeur du premier établissement certifié ISO 9000 en France, secrétaire général du C2DS, président du service de Santé au travail de la Haute Vienne

Deux sujets à l'ordre du jour :

- Un appui stratégique, concret, débouchant sur des transformations utiles : le diagnostic B2ST "Bien être au travail". Ce questionnaire du C2DS est facile à mettre en oeuvre. Il est accessible en ligne et rempli directement par les salariés. Utilisons-le ! Mutualisons nos actions, progressons en réseau !

- Une vision stratégique : comparaison points forts / points faibles du DD en santé dans plusieurs pays. Prenez contact, ici, en atelier, en vue de jumelages ou de parrainages sur des sujets avancés (énergie, développement local, magnet hospital, déplacements, présente liste purement exploratoire), y compris avec des établissements des pays francophones. Ne restons pas isolés sur des sujets complexes. Mutualisons nos actions, progressons en réseau !

Les services de santé au travail sont encore perçus comme une entité parallèle. Pourtant le changement est facteur de stress, les réorganisations se font parfois à la hussarde, des modes de fonctionnement sont facteur de difficultés physiques et psychiques. Alors que tout le monde répète que la valeur ajouté en santé est avant tout humaine, dans le métier même au quotidien autant que dans le budget de nos établissements, nous devons prendre en compte les données, les préconisations et les alertes des services de santé au travail. Et les fonctions qualité, risques, organisateur,hygiéniste, formateur devraient davantage collaborer avec eux, de la conception des actions, à leur déploiement et à la mesure des résultats. Les services de santé au travail apportent eux-aussi une valeur ajoutée aux démarches qualité.

Dr Dominique TRIPODI, CHU de Nantes, Praticien Hospitalier, Chef de Service, Service de Médecine du Travail et des Risques Professionnels

Les risques psychosociaux sont intrinsèquement liés à l'activité en santé. Les identifions-nous, les mesurons-nous correctement ? Le questionnaire de KaraSek est un bon instrument dont l'usage mériterait d'être étendu. Nous avons tous à y gagner. Les différents items du questionnaire de Karasek permettent d’apprécier 3 éléments : latitude décisionnelle, demande psychologique et soutien social. Il fait partie des questionnements retenus par la Dares pour les risques psychosociauxOn complète souvent ce questionnaire par des questions portant sur la reconnaissance au travail, issues du questionnaire de Siegrist. On obtient ainsi un questionnaire d’évaluation collective du bien être au travail.- la maîtrise des situations de travail- la possibilité d’utiliser ses propres compétences et d’en développer de nouvelles.- l’aide et la reconnaissance des collègues et de la hiérarchie.Une situation de travail est génératrice de stress si elle associe: des exigences élevées au niveau du travail, peu ou pas de contrôle sur son propre travail et un soutien social faible de la part de l’équipe de travail ou de la hiérarchie;

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Lundi 26 novembre Après-midi 15h15 - 17hSymposium Symposium B : Lundi 26 Novembre de 15h15 à 17h ANNULE ANNULE ANNULE ANNULE

Animation Dr Patrick TRIADOU, MCU, Paris Descartes, Hôpital Necker

Tél : 06 79 18 38 10 ; [email protected]

Témoin Jean-François THEBAUT, membre du collège de la HAS

sec : 01 55 93 73 75 ; [email protected]

1 D'où venons-nous, où allons-nous ?

Intervenant Guy BOUDET, DGOS, chef du bureau de l'exercice et de la déontologie

01 40 56 48 37 ; [email protected]

Discussion

2 D'où venons-nous, où allons-nous ? La perspective des CME en formation médicale continue

Intervenant Dr Sylvia BENZAKEN, vice pdt de la CME, CHU de Nice

04 92 03 55 02 . [email protected]

3 D'où venons-nous, où allons-nous ? En formation médicale soignante continue

Intervenant Prénom NOM, titre, Fédération des Spécialités Médicales

01.40.93.65.80 ; [email protected]

Discussion

Approfondissement dans la perspective de la HAS

Synthèse collective et conclusion

Symposiums et Ateliers

DPC et formations : quelle politique de la compétence en qualité / sécurité ?Comment concevoir et valider son plan annuel obligatoire ?

Introduction : intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement de questions de la salleLa Direction générale de l'offre de soins (DGOS) présente dans la circulaire du 22 mai les orientations nationales de formation pour 2013 dans la fonction publique hospitalière, en amont des orientations nationales du Développement professionnel continu (DPC), dont l'arrêté ministériel est attendu pour le 3e trimestre 2012. Six thèmes ont été retenus :-"améliorer la qualité des soins et soutenir le développement de prises en charge innovantes et efficientes,-accompagner au sein des établissements la prise en compte des droits du patient et la prise en charge des patients âgés ou en fin de vie,-développer les nouvelles technologies au service de la coordination des professionnels et de la qualité des soins,-renforcer la sécurité des prises en charge au profit du patient et du personnel,-créer les conditions d'une gestion performante des établissements,-accompagner les professionnels dans la mise en œuvre des grandes orientations de santé publique".

Pour chaque orientation, des axes de formation sont définis (annexes 1 à 33) et doivent être mis en œuvre par les établissements. En outre, cinq actions de formations nationales (annexes 34 à 38) ont été identifiées par le conseil supérieur de la fonction publique hospitalière en avril dernier et feront l'objet de sessions organisées par l'Association nationale pour la formation permanente du personnel hospitalier (ANFH). Ces cinq actions concernent la construction d'un projet de chirurgie ambulatoire, d'un programme de DPC, la formation des tuteurs de stage des étudiants paramédicaux, la déclaration des événements indésirables graves, des vigilances et le signalement des infections nosocomiales, ainsi que la formation à la démarche palliative et à l'accompagnement de la fin de vie.

Contexte et textes, enjeux, difficultés, objectifs, réponses, méthode, résultats attendusCertains se disent : enfin, un dispositif national, unique, commun, interdisciplinaire !D'autres ont l'impression d'un dispositif idéal voire idéaliste, complexe, technocratique. Mais beaucoup méconnaissent le DPC. Où en est-on ? Comment l'actionner ? Est-il applicable pour tous dans sa forme actuelle ? Son application sera-t-elle contrôlée ? Ses résultats sont-ils mesurables ?La HAS réfléchit à une certification d’équipes, dans le cadre d’une démarche volontaire, qui viendrait enrichir la certification d’établissement. Les JIQHS présentent les principes fondamentaux des équipes hautement performantes depuis plusieurs années. Le DPC est-il "individualiste" ou "équipe compatible" ?

Approfondissement. Nous aborderons les questions suivantes :- comment construire un programme DPC ?- quels contenus prioritaires au menu d'un programme DPC ?- quelle est et quelle sera la place de la QGR dans les CV et les carrières, c'est-à-dire les formations, engagements et résultats réels ? Tant pour les méthodologues, que pour tous les médico-soignants au sens large et tous les "gestionnaires" ou "support"...- quelle politique de formation médicale ? qui l'élabore, comment ? qui finance et combien ? qui évalue et comment ?

Comment dynamiser le DPC ? Comment articuler ses deux exigences "cognitives et évaluatives" ( la théorie et la pratique) ? Quelles places peuvent avoir les démarche qualité & gestion des risques médico-soignantes dans le DPC ? Des exemples, des retours d'expérience peuvent-ils être présentés aux JIQHS ? Par exemple, aux JIQHS 2013 (ou dans d'autres occasions), ceux qui présenteraient des posters, des retours d'expérience, des chantiers conduits avec rigueur seraient-ils validés dans leur DPC ? Et ceux qui viennent se former et s'informer sur ces contenus le seraient-ils aussi ? A quelles conditions ?

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Atelier Atelier 11 : Lundi 26 Novembre de 15h15 à 17h

Animation Dr Vincent LEROUX, Centrale Santé et Hôpital National de Saint-Maurice (94)

06 62 10 43 24 ; [email protected]

Témoin Eric BERTRAND, président de l'AFGRIS et Michel SFEZ, président de la SoFGRES

06 35 33 04 78 ; [email protected]; [email protected] ; 06 60 62 38 40 ; [email protected]

1

Intervenant

33 (0)6 74 48 97 85 ; [email protected] ; 01 45 46 19 00 ; [email protected]

2 Le coordonnateur de la GDR : la photo fin 2012 et les perspectives pour demain

Intervenant Dr Isabelle VERHEYDE (Médecin coordonnateur RSQ/FORAP), Dr Claire CHABLOZ ( Médecin coordonnateur CEPPRAL /FORAP)

03 28 55 90 81 ;[email protected] ; 04 72 11 54 60 ; [email protected]

3 Comment nous sommes devenus quatre étoiles : valeur ajoutée de la fonction qualité et risques au Luxembourg

Intervenant Doriane LACHOR-HOUVER, resonsable qualité du CH général de Luxembourg

00 352 44 11 86 18; [email protected]

Discussion

4 Les process qualité au niveau de la direction

Intervenant Didier HAAS

01 40 43 63 82 / 62 05 ; 06 86 07 79 63 ; [email protected]

Synthèse et conclusions

Quelle QGR demain ? Quelle sera la valeur ajoutée des acteurs QGR sur le terrain ? Quelle formation ?

Sommes-nous prêts à affronter ce qui s'annonce comme une décennie difficile ? Quelle valeur ajoutée pour la QGR demain ? Vaste sujet ! Pour les 10 ans à venir, quel modèle de la fonction QGR se dessine ? Voici des questions... et des intervenants qui engagent le dialogue avec vous.1 - Fonction de spécialiste ou fonction partagée ? Responsabilité de moyens ou responsabilité de résultats ? 2 - Fonction exercée dans le cadre d'une compétence collective d'intense amélioration continue ou fonction orientée sur les textes, dans le cadre d'une normalisation nationale ? La place des médecins et les paramédicaux : centrale ou latérale ?3 - Les RH, les conditions de travail et la santé des professionnels, la sociologie et la psycologie du travail : sujet central de la politique QGR oui ou non ? La culture QGR peut-elle se passer des DRH ?4 - Le parcours du patient, l'expérience et la satisfaction du patient, l'organisation autour du patient, la bientraitance : moteur des transformations à venir ou sujet pour étudiant en master ? 5 - L'efficience, toujours un gros mot ? Et les coûts du risque et de la non qualité, toujours cachés ? 6 - Le mangement de proximité, le management de porjet, le leadership dans une discipline, et l'exemplarité de façon générale : ce sera qui, ce sera quoi, demain ? 7 - Les facteurs organisationnels et humains dans les grands projets (investissements, fusions, coopérations) : avec ou sans les apports QGR ? 8 - Quels profils, quels métiers, quels carrières demain en QGR ? Quelle reconnaissance des acteurs QGR ? Le directeur QGR, un expert qui prône les règles de l'art ou un leader qui obtient l'engagement de tous ? 9 - Les modalités pratiques de pilotage d'une telle orientation des démarches qualité : toujours plus d'instances et de comités ? 10 - Et les concepts fondamentaux QGR : quoi de neuf ?

Valeur ajoutée demain, en qualité et en sécurité : sur le papier, dans les têtes et sur le terrain,Retour d'une enquête prospective des JIQHS 2012

Marie BOYER, ESSEC, Chair Santé, Christophe GEISLER, AFQHO et JIQHSEnquête pour l'AFQHO Association francophone pour la qualité hospitalière et pour les JIQHS

Quelle valeur ajoutée pour la QGR demain ? Retour de l'enquête menée auprès de 30 responsables sur le terrain : des qualiticiens et gestionnaires de risques, mais aussi des directeurs, des présidents de CME et des médecins, des paramédicaux et des soignants, des experts. Nous passerons en revue les qui, quoi, quand, comment et pourquoi, et surtout les combien. Regardons à 10 ans : l'avenir n'est écrit nulle part mais les chemins commencent à être bien tracés.

Retour de l'enquête de la FORAP sur la mise en œuvre de la circulaire 2011 :les missions, les fonctions, les acteurs les difficultés de mise en œuvre, les perspectives

En novembre 2011, le centre hospitalier de Luxembourg a obtenu une reconnaissance européenne (4 étoiles) EFQM.Un modèle : le modèle EFQM (les éléments discriminants entre les 2 modèles : EFQM / HAS. )Une ambition déclinée en "politiques concrètes" conduites avec persévérance dans la duréeUn leadership fort dont le moteur est interne (la hiérarchie et les binômes médico-soignant) et la stimulation externe (benchmarcking, évaluation, financement)Des objectifs très concrets : nombreux et suivis, avec des responsablesLa fonction qualité : pourquoi (sa valeur ajoutée), qui, quoi, où, quand comment, combien (ses ressources directes et indirectes) ?

Le point de vue d’un dirigeant mis en débat avec la salle. Pour les patients / les usagers : en quoi la QGR (ses processus, ses outils, ses démarches) peuvent aider une direction à opérer les transformations importantes d'un établissement et, en conséquence, à restructurer l’offre ? Pour les professionnels : en quoi la QGR (idem) peut-elle rester une dynamique collective, mobilisatrice, efficace ? En quoi, peut-elle concrètement aider à réduire les risques psychosociologiques, à améliorer les conditions de travail ?

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Atelier Atelier 12 : Lundi 26 Novembre de 15h15 à 17h

Animation Françoise ANTONINI, Le CISS, Pays-de-Loire, représentante des usagers

02 40 75 23 65 ; [email protected]

01 43 29 92 38 ; 06 76 85 79 39 ; [email protected]

Témoin Christophe DOUESNEAU, chef de projet, ANAP

n° de tél ; adresse du courriel ; 01 57 27 11 97 ; 06 11 66 49 00 ; [email protected]

1

Intervenant

Discussion

2

Intervenants Joan BARRUBES et Antoine FAURE, ANTARES Consulting

01 73 54 76 15 ; [email protected] ; [email protected]

Discussion

La qualité du parcours de soins Coopération ville/ hôpital médico-social : pragmatisme et stratégie des filières, parours du combattant ou parcours de vie ?

Témoins usagers

Jean-Luc PLAVIS, CISS IDF, Correspondant du Conseiller Santé du Défenseur des Droits, Maison de Santé des Chênes, Hôpital Foch et Santé Service (HAD)

Introduction : intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement de questions de la salle Le rapport de l'IGAS 2012 : le diabète est la maladie chronique la plus répandue en France (3 millions de personnes, 90% atteinte d’un diabète de type 2, notamment liée à la prévalence de l’obésité). La prévention et le dépistage sont insuffisamment ciblés. On peine à toucher les populations vulnérables et/ou précaires. Même chose en insuffisance cardiaque, en addiction et pour de nombreuses pathologies chroniques. Il faut développer et soutenir les filières, avec les réseaux Santé et les soins de premier recours. Il faut articuler la relation hôpital / ville et l’éducation thérapeutique autour de la FILIERE, C'EST CLAIR. Désormais, le parcours de santé est incontournable. Le parcours constitue l’ensemble, ou un épisode, des démarches que la personne effectue pour être prise en charge dans le domaine sanitaire et social. La filière, c'est le dispositif coordonné, que nous devons faire progresser collectivement tant en qualité qu'en sécurité. Fragmentée et cloisonnée, elle devra faire l'objet de nombreuses innovations et transformations. IL FAUT Y ALLER MAINTENANT.

Mais y aller AVEC QUI ? Avec les réseaux de santé, reconnus par le code de la santé publique comme membre du tryptique des "acteurs de la prise en charge" avec les médecins et les établissements. Donc, en articulant et coordonnant nos actions, notre travail quotidien, pour chaque patient. A l'entrée, en cours, à la sortie. Le parcours, c'est la chaîne dans sa globalité. Aucun maillon n'est propriétaire du parcours. Chaque maillon travaille en fonction et pour le parcours. C'est impossible ? Et pourtant, ils l'ont fait. Tous acteurs de santé confondus, dans une logique d'intérêt supérieur. Et ça marche. Ecoutez, dialoguez. Faites ici le plein avant d'agir : le défi est une révolution qui se fait à petits pas maîtrisés.

Réseaux de Santé  : Aider, accompagner, coordonner. Leçons pour la qualité du parcours.

Dr Thierry GANDON, Médecin Directeur,   Réseau de Santé du Bessin (GCS « Soigner Ensemble dans le Bessin »), Basse-Normandie

02 31 51 13 01 ; 06 27 29 29 55 ; [email protected]

La coordination de multiples professionnels spécialisés dans le cadre d'un parcours de santé qui ne peut pas être défini a priori, est devenu un enjeu de premier plan. La politique de soutien aux réseaux est arrivée, enfin, dans les années 2000. Elle n'a pu être possible que là où des acteurs sur le terrain avaient déjà pris les choses au sérieux et avaient posé les premiers jalons, souvent en l'absence de ressources et de considération. Car les besoins se concentrent sur les populations souvent vulnérables ou à l'écart des processus de prise en charge existants. Leur tâche serait-elle secondaire ? Que non : il s'agit d'abord d'aider, de secourir,d'accompagner nos concitoyens sur des sujets justement délicats et conséquents : périnatalité et parentalité, gérontologie, addiction, mais aussi cardiologie, diabètologie, etc. Nous sommes bien au premier rang de la qualité en santé, celle qui a fondé l'assistance publique.

Très vite, coordonner les parcours devient impératif, harmoniser les pratiques des professionnels devient indispensable, transmettre entre eux les compétences devient urgent : le réseau doit se structurer et disposer de ressources, de règles, de techniques d'animation. Il doit assurer une PEC globale de la personne, de sa santé, de ses soins. Nous aborderons ici en atelier deux retours d'expériences avancées :- les leçons techniques, pratiques et éthiques de la coordination en cancérologie : c'est un bon exemple de prise en charge complexe,- les outils, méthodes et actions concrètes facilitant le retour à domicile après hospitalisation : sujet qui concerne tous les professionnels et structures de santé (y compris dans sa dimension financière).

L'exemple du GCS « Soigner Ensemble dans le Bessin » (territoire rural de 120 000 habitants en Basse-Normandie), montrera en outre que l'implication du secteur libéral est un atout considérable pour la qualité de la prise en charge du parcours de soins. En retour, le réseau est en mesure d'indiquer aux établissements de soins les nouveaux points clés de la coopération nécessaire à un parcours de santé plus fluide, plus humain, plus efficace.

Le parcours de soins : c'est quoi, c'est qui, c'est comment ? Forces, faiblesses et opportunités collective pour 2013.

L'ANAP a réalisé un diagnostic approfondi des parcours de santé des personnes âgées sur un territoire avec les ARS Languedoc-Roussillon, Pays de la Loire, Île-de-France (analyse populationnelle et cartographie de l’offre de santé, analyse des parcours, définition des parcours appropriés). Ce projet a mobilisé des représentants des usagers, des établissements et services de santé médico-sociaux, des professionnels du secteur ambulatoire, des centres locaux d’information et de coordination (CLIC), des réseaux de santé, des représentants de l’Assurance maladie et des collectivités territoriales. Joan Barrubés, directeur associé du cabinet Antares Consulting spécialisé dans les secteurs sanitaire et médico-social, souligne l'importance du diagnostic partagé car il permet un accord solide entre acteurs locaux sur les priorités et renforce la cohésion entre acteurs. Il en résulte une feuille de route et un plan d’amélioration pour le territoire. Sur le volet sanitaire, on doit notamment rendre efficient le parcours, ne pas emboliser les services rares et chers, fluidifier et valoriser les services de proximité. Il faut donc bien segmenter l'offre, construire de bons programmes personnalisés, progresser rapidement dès les premiers retours d'expérience, etc.

Le témoignage aborde les questions suivantes : quelles modalités cibles envisager / écarter ? quelles évolutions d'organisation ? Quels types d'accompagnement proposer / tester ? Comment nous coordonner autour d'une filière et non plus seulement et au cas par cas, autour d'un patient.La coopération a pour objet des transferts d’activités ou d’actes de soins ou de réorganiser les modes d’intervention. Il existe un protocole de coopération entre professionnels de santé, un guide, des formulaires,etc. Même une FEI et un guide de traitement des EI. Mais la prise en charge globale et pluridisciplinaire repose sur une conception du travail en équipe axée sur le partenariat et non sur la simple articulation de compétences. C'est ce que montrent toutes les expérimentations.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

3 Le parcours, définition, outil commun et stratégie collective pour se coordoner

Intervenant Dr Armelle LEPERRE-DESPLANQUES, HAS

01 55 93 70 00 ; [email protected] ;

Discussion

4a Annonce flash : Poster 213 : amélioration de la PEC de l'AVC, CH de Niort

4b Les propositions de la FHF pour aider le développement des filières

Intervenant

5 Agir ensemble, localement : le chaînon manquant doit être un chaînon intelligent

Intervenant Michel VERMOREL, directeur adjoint Handicap et Grand Âge, ARS Rhône-Alpes

04 27 86 57 50 ; 04 27 86 57 58 ; [email protected]

Discussion

Approfondissement collectif, synthèse et conclusions

Atelier Atelier 13 : Lundi 26 Novembre de 15h15 à 17h

Animation Gilbert MOUNIER, SoFGRES

06 22 04 03 20 ; [email protected]

Introduction : intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement des questions de la salle

1 L'absurdum maximum indicator : où l'on découvre que l'enfer était pavé de bonnes intentions

Intervenant

n° de tél : 01 45 81 75 82 ; adresse du courriel : [email protected];[email protected]

Discussion

En quoi le "parcours" est encore une idée neuve, bien différente du "patient",de la "pathologie", du "professionnel" ? Tellement neuve qu'elle mérite d'être clairifiée mais aussi tellement importante qu'elle suppose une définition partagée, si ce n'est consensuelle ! En quoi la chronicité des prises en charge médicales et sociales d'une part, et la permanence de la maladie d'autre part supposent-t-elle une nouvelle modalité de l'activité soignante et hospitalière en particulier. En quoi la bonne compréhension par tous de ce "parcours" est nécessaire pour améliorer la coopération en amont et en aval de l'établissement ? En quoi le volet organisationnel devient-il, en conséquence, un élément cruxial de la qualité du "parcours" de soin ? En quoi les établissement gagneraient-ils à mieux organiser leurs coopérations avec l'ambulatoire, et réciproquement ? Et surtout, comment ?Un élément essentiel pour la qualité de la prise en charge du malade chronique : son "plan personnel de santé". Il partage l'information, permet une meilleure coordination, définit une stratégie cohérente de soins. Comment développer son usage commun à tous les professionnels. Quelle est la stratégie de la HAS sur ces sujets ?

Enfin, la HAS publie des guides et outils des parcours de soins (très pratiques : les points critiques des parcours de soins, la liste des prestations prises en charge par l’Assurance Maladie dans le cadre de l’ALD, etc.) Ils portent sur la BPCO, la maladie rénale chronique, la maladie de Parkinson et l’insuffisance cardiaque. D’autres sont en préparation. Très utiles pour faciliter la coordination des professionnels et personnaliser les prises en charge. Inutile ici d'insister sur l'impact économique par la simple réduction des dépenses mal orientées ou inadéquates.

Muriel JAMOT, FHF, 01 44 06 84 77 ; [email protected]

Le SROS 2008-2011 en Rhône-Alpes avait mis l'accent sur la nécessité d'améliorer les parcours de soins, et en particulier ceux des patients âgés. 30 filières avaient été identifiées. Une concertation avait été engagée avec tous les partenaires professionnels et usagers. Une innovation territoriale en a résulté : le territoire d'action fonctionnel (TAF) autour d'un CH de référence. 29 territoires gérontologiques ont été identifiés et mis en place. Les professionnels et les populations d'usagers âgés sont liées par un projet. Les acteurs clés de chaque TAF se sont réunis, ont étudié leur forces et faiblesses, ont souligné les dysfonctionnements le long des parcours des patients. Puis 17 TAF se sont engagés, ont signé une charte avec des objectifs et des plans d'action.

Ainsi est né l'impensable : une gouvernance locale, concrète, de la prise en charge des patients âgés. Ce TAF et sa gouvernance constituent une sorte de chaînon manquant entre un territoire pertinent, sa population, l'ambulatoire et les établissements sanitaires et médico-sociaux. L'ARS y est invitée, sans être membre de droit, et peut ainsi s'informer des actions stratiégiques qui nécessitent un soutien ou un financement à son niveau. En 2012 un comité stratégique des financeurs a été mis en place : il réunit les financeurs décisionnaires, à savoir la CARSAT, le Conseil Général, l'ARS. Ainsi, un dispositif de gouvernance, de coordination et d'amélioration a vu le jour et a prouvé son intérêt : la prise en charge des filières de soins s'est fortement améliorée sur le territoire. L'ARS Rhône-Alpes en a fait l'un de ses axes majeurs de développement. Voir le site web de l'ARS.

Indicateurs absurdes vs indicateurs pertinentsVers une rémunération financière basée sur des indicateurs cibles ?

Maya BACACHE, Telecom Paris tech, auteur notamment de "Les indicateurs absurdes"

Les démarches qualité, risques et performance ont la facheuse tendance à tout vouloir quantifier et mesurer. Paul Watzlawick avait écrit un ouvrage qui reste une référfence "Faites vous-mêmes votre propre malheur". Le pire n'étant jamais sûr, les responsables et les technocrates, disons tous ceux qui se mettent autour d'une table, lancent des indicateurs. Après tout, pourquoi pas. Il est bon de se donner des repères : to speak with datas ! Hélas, c'est oublier que le diable guette. Déjà il se frotte les mains. Tout indicateur, initialement bien intentionné, peut se retourner contre son auteur. Il lui échappe comme un chat. Tel indicateur est bon, alors que la réalité est fausse ! Tel autre est exact mais il ne sert à personne ! Tel autre serai bien pertinent mais personne de le remplit ! Tel autre enfin signale une alerte, et là, c'est le messager de la mauvaise nouvelle qu'on punit. Certains indicateurs sont carrément absurdes, d'autres le deviennent. On en viendrait à s'étonner : il existe certains indicateurs qui servent à quelque chose. Les mauvais esprits cherchent : il doit bien y avoir une erreur quelque part...Il est bon de se rappeler que les méthodes de management ont produit elles-mêmes leur propre ridicule. Ne désespérons pas : apprenons à construire l'absurdum maximum indicateur... afin de l'éviter.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

2a Les figures libres et autres indicateurs ciblés : mesurer l'essentiel, innover. Exemple de l’EHPADOMETRE

Intervenant Marc MOULAIRE, GCS HELPAM, SoFGRES et un établissement

06 07 61 29 39 ; [email protected]

Discussion

2b Annonce flash : Poster 116 CH Sens : l'importance de la communication en retour vers les professionnels

3 Les figures imposées et autres indicateurs collectifs : l'esprit et la lettre pour 2013

Intervenant Catherine GRENIER, HAS

01 55 93 73 57 ; [email protected]

Enjeux, difficultés, réponses, méthode, résultats, leçons

Discussion

4

Intervenant

01 40 56 60 00 / 69 65 ; [email protected]

Discussion

Approfondissement collectif, synthèse et conclusions

Quoi ? S'inspirer des EHPAD ? Oui : car l’EHPADOMETRE permet de mieux appréhender la qualité potentielle d’un établissement comme le font les étoiles pour les hôtels, les fourchettes pour les restaurants, les épis pour les gites ruraux, etc. Il est construit sur neuf grands thèmes du "bien vivre" : être bien accueilli, être bien chez soi, bien manger, vivre dans un site agréable, se sentir en sécurité, être bien soigné, s'occuper, être écouté et respecté, payer le juste prix. Le "bien vivre concrètement", n'est-ce pas l'essentiel ?Plusieurs EHPAD d’Ardèche ont déjà utilisé cet outil, repris avec succès en Franche-Comté, Aquitaine et Alsace. A quoi tient son succès ? Comment inspire-t-il ses utilisateurs ? Quelle dynamique apporte-t-il ?L'atelier permet aussi de s'approprier le réflexe du retour à l'essentiel : en qualité, en sécurité, en satisfaction des patients ou des professionnels, il s'agit de revenir à des indicateurs simples, ciblés, pertinents. Sur ce sujet nous avons tous à y gagner, dans tous nos services, dans tous nos établissements, pour tous nos patients !

La démarche IFAQ : une figure encore libre... pour le présentSuite à COMPAQH, l'Incitation Financière à l’Amélioration de la Qualité : entre septembre 2012 et juin 2014.

Cecile BEHAGHEL, Aurélien BOUCHER, DGOS, Sous-direction de la régulation de l’offre de soins, Bureau de l’évaluation, modèles et méthodes (R5)

Il existe des établissements vertueux. Quoi ? Ils n'auraient aucune stimulation financière en retour ? La question mérite d'être posée. Elle l'est au ministère, dont la DGOS, qui met en place le nouveau projet IFAQ (Incitation Financière à l’Amélioration de la Qualité) entre septembre 2012 et juin 2014. La direction générale de l’offre de soins (DGOS) et la haute autorité de santé (HAS) ont lancé, dans le cadre d’un projet de recherche, un appel à candidature visant à expérimenter auprès de 100 établissements un mécanisme d’incitation financière à la qualité, fondé sur les indicateurs généralisés, les pratiques exigibles prioritaires de la certification et le degré d’informatisation du dossier du patient. L'ATIH, l'ANAP et la DREE sont parties prenantes.

Faisant suite à COMPAQH, l’objectif est donc de concevoir un modèle d’évaluation de la qualité des établissements et de simuler une valorisation financière en lien avec cette évaluation. Ce modèle de financement à la qualité est lié au niveau atteint (score d'excellent de l’établissement : coef 10 ) et à la dynamique observée (progrès accomplis ou effort : coef 7). Seule la meilleure des deux notes - excellence ou effort - est retenue. S'ensuit un classement des établissements et une rémunération comprise entre 500 mille et 50 mille euros. Succès : des centaines d'établissements ont candidaté. Finalement le projet est élargi à 200 établissements pilotes.

A savoir et à méditer... Au Luxembourg, le modèle EFQM est déployé dans tous les établissements sanitaires. Contrairement au référentiel HAS, celui de l'EFQM présente une échelle ouverte... sur le haut. Il fonctionne sur le principe du concours et mesure la progression en termes d'excellence où moyens d'un coté et résultats de l'autre sont également analysés. Et la comparaison se fait avec les meilleures pratiques internationales : le management et la gestion sont donc étalonnés comme la médecine : dans les règles actuelles de l'art. Enfin, la dotation budgétaire est corrélée à la note EFQM. Il ne s'agit plus d'incitation mais de financement.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Atelier Atelier 14 : Lundi 26 Novembre de 15h15 à 17h

Animation

06 73 44 52 47 ; [email protected]

1

Intervenant Pr Jean-Claude GRANRY, CHU Angers, Mission HAS sur les simulations en santé

02 41 35 44 39 ; [email protected]

Discussion

2 Et nous, que ferions-nous ? Exemples de situations en cancérologie…

Intervenant Soizik VERBORG, ingénieur qualité, Centre de coordination en cancérologie 3C et cellule qualité du CHU d'Angers

02 41 35 45 68 ; [email protected]

Discussion et apports de Laurent Dufourt

3 Simulation et DPC : une expérience régionale et ses perspectives transposables

Intervenant Dr Marie-Christine MOLL, CHU Angers, Mission HAS sur les simulations en santé, Réseau AQUAREL Santé

02 41 35 78 11 ; [email protected]

Discussion

Approfondissement collectif, synthèse et conclusions

Simuler le risque organisationnel et humain Apprenez sans prendre de risques

Laurent DUFOURT, consultant et spécialiste des pédagogies ludiques et activesAuteur de Jeux et outils pour accompagner le changement, ESF Editions, 2011

Introduction, enjeux, présentation, rappel des règles des échanges, questions de la salleLa formation par la simulation devient l'un des nouveaux domaines clés du DPC. L'an passé, les JIQHS ont présenté le rapport Granry-Moll sur les enjeux. Cette année, la HAS publie un mini guide de 4 pages relatif aux bonnes pratiques de la simulation pédagogique. Le temps de la (re)découverte de cette importante approche pédagogoqique est passé : arrive le temps de l'action. Cet atelier y répond résolument. Innovation : noter qu'un intéressant jeu de simulation des signes précurseurs de maltraitance est présenté dans l'atelier 17 Bientraitence en 2013.

La simulation en 2013 : où en sommes-nous sur les plans théoriques et pratiques ?Définition, evolution depuis le rapport HAS, nouveaux enjeux, méthodes utilisées et leurs évolutions, la perpective du DPC

La simulation en santé devrait être intégrée dans tous les programmes de formation. Les domaines sont variés : en équipe ou seul, sur des mannequins pour des gestes techniques ou en salle de formation (entraînement à la consultation, à l'annonce ; voir atelier 37 sur ce dernier sujet). La simulation couvre un champ majeur du progrès : le facteur humain. Dans ce but, la simulation peut être promue via des coopérations entre établissements, via des plates-formes communes, grâce à des compétences de formateurs mutualisées, via des études de cas proches de la réalité et élaborées de façon neutre. La simulation est particulièrement instructive dans l'approche des situations graves et à risques. Or l'évolution positive de notre métier accroît mécaniquement le nombre de telles situations : les interactions entre professionnels se multiplient, le nombre de patients fragiles ou vulnérables augmente, les effets de certaines annonces portent sur des vies entières (on pense à l'annonce d'une maladie chronique, d'une maladie rare, de certains EIG, de la perte d'une chance unique). Ainsi, nous pouvons nous rapprocher nettement plus de cet idéal "Jamais la première fois sur un patient".

En situation grave et complexe, les repères habituels sont hors jeu. Les angoisses, les peurs, le stress du patient et des professionnels constituent une composante délicate de la prise en charge. On sait maintenant que l'entrainement par la simulation est un bon moyen pour apprendre à mieux maîtriser collectivement de telles situations. Il est nécessaire de disposer de bons cas cliniques, instructifs des forces et des faiblesses, pédagogiques sur les points de progression. On découvre l'interdépendance, non comme un problème, mais comme une solution : bonne nouvelle pour nous tous qui mettons l'humain au cœur de nos valeurs et de nos engagements personnels. Mais ce n’est pas spontané, cela s’apprend. Heureusement, c’est un apprentissage qui passe bien : les professionnels le plébiscitent. On abordera ici quelques situations venues notamment de la cancérologie. Améliorer fortement l'annonce du cancer était une demande des patients reprise dans le plan cancer (mesure 40). On verra ici l'importance de l'entraînement par la simulation et comment nous pouvons améliorer en équipe notre prise en charge du patient. Grand prix 2012 ANFH. En image : http://www.youtube.com/watch?v=nMXPPboZIJA Nous faisons beaucoup de qualité curative, avec la simulation, nous voici dans la qualité préventive. Le champ est vaste !

Enjeux, difficultés, réponses, méthode, résultats, leçons Expérience du CESAR, à Angers avec la participation active du secteur Médico-social.La simulation accèlère le partage d'expérience et la construction de savoirs transversaux aux disciplines, aux institutions, aux secteurs.Un cas d'école : inspirons-nous en !

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Atelier Atelier 15 : Lundi 26 Novembre de 15h15 à 17h

Animation

05 61 32 42 05 ; [email protected]

1

Intervenant Majid TALLA, manager, ANAP

07 78 66 52 83 - 06 76 19 84 81 ; [email protected]

2

Intervenant Dominique THIVEAUD, Euro-Pharmat et CHU de Toulouse

05 61 32 42 05 ; [email protected]

3

Intervenant Josseline BERTRAND-BARAT, resp des matério-vigilances, CHU de Bordeaux

05 56 79 98 68 ; [email protected]

4 Le nouveau cadre réglementaire des DM pousse à une surveillance active des DM

Intervenant Jean-Patrick SALES, directeur délégué, HAS

01 55 93 37 01 ; [email protected]

Dispositifs MédicauxSécuriser, signaler, évaluer (globalement, transversalement, localement)

Pr Jean-François QUARANTA, directeur qualité et gestion des risques, CHU NiceDominique THIVEAUD, Euro-Pharmat et CHU de Toulouse

Introduction, intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement de questions de la salleAu-delà du marquage CE, comment sécuriser l'usage et même le bon usage des dispositifs médicaux ? Et tout d'abord comment sécuriser leur complexe circuit logistique. Comment maîtriser la façon avec laquelle les soignants s'approprient un nouveau DM, évitent les mésusages, signalent les risques ? Les conséquences sont nombreuses en termes de gestion, de responsabilité mais aussi en termes de formations, de validations, de délégation, de contrôle et de vigilance. Quelles stratégies et quelles actions très pratiques déployer pour que le DM prévu pour un progrès ne deviennent pas source d'erreurs, de tensions, de maltraitance ? Afin qu'on ne laisse pas passer dans son établissement de futures prothèses PIP ? Quelle serait la liste des 10 DM à risques qui devrait mobiliser toutes nos énergies ? Quelle serait dans les principales spécialités le podium des 3 DM à risques qui devraient mobiliser les énergies des professionnels impliqués. Avec qui réfléchir et agir, en interne, en externe ?

On le voit, dans les établissements, il est urgent de mettre en place une nouvelle dynamique Pharmacien + QGR + Médico-Soignants face à ces enjeux importants et en pleine évolution. Urgence oui, précipitation non ! Voici les premiers pas dans la bonne direction, ils nous ouvrent la possibilité d'obtenir sur ce sujet des progrès considérables. A réfléchir et débattre avant d'agir.

La vigilance stratégique et l'amélioration des usages : pour une vision globale des risques notamment ceux liés aux DM ordinaires, largements diffusés et insuffisamment maîtrisés (vers un diagnostic opératoire permettant l'analyse consensuelle des risques des DM)

Enjeux, difficultés, réponses, méthode, résultats, leçons

texte à écrire

La vigilance organisationnelle et l'amélioration des usages : sécuriser et optimiser le circuit des DM Exemple des DMI, dispositifs médicaux implantables

Le circuit des DM se révèle comlexe : ce sont en fait de multiples circuits, avec de multiples contingences. Améliorer ces circuits, identifier leurs risques structurels, agir sur les principales faiblesses serait déjà un progrès. Et un progrès à renouveler régulièrement. Nous verrons ce que nous apporte de constructif l'analyse préliminaire des risques (APR) d'un circuit et quelles actions en découlent.

La vigilance opérationnelle et l'amélioration des usages : sécurisons mieux les DM à risques par une vigilance active et structurée, animée par des référents sur le terrainExemple de la perfusion mal faite

Aller vers une maîtrise du bon usage tout en assurant une vigilance sur les mésusages et les risques qui apparaissent au fur et à mesure. Relier matériovigilance, pharmacie et contrôle médico-soignant dans une logique d'événements indésirables évitables. Qui détecte, qui signale, qui sécurise, qui traite le problème à la racine ?

Le nouveau cadre réglementaire : la loi, le décret, l'arrêté : ce qui est autorisé, ce qui est interdit. Les perspectives.En interaction avec les participants et la Fédération des Spécialités Médicales : les pistes d'action sur les DM prioritaires et notamment les nouveaux registres. Nous passerons en revue les Quoi, Qui, Où, Quand, Comment et Pourquoi.Un mot d'information sur Europharmat.Synthèse et conclusions sur les synergies pharmaciens, QGR et médico-soignants en matière de vigilance rénovée. Appel à l'ANSM pour mettre en place un guichet des EI sur les DM (comme sur les médicaments) et l'inviter sur ce sujet ax JIQHS 2013 ! Connexion produit DM (matériovigilance) et usage du produit par les professionnels.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Atelier Atelier 16 : Lundi 26 Novembre de 15h15 à 17h

Animation Chantal EYMARD, Présidente du programme national PHRIP 2012, MCU HDR, université Aix Marseille,

06 61 41 43 49 ; [email protected]

Témoin Nadia PEOC'H, cadre supérieur de santé, MCU, CHU de Toulouse

Témoin Valérie BERGER, cadre supérieur de santé, mission transversale de recherche paramédicale, CHU de Bordeaux

06 70 24 62 91 ; [email protected] ; 05 61 77 94 61 ; 06 19 51 67 81 ; [email protected] ; [email protected]

1 Les nouveaux dispositifs

Intervenant Oumou GOLOKO, chargée de mission à la DGOS, bureau de l'innovation, programmes des PREPS et PHRIP

01 40 56 46 89 ; [email protected]

2 Du terrain à la direction : réussir un projet d'innovation infirmier, réussir un portefeuille d'innovations paramédicales

Intervenant

Patients Alzheimer, démence associée : une initiative des soignants qui débouche sur un programme de recherche.

Annonce flash : Poster 103 AMI Alzheimer, CH de Valenciennes

3 Le vrai moteur de l'innovation

Intervenant Evelyne GAUSSENS, directrice, Isabelle AGOSTINO, responsable de pôle, Hôpital gériatrique "Les magnolias" (91),

01 69 80 46 79 ; [email protected] ; 01 69 80 46 79 ; [email protected]

Synthèse et conclusions

Atelier Atelier 17 : Lundi 26 Novembre de 15h15 à 17h

La qualité par l'innovation médicale & paramédicaleInnovation participative dans les établissements, conduite du changement, retours d'expérience

Introduction, intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement de questions de la salleLes démarches qualité ont une composante créative et innovante : dynamisons-les partout, et soutenons-les particulièrement dans les petites structures ! Des médecins et des paramédicaux, prenant appui sur des situations problèmes qu'ils rencontrent, enclenchent de véritables dynamiques de progrès dans leurs unités, et font progresser leur discipline. Ainsi des actions de terrain, des EPP, des solutions pratiques prennent une double dimension : localement, elles améliorent la prise en charge, transversalement, elles sont transférables et peuvent aider d'autres professionnels à améliorer la prise en charge de leurs propres patients.

Il y a quelques années, chacun innovait isolément et souvent diffusait son innovation dans sa spécialité. Or aujourd'hui beaucoup d'innovations médicales et paramédicales sont heureusement multidimensionnelles ou pluridisciplinaires. Souvent, ces projets locaux sont créatifs et répondent à des besoins émergents. Certains sont très pratico-pratiques ! D'autres donnent du sens à une dynamique managériale. Presque toujours, ils sont collaboratifs et accompagnent les changements médicaux, sociologiques ou sociétaux. Nous allons voir ensemble, à partir de deux cas exemplaires, comment nous en inspirer et comment profiter des nouveaux dispositifs nationaux d'appui à la recherche opérationnelle. Bons pour les patients, ils sont stimulants pour les professionnels de santé.

Les nouveaux dispostifs nationaux. Comment les utiliser, comment s'en inspirer ?Des principes et des exemples. Impacts sur la qualité et la sécurité, sur la bientraitance et sur la prise en charge.

CHU de Limoges : Pascale BELONI, cadre supérieur de santé responsable de l’organisation de l’activité recherche paramédicale, Valérie DELAIDE, cadre de santé, unité Alzheimer [email protected] ; 05 55 05 69 92 ; [email protected] ; [email protected] . n° de tél ; adresse du courriel

Il y a quatre ans, nous avons pris la décision de nous structurer, de créer cette direction afin de promouvoir les projets paramédicaux. En effet, les équipes ont des idées, des sujets de travail qui ont une certaine importance. Elles sentent que ce sera utile, que cela leur permet de réfléchir sur de vrais problèmes. L'impact sur le patient est primordial. Et fort heureusement, cette approche permet aussi à l'équipe de se sentir utile, de développer des solutions innovantes, de changer le quotidien. Il a donc aussi des retombées positives sur l'intérêt du travail et sur la carrière, donc sur la fidélisation et les perspectives de moyen et long terme. La fédération d'équipes pluridisciplinaires est une autre conséquence positive. On le voit, le titre est "Direction de la recherche en sciences paramédicales", mais il s'agit aussi d'une dimension très "ressources humaines". Cette approche peut être une source importante d'inspiration, y compris dans les établissements non universitaires : elle est à l'écoute du terrain, elle accélère l'innovation participative et facilite le changement. Inspirons-nous en !

La qualité : c'est quoi ?Imaginez une feuille blanche : vous mettez en quelques lignes ce qui vous semble uniquement le plus essentiel pour faire un travail de qualité. Vous jettez toutes les informations des dernières semaines et ne gardez que ce que vous savez profondément. Puis vous le mettez en oeuvre farouchement pendant dix ans. Résultat, vous ressemblerez aux Magnolias : venez ici voir et comprendre de que vous serez devenus ! Dans cet atelier vous pourrez les questionner, par exemple :- Comment avez-vous construit pas à pas une dynamique profonde, persévérante, motivante ?- Pourquoi vous êtes vous fixés des objectifs aussi simples et exigents que : tout pour réussir le retour à domicile ET tout pour préserver ou développer l'autonomie et le respect du patient. Comment ces BUTS vous guident-ils tant sur l'axe stratégique qu'à chaque instant avec chaque patient ?- Comment mobilisez-vous vos VALEURS et vos BUTS pour vous améliorer sans cesse, pour innover, pour vous transformer ?

Pourquoi vous fixez-vous de nouvelles exigences supérieures, comme par exemple "pratiquer zéro soin de force" ? Etre toujours "gentils" ! En quoi cette dynamique humaine serait-elle une machine à inventer, à vous dépasser, à vous réaliser dans notre travail ?- Pourquoi voulez-vous à tout prix que la qualité de vie au travail soit au coeur de votre projet ? Tiens, ce n'est pas le patient ?- Et comme nous, vous avez des échecs, des difficultés, des déceptions : comment faites vous pour préserver voire développer votre résilience ?Exemples d'innovation qui pourront illustrer les réponses :Le développement des lits SSR, le développement de l'ambulatoire, le développement continu de toute la filière Alzheimer, l'introduction de nouvelles fonctions comme les assistantes sociales ou le poste dédié "parcours du patient âgé", le lancement de l'unité de gérontopsychiatrie, des expériences de télémédecine, les formations action "Humanitude", etc.

La bientraitance en 2013 : de nouveaux leviers pour changer de cultureLa très riche confrontation des approches méthodologiques, organisationnelles, managériales et médicales-soignantes

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Animation Farès BELAL, Responsable Qualité, Etablissement Le Parc, BTP RMS (77)

01.64.40.75.88 ; [email protected]

Témoin Représentant des usagers

1 Ne cherchez plus, voici le chemin !

Intervenant Nadia MAINY, chef de projet du ReQua Franche Compté

03 81 61 43 74 ; [email protected] ([email protected] à compter de décembre)

Discussion

2

Intervenant

05 57 65 61 37 ; [email protected]

Discussion

3

Intervenant Dr Claude VIROT, institut Emergence, Sté Internationale d'Hypnose

09 62 16 34 17 [email protected] ; [email protected] ; [email protected]

Discussion

Approfondissement collectif, synthèse et conclusions

Introduction, intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement de questions de la salleComment s’approprier une déontologie, des principes, des méthodes, des attitudes et des comportements adaptés ; formaliser des valeurs communes et les respecter ; resituer la personne au centre du dispositif de soins ou de travail quand les habitudes et le fonctionnement nous chargent d'autres préoccupations ; repérer les situations à risques, les petits pas vers la maltraitance ordinaire ? C'est une démarche : elle suppose un engagement explicite de l’établissement, une mobilisation du management à tous les niveaux et des actions opérationnelles sur le terrain. Pour 2013 : il y a vraiment de nouveaux leviers d'action ! Mais sur ce sujet rebattu, il y a du tout nouveau. Et il est très bon. C'est le moment et le lieu pour y réfléchir.

On connaît l'enjeu, on connaît moins les solutions !Dans le cadre présenté l'an passé aux JIQHS, la FORAP et plusieurs régions, en lien avec la HAS, ont testé diverses approches. Voici l'une d'entre elles, particulièrement attractive. Une cartographie d’évènements précurseurs de maltraitance dans les établissements, a été établie par plusieurs établissements à partir de situations vécues. L’ensemble des évènements précurseurs a été modélisé et classé selon qu'ils sont plutôt liés à la vulnérabilité des personnes, à la prise en charge, aux conditions de travail, à l’organisation, au regard sociétal. Des fiches pratiques ont été élaborées et, tenez-vous bien un jeu « Sur le chemin de la bientraitance » a été élaboré ! Vous en aviez rêvé : ils l'ont fait. Et ça marche : les tests l'ont montré :- l’efficacité du média ludique pour aborder un sujet aussi complexe et difficile qu’est celui de la maltraitance en établissement sanitaire et médico-social - la facilité (oui : vous avez bien lu "facilité") à se coordonner pour aboutir à une mise en place de solutions efficientes face à certaines situations à risques.Soyons simple, c'est FOR MI DA BLE

Promotion de la bientraitance auprès des professionnels de santé : le nouveau guide HAS/FORAP

Florence SAILLOUR, responsable des pratiques et des organisations, chef de projet bientraitance, FORAP en concertation avec Véronique GHADI, chef de projet bientraitance, HAS

L'innovation vient du terrain. L'échelon régional permet des expérimentations pertinentes et consolide en retour les éléments méthodologiques. Les experts nationaux accompagnent le projet et participent à la touche finale. En moins de trois ans, nous disposons tous d'une formidable boîte à outils et d'un travail approfondi sur les principes d'action. En deux ans, c'est devenu indispensable. Emparez-vous en !L'atelier explore les principes d'une démarche de progrès en bientraitance et explore les recommandations du Guide Bientraitance. Mais ce Guide est également constitué d'une boîte à outils. En complément, venez participer à la séance découverte détaillée des outils, le lundi à 13h45.

Historique. Au départ, il s'agit d'une démarche collective novatrice de la FORAP, soutenue par la HAS, et bien dans l'esprit des JIQHS. Les groupes de travail régionaux (CCECQA, CEPPRAL, REQUA RBNSQ, RQS44, RSQ, Epsilim, Evalor, Greqau) construisent différents outils d’accompagnement au déploiement de la bientraitance. Tous sont complémentaires (cartographie des risques de maltraitance ; auto-évaluation des pratiques de bientraitance ; autoévaluation des professionnels ; charte ; analyse de scénarios en équipe , etc.) puis les outils sont testés dans les autres régions.

Une approche médicale - soignante de la communication bientraitante au quotidien Apport de l'hypnose sur une nouvelle potentialité spécifique en santé : rendre la "communication thérapeutique"

Attention, il ne s'agit pas ici d'un cours sur l'hypnose ! Il s'agit de bientraitance.Car pour intégrer l'hypnose dans une stratégie thérapeutique, il convient que le patient soit confiant. Confiant dans la thérapeutique, et d'abord confiant dans le thérapeute. Comment prendre conscience de notre propre comportement, de nos propres mots quotidiens, de notre propre discours de routine lorsque celui-ci diffuse, souvent à notre insu, du doute, de l'incertitude, de l'inquiétude chez le patient ? Le soignant doit donc d'abord travailler sur lui-même. Et cette fois-ci nous sommes au coeur du sujet, et même littéralement au coeur du sujet soignant, le professionnel de santé. Comment développer la confiance que le patient devra mettre en nous ? Comment découvrir en nous des potentialités de relationnel rassurant ? La communication thérapeutique, c'est tous les jours, tout le temps. Ce n'est pas une communication qui vient de formateurs en école de commerce.L'an passé, les JIQHS ont défendu et promu la narrative medicine. Cette année elles défendent la communication thérapeutique. Elle vient de notre approche du soin, elle véhicule nos valeurs, elle enrichit en contenu et en sens le mot "qualité".Concrètement, elle change notre façon de travailler et de vivre notre relation quotidienne aux patients. Et vous ne le saviez pas !

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Mardi 27 novembre Matin 9h00 - 10h45Symposium Symposium C : Mardi 27 Novembre de 9h à 10h45

Animation Gérard PARMENTIER, UNHPC

01 30 32 43 11 ; 06 07 40 32 57 ; [email protected]

Témoins Thomas LE LUDEC, HAS, Direction de l'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins, Directeur délégué

Témoins Jean-Loup DUROUSSET, président de la FHP,

Témoins René CAILLET, directeur du pôle organisation sanitaire et médico-sociale, FHF

01 55 93 72 01 ; [email protected] - 01 44 06 84 57 ; [email protected] - 01 53 83 56 56 ; [email protected]

1 La culture de la qualité change-t-elle en mieux avec les concepts de performance ?

Intervenant Christian ANASTASY, directeur général de l'ANAP, Agence nationale d'appui à la performance des établissements de santé

01 57 27 11 67 ; [email protected]

Enjeux, difficultés, réponses, méthode, résultats, leçons

Discussion

2

Intervenant Benjamin GAREL, Directeur de la qualité, de la performance et des usagers, CHU de Grenoble

04 76 76 53 53 ; [email protected]

Discussion

3 Le patient a-t-il droit à l'efficience de sa prise en charge ?

Intervenant Alain-Michel CERETTI, Défenseur des droits, responsable du pôle santé, fondateur du LIEN

01 46 99 04 45 ; [email protected]

Discussion

Approfondissement collectif, synthèse et conclusions

Symposiums et Ateliers

La culture de la qualité évincée par la culture de la performance ?

Introduction, enjeux, présentations, règles des échanges, premieères questions de la salleLes tarifs ont été élaborés avant de connaître les coûts. La qualité et la pertinence de l'acte dépendent aussi du travail qui aura été fait en amont avec le patient : rencontre, écoute, définition de la bonne durée de séjour, organisation. Or, rien de cela n'est pris en compte dans la T2A. Le médecin code son acte et le réalise selon les références de sa société savante. L'établissement groupe cet acte pour fabriquer un séjour, en prenant en charge les maladies supplémentaires (diabète, tension...) ; on aboutit à un séjour GHM, indépendant de l'acte du praticien. Comment la qualité, la sécurité et l'efficience... feraient-elles bon ménage ?Si, par nécessité, il nous tombe dessus un "Plan de redressement" qui oblige le système à "économiser" 10 ? 15 ? 20 ? milliards d'euros, comment fait-on pour sauvegarder l'accessibilité et la qualité des soins ?

La performance au service de la qualité et des soignants : les exemples concrets sont-ils transférables ou sont-ils des exceptions ?Illusions et vérités d'un mot qui fait parfois polémique

Notre organisation présente-t-elle les pré-requis pour assurer la qualié, la sécurité, la bientraitance ? Existerait-il un score organisationnel qui nous indiquerait si le seuil d'alerte est franchi ? Cela concerne le bloc comme la PEC des maladies chroniques ainsi que toutes les fonctions hospitalières. Les bons exemples de démarches qualité et sécurité qui améliorent l'efficience existent et les champs d'application potentiels sont immenses, mais le débat est agité par l'injonction d'une amélioration budgétaire à.. très court terme. Or, il nous faudra du temps, de la persévérance mais aussi des résultats probants pour convaincre. Comment faire ?

Une vision de la santé affirme que les patients veulent qualité et sécurité mais que l'efficience est le problème des professionnels, pas des usagers. Toutefois, si on observe globalement le système "hôpital" ou "soins" ou "santé", l'inefficience, comme la non qualité et l'insécurité, nuit gravement à la santé : mais c'est moins visible. A-t-on droit à des soins efficients ?Le 11 septembre... 2012, ce message est largement diffusé par Le LIEN : Le Committee on the Learning Health Care System in America ( USA), estime à 750 milliards de dollars les dépenses de santé inutiles en 2009. (...) L'assurance maladie s’intéressera-t--elle un jour à la question de la pertinence et au coût de la iatrogénie ? (...) La préparation du PLFSS sera l'occasion pour le LIEN, de redemander l'intégration de la notion de pertinence des actes médicaux dans les exigences de qualité des soins. (Best Care at Lower Cost The Path to Continuously Learning Health Care in America 9-2012.pdf)

Les professionnels travaillent pour soulager la souffrance, donc le ressenti et la qualité vécus par le patient sont utiles pour progresser. Améliorer l'accueil, le service, c'est améliorer la notoriété, celle qui passe par le bouche à oreille. Hélas, trop souvent, le travail technique est bon mais le ressenti du patient est mauvais, même si l'établissement est noté "triple A" par la HAS. Ecouter activement les patients, aller à leur rencontre, c'est une activité cruciale. On peut par exemple mettre en place un numéro de téléphone direct, pour que chaque patient puisse signaler ce qui va ne va pas, ce qui l'étonne, ce qui l'inquiète, ... et ce qu'il apprécie. Il peut dire par exemple, je vois du personnel avec des bijoux, c'est un risque anormal d'infection ! L'efficience est nécessaire pour financer le service au patient et la bientraitance, pour accroître l'accès équitable aux soins de qualité. Des indicateurs de performance sont à innover : par exemple, le délai de retour à l'autonomie du patient, pas que le retour à l'équilibre... de l'établissement. Pour cela, il faut valoriser les gains de productivité comme les gains de qualité / sécurité, sur le terrain.

Dans cette nouvelle vision, les professionnels et les patients sont finalement d'accords : l'efficience peut être une source de progrès, mais elle ne doit pas se faire ni sur le dos du malade ni sur celui des professionnels. Si au dénominateur, il faut avoir les coûts, alors au numérateur il faut un ensemble (soins + services) pertinent. Une illustration nous vient de l'hôpital de Tripoli (Liban), qui s'est fait certififé selon notre modèle français : la visite au malade de l'infirmière, en fin de journée. Elle permet un bilan de la journée, elle prépare le lendemain et elle améliore la nuit. Tout le monde y gagne.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Atelier Atelier 21 : Mardi 27 Novembre de 9h à 10h45

Animation

01-56-88-03-04 ; [email protected] ; 03 21 21 10 84 ; [email protected]

1 Faire beaucoup mieux en hôpital de jour, le pourquoi du comment

Intervenant

04 72 11 76 52 / 76 45 ; [email protected] ; [email protected]

Discussion

2 Faire beaucoup mieux aux consultations, le comment du pourquoi

Intervenant Nathanaël LORIC, responsable de la cellule d'appui à la performance Institut Gustave Roussy, Villejuif (Ile de France)

06 64 90 40 04 ; 01 42 11 65 94 ; [email protected]

Discussion

3 Faire beaucoup mieux, tout le temps pour tous les patients, c'est impossible (dit-on)

Intervenant

01 49 28 23 62 ; 06 82 08 84 24 ; [email protected]

Discussion

Approfondissement collectif, synthèse et conclusions

La performance organisationnelle des activités médicales et paramédicalesSur le terrain, qui s'en occupe ? Comment ? De nouvelles approches sont nécessaires…

Laetitia BUSCOZ, directrice du BAQIMEHPDr Anne GRUSON, Chef du laboratoire de biologie médicale, CH Arras

Introduction : intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement de questions de la salleTous les professionnels expérimentés l'ont vécu : rien n'est pire qu'un service mal organisé. On raisonne encore trop en termes de qualité de l'acte, insuffisamment en termes de qualité de la prise en charge globale des patients.Voici des améliorations indéniables dont les professionnels n'envisageaient pas la possibilité. Ces chantiers d’organisation doivent nous interpeller, du grand au petit établissement, du public au privé. Car la qualité organisationnelle existe : elle contribue fortement à la qualité, la sécurité, l’efficience. Ces expériences sont-elles uniques ou transposables dans d'autres structures, dans d'autres activités ? Pouvons-nous continuer à dire : on ne savait pas, on ne savait pas ?Ne faut-il pas faire plus de progrès organisationnels pour améliorer la qualité et la sécurité mais aussi pour mieux satisfaire les conditions de travail des professionnels ? L'encadrement, les paramédicaux, les médecins, les gestionnaires, les qualiticiens ne peuvent-ils pas bénéficier d'une organisation différente qui facilite l'exercice de leur travail quotidien, à la fois individuellement et collectivement ? En conséquence, les professionnels n'ont-ils pas intérêt à se mobiliser pour obtenir des améliorations organisationnelles ? Quels sont les principes organisationnels pour les nuls ? Pas ceux pour des experts en organisation, mais ceux qui marchent et que les professionnels maîtrisent ? De la théorie à la pratique, comment piloter l'innovation participative sur ce type de changement ? L'investissement financier en vaut-il la peine ? - Comment éviter qu'un consultant vienne plaquer un modèle qui ne conviendra pas ? - Faut-il envisager une transformation de rupture, radicale ? Ou doit-on procéder par petits pas ? - Dans tous les cas, quel est l'appui des qualiticiens, gestionnaires de risques, ingénieurs en organisation ?La qualité organisationnelle, tout le monde en parle, mais finalement, sait-on de quoi on parle ?

Anne TONOLI, cadre de pôle et Sandrine COTTIN, cadre du service, CLIMA (clinique de médecine ambulatoire), hôpital E. Herriot, CHU de Lyon

CLIMA : clinique de médecine ambulatoire, Hôpital Edouard Herriot, Lyon, sous la responsabilité du Pr Maurice Laville.L'amélioration est considérable. Tout a été pensé dans le sens de la meilleure prise en charge du patient à chacune de ses étapes. Changer ainsi l’organisation, n’est-ce pas changer la vision du métier ? Clairement oui, et pas sur des points de détail, pas sur le seul volet organisationnel. Originalité : le changement de l'organisaton de la prise en charge médicale a été impulsé par les cadres soignants. Inspirons-nous en !

Réorganisation du plateau de consultations, conduite du changement et résultats obtenus.Les flux sont complexes, les attentes sont contradictoires, les activités sont multiples, les perturbations externes sont incessantes, les embouteillages sont quotidiens : bref tout pour plaire ! Et pourtant, aujourd'hui, l'amélioration est considérable. Même question : changer ainsi l’organisation, n’est-ce pas changer la vision du métier ? Clairement oui, là aussi, et pas sur des points de détail, pas sur le seul volet organisationnel.Originalité : l'amélioration de la qualité a été impulsée par une cellule... performance !

Dr Florence MARCHAND-MAILLET, PH, Anesthésiste-Réanimateur, Unité de Chirurgie Ambulatoire, Pôle Digestif-Anesthésie, Hôpitaux Universitaires Paris Est (AP-HP)

C'est impossible, ou très difficile ou avec des moyens considérables. Et pourtant…si on change de vision, on voit de nouvelles marges de manœuvre. Et elles sont importantes. Jugez-en :Prendre en charge le patient est une activité "clinique" tellement intériorisée que nous ne voyons plus certaines évidences. Nos habitudes nous gouvernent. Nous n'avons plus de recul. En conséquence, nous ne sommes plus capables de prendre des "décisions de deuxième niveau", de conduire des "changements de type II", ceux qui changent vraiment les choses, qui créent une rupture entre avant et après. Ah si ! On espère à la magie : la technologie, l'informatique, l'architecture,... Mais ni les unes ni les autres n'élargissent nos oeillères. Pourtant, ici, vous le verrez, il y a vraiment un avant et un après. Le changement dans les têtes a guidé le changement dans le fonctionnement qui a amélioré... tout : l'efficacité, l'efficience, la satisfaction. Personne ne veut revenir en arrière.

Or rien ne s'y prétait : on n'a pas changé la direction, on n'a pas changé la CME, on n'a pas changé les murs, on n'a pas changé les patients. Mais on a mis en place un moteur de progrès permanent et on l'a appuyé sur un modèle scientifique solide : le principe de la marche en avant. Le flux est maintenant beaucoup plus laminaire, plus régulier. Pour aller plus vite, rien ne sert d'aller plus vite ! Mieux vaut permettre à chacun de bien faire son travail, tout le temps, pour chaque patient. Ainsi quand le flux est tendu, le personnel est davantage détendu et concentré sur les tâches à valeur ajoutée. Mais on n'y arrive pas en un instant : nous verrons quelles conditions ont été retenues au départ et comment, petit à petit la transformation a été réussie. Peut-elle faire école ? Nous le souhaitons !

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Atelier Atelier 22 : Mardi 27 Novembre de 9h à 10h45

Animation Dr Laurence LUQUEL, directrice médicale, Hôpital gériatrique "Les magnolias" (91)

01 69 80 46 79 ; [email protected]

Témoin 2

01 57 27 11 44 ; [email protected]

1 HELP ! Adaptation du processus de soins en gériatrie

Intervenant Pr Armelle GENTRIC, service de gériatrie, CHU de Brest

Discussion

2a

2b La nutrition du patient âgé : mettons de la vie et du plaisir dans les assiettes

Intervenant Dr Geneviève RUAULT, déléguée générale, Société Française de Gériatrie Gérontologie, resp du programme MobiQual

01 41 12 87 13 ; 06 85 30 00 85 ; [email protected]

Discussion

3 Evaluation / amélioration de la prise en charge de la personne âgée en Santé Mentale / EPS Erasme (Antony, 92)

Intervenants

C.H. : 01 46 74 32 12 ; [email protected] ; M.P. 01 46 74 30 90 ; [email protected]

Discussion

4

Intervenant Dominique FAUCONNIER, fondateur de CoopérÂge, Dr Pierre HAOND, gériatre

06 81 42 77 57 ; [email protected]

Discussion

Synthèse et conclusions

Patients âgésLa qualité et la sécurité repensées de A à Z ?

Marie-Dominique LUSSIER, directeur associé, resp du programme ANAP / patient âgé, réseaux de santé

Introduction, intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement de questions de la salleOn raisonne encore trop en termes de qualité de l'acte, insuffisamment en termes de qualité de la prise en charge ou du parcours de santé de la personne. Tous les maillons de la chaîne doivent progresser, et ils le font, mais en même temps, c'est la bonne articulation et la bonne dynamique de la chaîne que nous devons aussi améliorer. Alors, faut-il tout repenser de A à Z ?

02 98 34 71 91 ; [email protected] ; [email protected] ; sec : 02-98-01-64-69 ; [email protected]

Chute, incontinence, confusion mentale, perte des repères : les syndromes du vieillissement nous imposent de revoir en profondeur la PEC du patient âgé. Non seulement le chemin clinique théorique est parfois inadapté, mais toute la PEC doit être revue et d'abord ses acteurs et ce qu'ils ont en tête lorsqu'ils prennent "en charge". Erreurs de diagnostic, retards, manque de moyens, solutions de secours inappropriées : la qualité, ici avec le programme HELP, se fonde sur le qualitatif avant tout. Le management de la qualité s'appuie d'abord par la remise à plat de la bonne qualité clinique, c'est une remise en cause de soi. Un vrai dialogue, le partage de l'information, et l'apprentissage collectif deviennent le fondement d'une démarche qualité réelle, de réappropriation des facteurs de risques cliniques réels, de déploiement d'outils spécifiques (parfois sur mesure) et solutions localement innovantes. Les résultats sont impressionnants et nous convainquent que des progrès spectaculaires en qualité sont encore possibles.

Annonces flash : Poster P218 : Chut'indic, GCS HELPAM, Poster P102 Douleur en gériatrie, CH de Valenciennes, P106 L'amélioration du moment repas + P210 Dépistage de la vulnérabilité du patient âgé, HIA de Brest

Savez-vous que la dénutrition est le facteur pronostic le plus important chez la personne âgée ?Le cercle infernal de la grabatisation, bien souvent, suit la logique "Dénutrition --> dépression --> infection --> grabatisation". Prévenir la dénutrition c’est l’affaire de tous : les personnes âgées elles-mêmes, les familles, les soignants, les équipes de cuisine, les sociétés chargées de la restauration ou du portage des repas… Nous savons que "manger" est l'un des derniers plaisirs qui reste. C'est une opportunité pour une approche globale de la nutrition, du soin, de l'éducation, de l'accompagnement. Nous pouvons ainsi redonner du goût et du plaisir à s'alimenter.

Il s’agit d’assurer une alimentation adaptée en termes qualitatifs et quantitatifs, de favoriser le plaisir de manger par une alimentation équilibrée et variée qui répond aux besoins et goûts de chacun, de respecter au mieux les habitudes horaires, de veiller au bon état bucco-dentaire, de traiter/pallier les troubles de déglutition, d’apporter les aides humaines et techniques nécessaires et de favoriser l’activité physique, parce que manger sans bouger n’empêche pas le muscle de fondre..C'est pourquoi la nutrition/alimentation est un thème majeur du défi MobiQual. Nous pouvons, à peu de frais, avec des idées et de la volonté, réintroduire du goût, des couleurs, de l'esthétique, de l'estime de soi. Soignons le couvert, la nappe, le décors. Changeons les habitudes, les places à table, les relations quotidiennes. Faisons évoluer les usages ! Nos habitudes, celles des professionnels, enferment encore trop nos patients âgés dans la spirale négative. Nutrition, bientraitance et qualité forment un tout. C'est le moment d'agir.

Dr Cécile HANON, Psychiatre, Praticien hospitalier, Médecin responsable de l'Unité Intersectorielle de Réinsertion, Membre du bureau de l'European Psychiatric AssociationMarc PRUSKI, Ing. qualité et gestion des risques, EPSM Erasme, 91

La prise en charge psychique de la personne âgée est complexe et spécifique, elle représente un enjeu au regard du vieillissement de la population. Afin d'établir un état des lieux de nos pratiques et de sensibiliser les équipes médicales et paramédicales, une évaluation de nos pratiques est apparue nécessaire et pertinente. Elle est articulée sur deux axes :• Troubles cognitifs : de leur dépistage en population psychiatrique t leur traçabilité,• Spécificités de la prise en charge : évaluation des traitements somatiques et psychiatriques à l'entrée et à la sortie.L'analyse des résultats montre le bénéfice de l'hospitalisation des patients, notamment par une prescription plus raisonnée du nombre moyen de médicaments prescrits et le respect des recommandations de bonnes pratiques, en particulier pour ce qui concerne les benzodiazépines. Cependant des efforts en termes de traçabilité doivent être menés concernant le recueil du MMSE et les modalités d'arrêt après réévaluation des prescriptions des benzodiazépines. La sensibilisation et les rappels des bonnes pratiques sont nécessaires envers les praticiens afin d'être mis en place en routine au sein de l'établissement.--> "Devenir vieux, les enjeux de la psychiatrie du sujet âgé", éditions DOIN, 2012 (ouvrage dirigé par le Dr C.HANON)

Annonce-flash Innovation : CoopérÂge

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Atelier Atelier 23 : Mardi 27 Novembre de 9h à 10h45

Animation

06 10 63 34 57 ; [email protected]

1

Intervenant Eliane BOURGEOIS, coordonatrice générale des soins, EPSM Lille Métropole

03 20 10 20 82 / 90 ; 06 33 18 26 05 ; [email protected]

Discussion

2

Intervenant Dr François ANGENARD, chef de service, Nathalie MASSON, responsable du centre de formation, CH de Lagny (77)

01 64 30 70 74 ; [email protected] ; [email protected]

Discussion

Hospices Civiles de Lyon : un appui bien utile pour prendre ses fonctions de manager ( vidéo)

3

Intervenant Pr Patrick PLAISANCE, chef du service Urgences Hôpital Lariboisière

01 49 95 63 91 ; [email protected]

Discussion

4

Approfondissement collectif, synthèse et conclusions

Cliniciens Manageurs, managez par la qualitéInnovation pratique en leadership individuel et collectif et retour aux fondamentaux

Martine LAVAL Consultante et coach, notamment à l'hôpitalAuteur de "N'écoutez pas votre cerveau" InterEditions/Dunod

Introduction : intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement des questions de la salleCette année bat tous les records d’absentéisme, d’arrêts de travail et de stress au travail dans les hôpitaux. C'est assez : au secours !Tous les qualiticiens le constatent quotidiennement : qualité des soins, qualité de vie au travail, qualité du management sont étroitement liées. Assez de rapports, de chiffres, de théories anciennes rebattues ! On connaît les réponses. En voici quelques unes : concrètes, pertinentes, exemplaires. Attendre est un scandale dont les professionnels de santé sont les perdants. Mais nous ne sommes pas là pour gémir, plutôt pour enisager des réponses et les partager.

Réflexion iconoclaste ? "Les employés d’abord, les clients ensuite", Vineet NAYAR, Editions Diateino, 2011. Le monde privé n'est pas qu'un monde dirigé à Wall Street. L'innovation managériale bouscule tout, y compris des principes appliqués partout dans le monde. Celle-ci vient d'Inde. Vineet Nayar est le PDG de "HCL Technologies", société indienne de services informatiques de 80 000 salariés dans plus de 30 pays, enregistrant plus de 20% de croissance annuelle ces trois dernières années. Son développement n'est pas dû qu'aux écarts de salaires avec l'occident. Selon Fortune : « le style de management le plus moderne du monde ». Même Fortune s'y met ! Mais chut, il n'y a aucun rapport avec le monde de la santé... Sûr ?Nayar dresse le constat que les services centraux (finance, RH, qualité…) ne développent pas la croissance de l’entreprise, ou par à-coups. Ils dérivent vers des mécanismes de contrôle, de surcontrôle et de surpouvoir. Alors que la vraie valeur ajoutée est liée au service apporté au client. De plus les jeunes générations ont besoin de vivre des modes de travail et de décision collaboratifs. Il faut donc accroître la culture de la confiance. L’innovation doit être permanente, au contact du client.

Les équipes doivent donc être de plus en plus responsabilisées sur le service et sur la conduite du changement. Pour cela il faut remettre tout à plat. Accepter que là où se crée la valeur ajoutée, c'est sur le terrain, pas à la direction ! Cela change le rôle du management. Chez HCL, aider les managers de première ligne est la priorité. En contrepartie, ceux-ci sont notés par leurs collaborateurs (exactement l'inverse de ce qui se passe ailleurs). Les notes des 6000 managers d’équipe, à tous les niveaux, sont publiées sur le web et sont donc transparentes. Par ailleurs, les problèmes perçus par le personnel sont signalés, transmis et traités. Ils sont également publiés. Les suggestions innovantes (pour réduire les coûts ou augmenter les revenus ou la satisfaction des clients) sont déposées sur une plate-forme, assorties de plans de mise en œuvre. Les collègues les évaluent et les meilleures sont récompensées. On peut dire que le management est lui-même collaboratif. L’écoute des uns envers les autres est fondamentale. En résumé, l’entreprise doit d’abord être responsable devant ses collaborateurs, notamment ceux qui sont responsables devant les clients. Ce sont eux qui créent de la valeur. Aucun rapport avec l'hôpital ?

On ne peut pas manager avec plaisir, à moins que…

L'EPSM, c'est 1300 paramédicaux : comment n'oublier personne au bord de la route ? C'est avec cette question de départ que nous allons cheminer avec Eliane Bourgeois. Le chemin dure 7 ans : 7 ans de travail sur le management, 7 ans de projets et de transformations, 7 ans de mise en cohérence des besoins du quotidien avec les orientations stratégiques. Au cours de ces 7 ans, il aura fallu beaucoup d'efforts pour améliorer la qualité de la prise en charge de chaque patient, la qualité du management, la qualité de la gestion des projets, la santé au travail... Il aura fallu faire vivre un système de management toujours plus participatif et plus responsabilisant (tous les cadres sont impliqués dans des projets).Et au final, 7 ans pour quoi ? peut-être ceci de très simple, mais exigent : que tout le monde se sente reconnu, que tout le monde vive le plus authentiquement possible les valeurs essentielles de l'établissement. Cela passe par le management, le management de terrain. Toute une direction se met au service de ses manangers de terrain afin qu'ils vivent leur métier avec exigence mais aussi avec passion. Et même avec plaisir, au service des équipes et des patients. Inspirons-nous en !

On ne peut pas manager un service par la qualité, à moins que….

7 ans ISO 9000 : retour d'expérience sur les principes de management, sur le système de décision, sur le pilotage de l'amélioration continue par la qualité.Et la présence du responsable du centre de formation, lui même certiffié ISO 9000. La pédagogie aussi peut progresser grâce au management par la qualité.Une double expérience qui devrait faire école : nous l'espérons !

On ne peut pas manager les médecins, à moins que…

On ne nous apprend pas à manager. Que faire quand on arrive dans le plus gros centre d'urgence de Paris ? On a démarré à la base : essayer d'abord de bien accueillir les arrivants et les internes. Faire en sorte que les médecins seniors accueillent et accompagnent bien les nouveaux, et surtout en étroite relation avec les paramédicaux. Comment ? Par des exercices pratiques, des simulations, des études de cas suivis de mise en oeuvre puis de mesure des résultats. Résultat : on a fortement progressé. Nous étions boycottés, nous sommes devenus attractifs. Comment progresser vers l'étape suivante ? Nous avons mis en place une évaluation dite 360°. Pas un copié collé venu des multinationales, un dispositif complètement adapté à notre métier, à notre histoire. C'est très pertinent et efficace dans la durée. C'est conçu et effectué de façon à voir les évolutions, à nous améliorer. Et ça fait émerger un état d'esprit collaboratif, une vision collective solidaire. Chaque médecin a son bilan personnel annuel. C'est une aide : rien de négatif, tout pour mieux évoluer. Cela se révèle indispensable. Le rôle de clinicien manager est transformé et son exercice est outillé.

Impacts en termes de "plus de" : + de relationnel, + de solidarité, + de collaboration active, + de tolérance et de compréhension, + d'appartenance au service+ + + d'efficacité quotidienneMais tout cela vous vous en doutiez. La principale difficulté de mise en œuvre est dans nos têtes. Voilà le vrai sujet. Dialoguons sans langue de bois.

Annonce flash : Poster P115 CHU de Nîmes Structurer les staff autour des indicateurs qualité (expérience en EHPAD et USLD)

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Atelier Atelier 24 : Mardi 27 Novembre de 9h à 10h45

Animation Pr Jacques FABRY Risques & Qualité, Université de Lyon

06 11 40 05 77 ; [email protected]

Témoin Prénom NOM, titre, représentant des patients

n° de tél ; adresse du courriel

1 La dématérialisation des signalements et la diffusion externe des analyses : le cas des infections

Intervenant Pr Christian Rabaud, PUPH, CCLIN-Est , Dr M. Matthieu Llorens, CHR de Metz Thionville, avec l'INVS

Discussion

2

Intervenant

[email protected] tél : 01 42 55 93 65 22 ; [email protected] tél : 01 48 02 68 80

3 A la fois auteur et victime : gestion constructive des erreurs et dynamique interne dans les établissements de santé.

Intervenant Anthony STAINES, Ph.D., Suisse, Recherche en qualité, sécurité et management des systèmes de santé

41 21 800 01 72 (Suisse) ; [email protected]

Discussion

4

Intervenant

01 34 06 60 12 ; 06 64 67 52 58 ; [email protected]

Discussion

Approfondissement collectif, synthèse et conclusions

connexion@

Risques associés aux soinsVive les politiques positives de signalement et de traitement

Introduction, intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement des questions de la salle.Nos politiques de signalement peuvent passer à la vitesse supérieure, car ce que nous savons aujourd'hui est beaucoup plus clair, depuis quelques années. Il faut de l'anonymat, une approche non punitive du signalement, une dynamique de communication collective et une traçabilité fiable, un traitement actif et transparent, un management de proximité soutenu et formé, des interventions cohérentes et responsables, des experts, des objectifs quantitatifs et qualitatifs de progrès. Cela se résume dans le paradigme suivant : il nous faut déployer des comportements d'organisations apprenantes. Cela doit s'entreprendre en interne, en unité et en établissement, et en externe, dans la spécialité ou dans une région.Plus difficile maintenant : comment s'y prendre, sur quelles bases nouvelles pouvons nous aider nos établissements à accélérer leur évolution dans ce sens ?

03.83.15.34.73 ; [email protected] ; [email protected] ; 03.87.55.31.67 /03 87 34 85 18 ; [email protected]

Dynamique positive grâce au signalement externe des EIL’instruction a rendu obligatoire l'utilisation d'e-SIN à partir du 1er mars 2012.Depuis octobre 2011, un nouvel outil de télésignalement des infections nosocomiales a été déployé par l’InVS à tous les établissements de santé français. e-SIN facilite l’émission et la gestion des signalements d’infection nosocomiale par l’ensemble des acteurs concernés. Après un signalement interne, les fiches de signalement des décès liés à une infection nosocomiale relevant du décret sont adressées par l’établissement de santé simultanément au Centre de coordination de la lutte contre les infections nosocomiales (CClin) et à l'Agence régionale de santé (ARS), cette dernière les transmet à l’Institut de veille sanitaire (InVS). C'est un outil d’alerte orienté vers l’action. Le Dr Llorens expliquera l'ergonomie de l'outil pour l'utilisateur.

"La mise en place d’e-SIN semble se traduire chez nous par une augmentation significative du nombre de signalements." Gilles Antoniotti, Groupe Générale de Santé. Points forts : "l’accès à la base nationale des signalements via e-SIN et le partage d’expériences. 100 à 270 connexions à l’application par jour ouvré ([email protected]). Foire aux questions (FAQ) sur http://www.invs.sante.fr/esinUne explication sur l'ergonomie de l'outil pour les utilisateurs sera également exposée.

Vigilance et dynamique externe de traitements d'erreurs simples avec conséquences graves Un pas de plus avec la mise en place collective d'un nouvel écosystème beaucoup plus sûr pour les patients.

Gaelle LEMARDELEY, Agence de la Biomédecine et Professeur Rachel LEVY, biologiste de la reproduction, hôpital Jean VERDIER (BONDY)

Dynamique positive grâce au signalement externe des EIA propos des erreurs d’attribution de gamètes ou d’embryons : on voit ici l'impact du travail en agence au service des professionnels de santé et au service des patients (120 000 tentatives par an, 20 000 naissances). L’Agence de la biomédecine est responsable de la vigilance relative à l’assistance médicale à la procréation (AMP vigilance, loi de la bioéthique de 2004). Cette vigilance a pour objectif la réduction des risques et l’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins des personnes qui ont recours à l’AMP. Les déclarations d’incidents ou d’effets indésirables sont enregistrées directement par les correspondants locaux d’AMP vigilance dans une application informatique dédiée AMP Vigie, coordonnée par l'Agence de Biomédecine. Les informations traitées portent sur le type d’évènement ainsi que sur les résultats de l’investigation menée par les professionnels. Les évènements indésirables sont classés par typologie. Toutes les causes, tous les EPR pouvant conduire à une erreur d’attribution de gamètes ou d’embryons ont été progressivement identifiées et classées. Toutes les barrières de sécurité (prévention, récupération, atténuation) déployées par les centres d’AMP ont fait l'objet d'une analyse. Ensemble, nous avons changé l'écosystème : - les centres d’AMP ont progressé en prévention et en gestion d’incident,- les professionnels sont mieux informés et sont plus compétents sur ce type d’évènement, ils sont devenus des acteurs clés du dispositif de vigilance,- le sens de notre collaboration et de nos relations a changé.

L'expérience remarquable de la Suisse et de sa dynamique de sécurité du patientAnonymat des déclarations, politique d'incitation à signaler au niveau de l'établissement, formation, suivi des résultats : ces principes portent leur fruit, à savoir la réduction des erreurs, quand un environnement particulier est en place. Un aspect déterminant à considérer est celui-ci : lorsque les patients subissent des événements indésirables liés aux soins, les collaborateurs impliqués dans ces soins courent également le risque de vivre un traumatisme et de devenir les « deuxièmes victimes ». Il est important de comprendre ce phénomène et de connaître les interventions susceptibles de promouvoir une saine résilience.En se fondant sur ses travaux de recherches, la Fondation suisse pour la sécurité des patients (www.patientensicherheit.ch ) a développé un concept institutionnel de soutien aux collaborateurs impliqués dans un événement indésirable grave ou dans une erreur. Un programme de formation pour les cadres des hôpitaux appuie la mise en œuvre de ce concept. Cette intervention résume ce que les recherches montrent sur le vécu des « deuxièmes victimes » et développe les modèles émergents de stratégies institutionnelles pour y répondre.

Un EIG s'est produit : clarifier, guider et améliorer en interne la relation au patient en phase chaude"Never worry alone"

Vincent ERRERA, Directeur adjoint chargé des ressources humaines et des affaires médicales, Groupement Hospitalier d'Eaubonne-Montmorency

Dynamique positive grâce à l'organisation interne du processus d'intervention collective après un EIAméliorer la relation au patient en cas d'EIG impose de prendre conscience de la situation et d'y répondre par un dispositif global. Le CH Simone Veil a mis en place un dispositif global et pourtant simple et structurant. Il permet de gérer à chaud puis à froid, l'EIG, sur 2 à 3 semaines. Il complète le Guide d'annonce d'un dommage lié aux soins de la HAS en apportant de la cohérence dans l'intervention des multiples personnes concernées. - Comment soutenir et communiquer ? (pour aller plus loin sur ce point : voir atelier 37 sur les jeux de rôles et la simulation)- Comment analyser et réagir ?- Comment restituer et agir en profondeur ?- Comment capitaliser et régler ?Le dispositif présenté comprend un guide de la gestion des EIG et 12 fiches d'aide à la décision. Il met en place un groupe ressource. Il insiste sur la formation pratique des cadres et des médecins et sur la posture essentielle : soutenir les professionnels de terrain afin que l'encadrement du service n'ait pas l'impression que le dispositif lui échappe (Sur ce point : Approfondissement pratique en atelier 37 Simuler le risque individuel lors de l'annonce). Voir article dans Risques & Qualité

B113
les choses sont dites et bien dites. Il faut donc s'emparer de ce texte. Académie nat de médecine. source UNHPC "Le signalement des événements indésirables (EI) en médecine et l’exploitation de l’erreur sont à la base de la gestion des risques dans les établissements de soins : c’est une exigence du développement de la culture qualité- sécurité. Ils rendent nécessaire le recours à un double anonymat : celui de qui signale et celui du dossier médical qui peut être impliqué dans le signalement. Cette exigence se heurte au dogme de la transparence édictée par les lois et règlements qui traitent des droits des patients. Il en résulte une sous-déclaration massive des EI mondialement reconnue et dont les conséquences sont multiples. (...) aux Etats- Unis, au Danemark et en Australie. (...) L’Académie nationale de médecine recommande que : « Toute personne, impliquée ou non, qui, de par sa fonction, informe de la survenue d’un événement indésirable dans le déroulement et les conditions des soins donnés à un patient, événement qu’elle signale spontanément et sans délais à l’organisme permanent chargé de le recueillir, conformément aux obligations des textes en vigueur, ne puisse faire l’objet d’aucune sanction disciplinaire ou mise en cause juridictionnelle du fait de ce signalement, hormis les cas de manquement délibéré ou répété de sa part aux règles de sécurité ou bien de dénonciation sans fondement animée par la seule intention de nuire ». (...) l'extraordinaire expérience de la NCEPOD(4) anglaise (...) les professionnels qui procèdent à une analyse collective des faits et respectent la procédure de participation à la NCEPOD sont protégés de toute investigation de la police et de la justice, hors, bien sûr, délit intentionnel.
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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Atelier Atelier 25 : Mardi 27 Novembre de 9h à 10h45

Animation Nathalie SAC VANDERWILDT, responsable qualité, groupe hospitalier Saint-Vincent, Alsace

n° de tél ; adresse du courriel

1 La journée Qualité à l'Hôpital de La Tour : une communication motivante

Intervenant Farat Ben Saad, directeur des soins, l'Hôpital de La Tour (Suisse, Genève)

00 41 22 719 64 80 ; [email protected]

2 Titre de l'intervention

Intervenant Prénom NOM, titre, établissement

n° de tél ; adresse du courriel

Enjeux, difficultés, réponses, méthode, résultats, leçons

Discussion

3

Intervenant

06 67 35 57 44 ; '[email protected]'; [email protected] ; '[email protected]'

Discussion

Approfondissement collectif, synthèse et conclusions

Atelier Atelier 26 : Mardi 27 Novembre de 9h à 10h45

Animation François PESTY, pharmacien, expert du circuit du médicament, AFQHO

01 30 45 03 59 ; 06 88 89 53 51 ; [email protected]

Animation

06 83 59 03 18 ; 04 78 56 41 63 ; [email protected]

1

Intervenant Christian GUILLAUDIN, pharmacien, CH d'Agen

05 53 69 72 93 ;[email protected]

Discussion

2a Annonce flash Poster P 106 : Analyse pharmaceutique des ordonnances, CH de Sevrey

connexion@

Soyons fiers de nous, communiquonsRéinventons la communication

Introduction, intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement de questions de la salleUne introduction possible : change blindness (nous sommes aveugles aux changements). Minifilm sur la discussion entre amies : http://www.youtube.com/watch?v=6JONMYxaZ_s

Motiver, ça consiste souvent à d'abord se mettre à l'écoute des motivations profondes. Le management par la qualité s'appuie sur cette dimension humaine, fondée sur le désir de progrès qui existe en chacun d'entre nous. Désir de faire mieux, désir de vivre dans un environnement professionnel qui serait tout simplement "plus agréable, plus juste, plus beau, plus efficace, plus efficient... tout en étant plus humaniste", désir de corriger les situations dont on perçoit qu'elles ne sont pas satisfaisantes. Désir d'avoir été utile dans le progrès collectif et que cette contribution soit reconnue. En clair : travailler ensemble à une qualite positive et être fier des progrès accomplis. Les exemples sont nombreux et contrets : la communication allume le moteur de l'amélioration continue. Le carburant, c'est la motivation. Ce qu'a mis en place l'hôpital de la Tour, tout le monde y pense, mais très peu le déploient. Comment font-ils ?

Nous verrons notamment un dispositif déterminant : la journée qualité. On y présente l'aboutissement de projets qualité. Ces projets, au départ, sont souvent modestes, simples, pratiques. Mais l'établissement les soutient, leur permet de réussir, de prendre de l'ampleur, voire d'influer sur tout l'établissement, y compris jusqu'à modifier durablement et en profondeur la vie de l'établissement, la relation aux patients, la vision du métier. Le principe est totalement inversé : d'une part, les idées et les projets vont du bas vers le haut, du terrain vers la hiérarchie et la direction, d'autre part le soutien et les ressources vont du haut vers le bas. Ce n'est pas au personnel d'être fier de travailler à l'Hôpital de la Tour, c'est à l'établissement d'être fier de ses personnels. Sur l'accueil, le service, le développement durable, l'organisation, la formation et les compétences, l'impact est considérable. Nous discuterons ici des moyens et des objectifs, des principes et de la philosophie... et des résultats !

Contrôle ta langue ! Quelques moyens incroyables au service d'une gestion documentaire performante en santé

Julie RENAHY, docteur en linguistique, présidente de PROLIPSIA (Traitement automatique des langues), Dominique A. VUITTON, professeur des universités-praticien hospitalier émérite, université de Franche-Comté.

Nous sommes ici dans la série "incroyable mais vrai" ! L'objectif est de traquer l’ambigüité pour assurer la clarté et la compréhension des documents utilisés à l’hôpital : procédures, modes d’emploi, consignes aux patients, documents explicatifs ou pédagogiques. Les promoteurs démontrent par a+b, et avec beaucoup d’humour, qu’avec un texte donné très souvent mal rédigé on peut comprendre tout ce qu’on veut et son contraire, et que les erreurs de prise en charges sont donc inévitables. Les auteurs ont monté une jeune entreprise innovante issue de la recherche publique (projet Sensunique) à l'interface de la linguistique et de la santé. Elle conçoit, développe et commercialise des solutions logicielles d’aide à la conception et à la rédaction de textes techniques afin de répondre aux exigences de qualité et de sécurité, en assurant une transmission efficace de l’information claire, cohérente, adaptée au public cible (grand public ou professionnels) et sans ambigüité. Il s'agit de réduire fortement les erreurs d’interprétation et ainsi de limiter les risques directement.

Pionnier en langue française, Prolipsia a été accompagné par l'Incubateur d’Entreprises Innovantes de Franche-Comté, et lauréate de nombreux concours : Concours Numerica 2009, catégorie émergence ; Grand Prix de la Prévention Médicale 2010, 1er prix ; Concours National d’Aide à la Création d’Entreprises Innovantes 2010, catégorie émergence (Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche /OSEO) ; Concours régional Défi Jeunes 2010 – Programme Envie d’Agir ; Concours Régional Entreprendre au féminin 2010, 4ème prix.Vous améliorez votre rédaction très tôt, vos phrases, votre vocabulaire, vos tournures, votre style, votre contenu, ce qui évite les corrections ultérieures. http://www.canalc2.tv/video.asp?idvideo=11276 Site : www.prolipsia.com //// E-mail : [email protected]

connexion@

Sécurisez l'administration des médicamentsNouvelles approches possibles…oui, mais comment ?

Dominique DESUZINGES (pharmacien, ancienne expert de l’ASN et pharmacien inspecteur, consultante en GDR) fera la synthèse et la conclusion en fin d'atelier

Introduction, intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement des questions de la salle

Les ordonnances nominatives documentées : impact qualité, sécurité et économique

Faire un grand pas en avant est possible ! Voici la présentation de dix années de travail cumulées (tous les travaux sont en ligne sur www.pharmacie-ch-agen.com). Une véritable mine de connaissances pratiques avec ses revues de bonnes pratiques cliniques, ses ordonnances nominatives guidées, ses EPP, ses processus qualité. Les ordonnances nominatives documentées du CH d'Agen, c'est-à-dire argumentées, constituent un progrès dont nous pourrions être nombreux à nous inspirer : les prescripteurs cochent des items et ainsi associent automatiquement la prescription avec le guide de la posologie. Cette check-list documentée de la prescription apporte une véritable aide aux médecins et aux soignants car elle cumule une approche éducative avec une approche restrictive. En somme, c'est 2 en 1.

Cette démarche a permis également de faire des fiches de bon usage partagées entre prescripteurs et soignants. Elle capitalise l'amélioration continue. Donc les résultats progressent fortement en qualité et en sécurité : en médicament, en examens spécialisés, en surveillance des patients. Des économies notables ont été obtenues : par exemple sur les pansements ! Des cas spécifiques sont également mieux traités, comme le sous-usage de certains médicaments, comme les escarres, etc.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

2b L'indicateur qui indique bien : une meilleure valeur humaine et soignante

Intervenant Dr Fabrice LAGRANGE, président du CLIN, CH La Charité sur Loire, EPSM Pierre-Lôo, MAS et IME de La Charité

03 86 69 40 33 ; 03 86 69 40 40 ; [email protected]

Discussion

3

Intervenant

02 37 30 30 50 ; [email protected] ; 01 55 93 7000 ; [email protected]

Discussion

Synthèse et conclusions

Les ordonnances constituent un gisement de progrès considérable. Parce qu'il existe un risque invisible et que nous pouvons de mieux en mieux le cerner, dans le respect des principes de la connaissance du risque et des erreurs, dans le respect du principe de la non recherche de coupables. Le travail présenté a fait l'objet d'une bourse nationale et a été lauréat en 2006. Construisons un circuit informatisé du médicament. Certains risques diminuent fortement : ..... Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin : mettons en place la gestion électronique des ordonnances. Nous allons pouvoir extraire des données nouvelles fort méconnues sur les risques et l'iatrogénie de la prescription. Par exemple, pour 1000 patients ayant telle caractéristique, quel est le taux d'ordonnances sécurisées selon les RBPC, quel est celui des ordonnances insuffisamment sécurisées ? Et pourquoi ? Que leur manque-t-il ? Les médecins s'interrogent, questionnent la pharmacie et reçoivent les réponses à leur requête. La pharmacie leur donne l'indicateur qui pour eux a du sens : il a une véritable valeur médicale et soignante. Conséquences, ils veulent de nouvelles requêtes et ainsi enclenchent l'amélioration continue. L'approche fera-t-elle école ? Nous le souhaitons !

Nous avons amélioré l'administration du médicament Tiens, ce serait possible ?

Stéphanie CLAVEL, pharmacien, CH de Chartes, et Yasmine SAMI, HAS, pilote du guide sur l'administration du médicament

Enjeux, difficultés, réponses, méthode, résultats, leçons L'administration du médicament conjugue la routine et le risque. Pour la fiabiliser, quelques principes (apparemment) simples ont été formulés dans le guide de la HAS, sur la base des établissements ayant un bon degré de sécurité. Ce sont de bonnes pratiques. Ce qui manque, c'est le chemin qui conduit à la maîtrise collective finale de ces principes. Or, et il s'agit là plus de sagesse que de science, chaque établissement doit suivre son propre chemin. Un bon exemple vaut mieux qu'un long discours : c'est pourquoi nous dialoguerons, à partir d'un exemple réussi du chemin suivi par cet établissement. Nous ne masquerons pas les difficultés du parcours, nous prendrons le temps de bien saisir ses actions originales et ses astuces pour éviter les pièges posés sur le chemin. Il ne s'agit donc pas d'un atelier sur les techniques de sécurisation de l'administration du médicament mais sur l'appropriation par chaque établissement de la conduite du changement, compte tenu de sa culture, de ses professionnels et de ses patients.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Atelier Atelier 27 : Mardi 27 Novembre de 9h à 10h45

Animation Gilles BONTEMPS, ANAP, directeur associé

01 57 27 11 50 ; [email protected]

Témoins Dr Bernard SCHMITT, CNAMTS, directeur du service médical

01 40 56 76 85 ; [email protected] ; 01 40 05 30 75 ; [email protected]

1 Le pont de vue d'un établissement

Intervenant Pascale GUILLAIN, Présidente de la CME du CH de Douai

03 27 94 76 20 (sec) ; [email protected]

Discussion

2

Intervenant

tél ; adresse du courriel ; tél ; adresse du courriel ; tél ; [email protected]

3

Synthèse et conclusions

La performance des établissements de santé : vue des établissements, vue des tutellesHospidiag : utilisation par les ES, par les ARS, l'IGAS, les CRC (Ch régionale des comptes)

L'amélioration de la performance globale d'un établissement est l'un des piliers du projet d'établissement et notamment de son projet médical. Celui-ci est une composante de la contractualisation pluriannuelle d'objectifs et de moyens avec son Agence Régionale de Santé. Le dialogue préalable à la contractualisation occupe donc une place centrale dans l'élaboration de la stratégie d'établissement. Or l'un et l'autre, recourent aux conclusions de la certification de la Haute Autorité de Santé. De son coté, l'Inspection Générale des Affaires Sociales effectue des missions d’appui aux établissements et des missions d'inspection et de contrôle. Enfin les Chambres Régionales des Comptes exercent leur contrôle sur les finances publiques. Comment concilier ces points de vue et déboucher sur une stratégie cohérente, efficace ? D'un coté nous avons l'établissement, de l'autres les autorités et tutelles, chacune étant dans son rôle. Aujourd'hui, tous utilisent Hospidiag. Alors Hospidiag va-t-il semer la zizanie ou est-ce THE outil ouvrant la voie "d'un nouveau mode de financement de la qualité" ? (Larmine Gharbi, FHP-MCO)

Quelle est notre stratégie, comment nous l'élaborons, comment nous y intégrons la Qualité / sécurité / performance ? Comment nous dialogons avec les autorités et tutelles ?

HOSPIDIAG, un instrument d'analyse pour les autorités et tutelles

Prénom NOM, titre, ARS Rhône-Alpes ou PACAChristian COLIN, Chambre Régionale des Comptes, Nord Pas de Calais Picardie

Hospidiag. Nous prendrons le temps d'entendre le point de vue des tutelles : Approche d'une ARSApproche d'une CRCNous les mettrons en perspectives de celles d'autres institutions comme l'IGAS.

Dialogue stratégique entre l'établissement, les autorités et tutelles : enfin du nouveau ?

Discussion avec la salle et écoute des témoins : - Permettons-nous aux établissements de développer une stratégie de performance crédible ?- Assurons-nous que cette stratégie est cohérente avec les exigences de la politique régionale de santé ?- Assurons-nous qu'elle l'est aussi avec les exigences de la politique nationale de santé ?- La qualité, la sécurité et la performance ont-elles progressé ?

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Mardi 27 novembre de 11h45 à 12h15Découv Découverte 11 : Mardi 27 Novembre de 11h15 à 12h15

Animation

06 60 59 44 09 ; [email protected] ; [email protected] ; 06 08 83 46 04 ; [email protected] ;

Terminal multimédia = plus de qualité... Ludique!

Intervenant Philippe HUDDLESTONE, directeur informatique, CH de Douai

Discussion

Comment le DMP renforce la qualité en établissement de santé ?

Intervenant Claire LENAIN, ASIP Santé, Agence des Systèmes d'Information Partagés de Santé

01 58 45 32 89 ; [email protected]

Quel lien entre la qualité et la modernisation des SIH ?

Intervenant

T : 01 40 56 76 85 ; [email protected]

Conclusions

Découv Découverte 12 : Mardi 27 Novembre de 11h15 à 12h15

Animation

De la sinistralité réelle à l'action commune de réduction des risques

Intervenant Dr Frédéric FUZ, SHAM, directeur du pôle service

04 72 75 50 87/25 ; 06 85 71 91 74 ; '[email protected]'

Séances Découverte

connexion@

Plus de qualité = plus de numérique ?Les nouveaux moyens d'agir

Jean-Bernard GERVAIS, rédacteur en chef, HOSPIMEDIADr Dr Bernard GOUGET, pôle offre de soins, FHF

Introduction, présentation des intervenants, rappel des règles des échangesOn sait mal dans notre pays que le retard en télésanté, en informatique médicale et soignante et en dossier patient numérique est l’une des causes majeures de multiples faiblesses du service médical rendu vers les populations telles que les urgences, le maladies chroniques (50% des malades !) et les campagnes isolées souffrant de la désertification médico-soignante (50% du territoire !).

03 27 94 71 56 ; [email protected]

[Trophee de la Nuit du Grand Âge, trophée Ruralitic] C'est d'abord fait pour les résidents. Mais ça sert aussi la qualité, ça réduit certains risques et ça rend service aux professionnels. En plus, c’est ludique ! Tout le monde apprécie. Voici en effet un projet unique de lien social : les chambres sont équipées d’un terminal multimédia**, simple d’utilisation, permettant au résident de se distraire, de travailler sa mémoire, de communiquer avec sa famille, ses aidants et les professionnels de santé. Il facilite également le travail des professionnels. Le lien avec les familles est au centre du projet d’établissement. ** (solution E-lio, de Technosens) L'informatisation et les usages numériques comptent dans la qualité et la sécurité du service médical rendu par le CH de Douai, dont on rappelle qu'il est devenu premier au classement 2012 du Figaro Magazine dans la catégorie Hôpitaux publics de + de 300 lits. Un hasard, croient certains. Et vous ?

Le DMP, une réalité territoriale et nationale ! Il est accessible au patient et à l’ensemble des professionnels de santé autorisés, il contient les informations utiles à la coordination des soins. Le DMP, ses avantages/enjeux pour les établissements de santé- Amélioration la coopération Ville/hôpital- Inscription dans le CPOM- Mise à disposition « permanente » du dossier patient (droit des patients, Loi Kouchner de 202)Le DMP, un catalyseur de la coordination au CH de Troyes- CH de Troyes, l’établissement qui créé le plus de DMP en France- DMP, un projet qui a mobilisé toutes les parties prenantes de l’établissement (accueil, SI, soignants…)- Rayonnement territorial, synergie avec l’offre de soin du bassin de santé- DMP, gage de qualité ai sein de l’établissement

En pratique : le professionnel de santé accède au dossier à tout moment. Il peut décider de masquer des documents (cas de dossiers sensibles ou d'autres avis ou d'examens complémentaires). Le patient consulte ses données (documents, parcours de soins, gestion du dossier et historique des données). Il peut décider de réserver l'information à un professionnel de santé et gérer cet accès à tout moment. Traçabilité directe : toutes les consultations du dossier sont répertoriées sur la page d'accueil par date et par heure. Le patient peut ainsi constater les différentes actions qui ont eu lieu. Le lien entre les professionnels est au cœur du DMP. La version 2013 intégrera les alertes vaccinations par mail.

Laetitia MESSNER, chef de la Mission des Systèmes d'Information de l'Offre de Soins, DGOS, responsable du plan national hôpital numérique

Le Programme hôpital numérique (le socle de priorités et les objectifs d'usage du Programme Hôpital Numérique seront présentés en plénière 3, mardi à 13h30)Le Programme PREPS (programme de recherche sur la performance du système des soins)

Gestion des risques et sinistralité réelle Enclenchez la révolution de la relation assureur / établissement

Laurent QUEINNEC, directeur d'Infodium (Finances Hospitalières et Santé RH)www.sante-rh.fr ; www.finances-hospitalieres.fr

06 98 06 21 03 ; [email protected] ; [email protected] ; 01 42 58 59 21 ; [email protected]

Une nouvelle vision des risques émerge, incluant les risques aux personnes, aux biens, aux activités, à la réputation. La montée des nouveaux risques systémiques pourrait bien, elle, faire exploser le coût assuranciel. Ne pas agir face à des risques évitables devient un problème et vouloir agir seul dans des situations systémiques complexes est une erreur. Il va falloir mieux maîtriser certains risques réels et couvrir les nouveaux risques lourds émergeants plutôt que payer pour des dégats consécutifs à des situations désormais évitables.Pour y arriver, assureurs et assurés peuvent-ils continuer comme avant ? Sinon, comment préparer l'avenir ?

La réponse sera nécessairement collaborative et innovante, y compris dans la relation assuré / assureur. Celle-ci est en cours de transformation au travers de démarches communes visant de fortes réductions ciblées de la sinistralité évitable. Elles connectent étroitement les métiers de dirigeant, médecin & chirurgien, financier, acteur QGR, et paramédicaux : ensemble analysons ici les voies innovantes à partir de celles proposées par des assureurs partenaires des établissements sur la question de la maîtrise collective du risque. Si le directeur met autour de la table le professionnel de santé, le financier et le gestionnaire de risques, que peut-il leur proposer de nouveau ?

"Allez-y, on vous couvre" : tel était le fil directeur qui permettait d'effectuer l'activité clinique qui est toujours à risque. Et on couvrait plus ou moins en fonction du coût moyen. Mais voilà : que couvre-t-on réelement quand les risques changent et quand le management des risques nous rend capable de réduire certaines insécurités ? On peut faire une cartographie des risques mais, même là, est-on sûr d'avoir toutes les cartes en main ? Ne manquerait-il pas une carte utile, la carte de la sinistralité réelle ? Pourquoi diffère-t-elle de notre cartographie a priori des risques ? Nous apporte-t-elle de nouvelles marges de manoeuvre pour effectivement éviter l'évitable ?Cf Tabuteau. "Nous publierons prochainement un important travail de recherche sur la judiciarisation de la santé, mené sur une dizaine d'années et portant sur 15 000 décisions de justice pertinentes. Il ne met pas en évidence une explosion du contentieux médical."

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Faire converger les trois visions divergentes du risque : celle du médecin, du directeur, du gestionnaire des risques

Intervenant Stéphane BECCAVIN, MARSH, responsable santé France, courtage en assurance

06 25 89 22 94, 04 72 83 42 96 ; [email protected]

Discussion

Approfondissement et synthèse

Découv Découverte 13 : Mardi 27 Novembre de 11h15 à 12h15

Animation

01 43 29 92 38 ; 06 76 85 79 39 ; [email protected]

Jacques HOSOTTE, responsable qualité, Générale de Santé

01 53 23 17 17 ; 06 18 41 83 94 ; [email protected]

Introduction, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges

Intervenant Nafissa ABDELMOUMENE, Chef de projet, Service Développement de la certification, HAS

01 55 93 72 70 ; [email protected]

Intervenant Anne-Alexandra BABU, chargée de mission à la MSIOS, DGOS

T : : 01 40 56 51 72 ; [email protected]

Intervenant Ariane PIANA-ROGEZ, ASIP Santé01 58 45 32 89 ; [email protected]

Durée totale:

Découv Découverte 14 : Mardi 27 Novembre de 11h15 à 12h15

Animation Pascal FORCIOLI, président - fondateur des JIQHS

03.21.79.69.48 (secr) ; [email protected]

Intervenant Dr Michèle de GUISE, directeur de la Qualité, de la Promotion de la santé et de l'Expérience du patient CHU Montéal

Rappel des enjeux de la prévention des risques en santé : - Retours d’expérience : Contrat à taux modulable, Visite de risques- Les attentes clients : un assureur qui apporte plus qu’une solution d’assurance, et qui soit capable d’aider à l’identification et à la prévention des risques- La légitimité de l’assureur : BDD, expertise, connaissance des établissements- Qu’est-ce qu’un partenariat abouti ? évaluer le niveau de risques, identifier et promouvoir les éléments de maitrise du risque, tarification personnalisée… - Les prérequis : confiance, apport objectif de valeur (méthode, études, identification des nouveaux risques), implication et place des médecins

Le contexte change : les besoins de protection évoluent plus vite que l'offre assurancielle. Dans les établissements, la vision des gestionnaires, essentiellement les financiers et les directeurs diffère de plus en plus de la vision des professionnels et des gestionaires de risques. Chaque vision est en fait amputée de celle de l'autre. Une première mise en adéquation entre eux apporte une vision plus réaliste, plus globale, plus complète. Cette vision pertinente est nécessaire pour mettre en place une stratégie cohérente. L'impact de cette dernière est triple : économique, juridique et qualité / sécurité. Dans ce nouveau contexte en évolution rapide, le rôle du courtier apporte une valeur ajoutée : - aider l'établissement à se doter d'une vision interne pertinente- aider l'établissementà trouver l'assureur qu'il lui faut- aider l'assureur à trouver les établissements auprès de qui il apporte le meilleur rapport qualité prix.Le courtier assure le ET dans le titre : gestion des risques ET sinistralité réelle. La bonne adéquation facilite la maîtrise des risques et des coûts.

Mais que fait l'informatique ?Que faire face aux problèmes récurrents qui impactent la qualité et la sécurité ?

Jean-Luc PLAVIS, CISS IDF, Correspondant du Conseiller Santé du Défenseur des Droits, Maison de Santé des Chênes, Hôpital Foch et Santé Service (HAD)

Témoin discutant

La progression selon les indicateurs du Plan National Numérique :une dimension nouvelle des futures certifications

On va le voir : vous allez découvrir ici une étape importante au sein d'une longue histoire dont, depuis plusieurs années, les JIQHS présentaient les élements clés : les relations entre SIH, qulaité/sécurité et performance. La démonstration scientifique que "plus de SIH" = "plus de service médical rendu" n'est pas faite. Pourtant, tout le monde sent que des progrès importants doivent être faits rapidement. Mais lesquels ?Nous passerons en revue les problèmes récurrents portés à la connaissance de la HAS au travers des certifications : ils sont un indice pratique considérable.Mais on ne peut pas traiter ces problèmes les uns indépendamment des autres. Nous verrons que la HAS a pris le parti des conclusions nationales, cohérentes avec ces problèmes récurrents. Elles ont conduit au Plan Hôpital Numérique. A l'avenir, lors des audits de certifications par les Experts-Visiteurs, il sera vérifié que l'établissement monte en puissance vers les indicateurs inscrits dans ce Plan Hôpital Numérique.

Après l'intégration des logiques de bonnes pratiques, de celles de management et d'amélioration continue, de celles de développement durable, la certification intégrera également des critères démontrant la performance numérique. Ils pourraient devenir des PEP, pratiques exigibles prioritaires. Les points clés toucheront (????) le dossier du patient, le partage d'informations médicales et soignantes mais aussi la fiabilité, l'accessibilité, la sécurisation et le traitement des données, ainsi que la traçabilité, la confidentialité, l'identitovigilance, les tableaux de bord. Ces points clés contribuent déjà dans les établissements les plus performants à la qualité et la sécurité des soinsmais aussi à la performance globale. Ils devront désormais bénéficier d'une logique d'amélioration continue.D'ici à fin 2013, les indicateurs Hôpital numérique serviront d'éléments de vérification dans les critères de la certification V2010. En 2014, les critères modifiés seront intégrés au nouveau manuel de certification.NOus verrons également l'Échelle internationale de maturité du SI à 7 niveaux (MCO et ambu) adaptée en Europe (Electronic Medical Record Adoption Model - EMRAM /// Health Information Management Systems Society - HIMSS Analytic)A savoir : la Délégation de la stratégie des systèmes d'information en santé (DSSIS) a présenté à la DGOS une feuille de routepour la démarche d'homologation des solutions logicielles.

Garantir un espace de confiance pour l’échange et le partage de données de santéDéployer la CPS et le DMP, c'est facile et c'est le bon moment

Structurer la e-santé en FranceRôle et missions (régaliennes) de l’ASIP SantéPermettre aux industriels de développer sur des bases solides et pérennesPlus de sécurité, plus de fiabilité

Les outils structurants de la e-santéCadre d’interopérabilité (technique et sémantique)RPPS et RASSCPS, certificats : pour une identification et authentification forte (exemple du CH Vendée Océan : déploiement de la CPS, platerforme DPI…)

Du socle technique aux usages, quels nouveaux services de e-santéLe dossier Médical PersonnelLa Messagerie Sécurisée de SantéVers la Télémedecine

DMP et carte CPS montrent que l’informatique de santé est au service de la qualité, de la coordination des soins, de la sécurité, du « mieux soigner » ici ou à distance… Au-delà du socle technique et des process, la réussite de ces projets passe par la conduite du changement. Un DSI d’établissement témoigne ici des difficulés mais aussi des solutions et des astuces. Celles-ci sont à portée de main pour réussir le déploiement de tels projets. Sur ce sujet, l’informatique médicale est structurante de l'amélioration de la qualité des soins.www.dmp.gouv.fr

Juin 2012, 150 000 DMP ont été créés dans toute la France, 14 régions sont engagées dans la démarche, 120 établissements utilisent le DMP, 3 500 professionnels de santé libéraux. Enfin,le début d'une (réelle) dynamique positive ? C'est encore trop peu : comment promouvoir le déploiement du DMP ? La version 1 du DMP a beaucoup évolué par rapport à ses débuts en 2011. Une version 2 est prévue pour début 2013 et la création d'un DMP se fait aujourd'hui en quelques minutes, facile d'accès et sécurisée. Quatre étapes : recueil du consentement, création du dossier, activation du compte patient et transmission des données de connexion.

La CPS (carte professionnel de santé) : faciliter son déploiement à l’hôpital. Voici une aide : le kit de communication à disposition des établissements de santé : Kit_Com_CPS

La démarche qualité : dialogue entre un établissement canadien et un établissement français (CHU de Montréal et AHNAC Association Nord Artois Clinique)

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Dr Sandrine BUSCAIL, directrice médicale, de la qualité et des relations avec les usagers, AHNAC

001 514 890 80 45 ; michè[email protected] ; 03 21 79 60 67 ; 06 14 09 92 89 [email protected]

1

Questions réponses, dialogue avec la salle

2

Questions réponses, dialogue avec la salle

3

Questions réponses, dialogue avec la salle

Synthèse et conclusion

Témoin discuttant

Cette séance découverte est bien particulière à maints égards. Beaucoup de participants des JIQHS ont formulé le souhait, les années passées, qu'un témoignage québécois puisse être organisé dans nos Journées. Par ailleurs de nombreux échanges entre établissements et universitaires ont lieu chaque année. Et des publications nous permettent de chaque coté de l'Atlantique de rester en contact. Mais chacun sent que c'est insuffisant. Et il y a davantage : nos démarches ont des points communs, liés à la langue et à la culture. Mais elles ont beaucoup à apprendre l'une de l'autre, à s'enrichir mutuellement. Il s'agit donc non pas d'un aboutissement mais d'un point de départ. Le temps n'autorisera pas à des échanges approfondis sur tous les sujes, aussi nous concentrerons nous sur un dialogue stimulant entre un groupe hospitalier français, l’AHNAC, et le CHUM. Nous aborderons les trois lignes de forces de la politique qualité du CHUM, en insistant au final sur une approche fort prometteuse "l'expérience du patient" : elle est justement dans l'esprit des JIQHS 2012. Bienvenue au Québec !

La qualité et la gestion des risques Nos principes, ressources, objectifs, grandes orientations, outils, communications, indicateurs, budgets

La promotion de la santé Nos principes, ressources, objectifs, grandes orientations, outils, communications, indicateurs, budgets

L'expérience du patient Nos principes, ressources, objectifs, grandes orientations, outils, communications, indicateurs, budgets

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Découv Découverte 15 : Mardi 27 Novembre de 11h15 à 12h15

Témoin Nathalie BOQUET, cadre de santé, Hôpital Necker, service des urgences

n° de tél ; [email protected]

Introduction, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges

L’organisation humaine du service, un axe de progrès considérable

Intervenant

06 30 24 79 99 ; 04 73 75 19 99 ; [email protected]

Discussion

Manager l'urgence sereinement : impossible , Et pourtant…

Intervenant Pascale FRAISSE et Frédérique BARRANDON, cadres de santé, service des urgences, Saint-Luc & Saint Joseph, Lyon

04 78 61 86 46 ; [email protected]

Discussion

Annonce flash : Poster P105 Cibler la prescription pour réduire les délais d'attente et les coûts

Approfondissements, synthèse et conclusions

Découv Découverte 16 : Mardi 27 Novembre de 11h15 à 12h15

Animation Gilbert MOUNIER, SoFGRES

06 22 04 03 20 ; [email protected]

Introduction, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges

Le Kit EPP : sur le terrain pratique, un modèle à suivre !

Intervenant

[email protected] ; 01 55 93 64 18 ; [email protected] tél : 04 86 57 05 70

Discussion

Intervenant Marion KRET , statisticienne / chef de projet, FORAP

0557.656.135 ; [email protected]

Enjeux, réponses, conseils pratiques d'EPP ON LINE

Discussion

Intervenant Didier ALAIN, consultant, ANAP

06 28 63 10 14 ; [email protected]

Discussion

La qualité aux urgencesLes urgences, vitrine de l'établissement en 2020 ?

Pr Jeannot SCHMIDT, CHU de Clermont-Ferrand, président de la SFMU (société française de médecine d'urgence)

Les urgences ont souffert de se trouver au carrefour des contradictions de notre système de santé. Beaucoup d'entre nous voudraient les rendre à nouveau attractives et, au-delà, en faire un service de qualité, dans l’intérêt prioritaire des patients et de leur entourage. Comment s’organiser pour bien traiter les urgences courantes et les traumas graves ? Cette question fait face au dilemme des prises en charges vitales, à savoir les prendre en charge aux urgences ou en service de réanimation. Elle pose la question de la valeur ajoutée du service d’urgence. Celle-ci en inclut d’autres : comment répondre aux besoins en urgence de la population du territoire de santé tout en s’adaptant aux compétences présentes ? Comment optimiser le fonctionnement collectif incluant les soignants et les médecins, les assistantes sociales, les ambulanciers, les pompiers, les transferts entre établissements ? Comment optimiser les premières heures de prise en charge tout en évitant aussi le drame humain que représente une organisation qui placerait ses propres professionnels en situation insupportable d’échec ? Il n’y a pas de réponse absolue à ces questions ! C’est pourquoi l’expérience réussie du CHU de Clermont-Ferrand est intéressante : elle nous aide à adopter une nouvelle approche de l’organisation humaine des urgences, qu’on soit un grand ou un moyen établissement, public ou privé.

Le management très opérationnel aux urgences est confronté à l'hypercontrainte de l'aléa permanent. Vivre cette situation requiert une prise de recul régulière qui néanmoins doit déboucher sur de bonnes décisions immédiates systématiques. A l'aléa des patients, s'ajoute l'aléa de fonctionnement du service multiplié par les aléas de fonctionnement de l'institution. Comme disait Galilée de la Terre : "Et pourtant elle tourne". Voici une unité d'urgence qui tourne bien. Gérer ces aléas continus, là est le défi : comment s'y préparer, comment le vivre ? Comment gérer les face-à-face et le relationnel ? Comment anticiper ensemble, médicaux et paramédicaux, pour "éviter l'évitable" d'un point de vue managérial ? Or nous avons le sentiment que le phénomène de montée des urgences envahit tout, tous les secteurs, tous les domaines. Le management paramédical aux urgences nous pose des questions, nous livre des réponses, nous ouvre un débat pratique fort stimulant pour tous.

connexion@

Le management efficient des EPP et des projets QGR Faciliter et simplifier davantage, mieux comparer, partager, décider pour être plus efficace : sortir des paradoxes et rendre cohérente la politique d'amélioration et d'allocation des ressources

Docteur Géraldine PORCU, Institut de médecine de la reproduction, Clinique Bouchard, Marseille, et Docteur Ann PARIENTE-KHAYAT, Agence de Biomédecine

Dans un objectif d’accompagner les professionnels dans la prévention et la gestion des risques liés aux activités d’assistance médicale à la procréation, le pôle sécurité qualité de l’Agence de la biomédecine a entrepris une démarche d'élaboration d'outils d'évaluation des pratiques professionnelles dans la prévention et la prise en charge des Syndromes d'Hyperstimulation Ovarienne Sévère (SHOS). Un kit d’outils dont la construction a été élaborée avec la participation de professionnels, des sociétés savantes et d’un consultant permet aux professionnels des centres d’AMP d’évaluer leurs organisation et leurs pratiques pour prévenir les syndromes d’hyperstimulation ovarienne sévère. Il comprend : - un référentiel d’auto évaluation organisationnel et un guidage pour préparer un plan d’amélioration - des outils de prévention : classification des SHOS, fiche d'aide à la décision - des fiches : documentation d'un SHOS, conduite de RMM, revue de cas, compte rendu périodique, suivi, enregistrement des SHOS.Le kit a été testé et approuvé par 15 centres d’AMP. Il est téléchargeable sur le site de l’Agence de la biomédecine.

La plate-forme EPP de la FORAP Enfin l'outil multirégional de partage des connaissances pour dynamiser vos EPP !

L'approche "portefeuille de projets" appliquée aux EPP Une innovation conceptuelle très pragmatique

Nous aborderons la définitition et la nature d'un portefeuille de projets. Nous verrons que l'approche par le portefeuille de projets s'applique de plus en plus dans tous les métiers. Bien gérer un projet c'est bien, mais le diable se cache aux interfaces et dans les synergies négatives globales. Prendre de la hauteur, analyser globalement avec autant de raison que de bon sens. L'ensemble de nos projets est-il atteignable ? des synergies sont-elles exploitées ? Les retours d'expérience sont-ils capitalisés et transmis ? Les projets déterminants reçoivent-ils les ressources pertinentes ?Voilà une nouvelle façon de devenir collectivement bien plus efficaces. Ce qui est vrai des projets en général l'est de plus en plus des projets qualité, et au premier rang d'ente eux le portefeuille d'EPP.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Découv Découverte 17 : Mardi 27 Novembre de 11h15 à 12h15

Animation

04 78 77 70 31 ; [email protected]

Découv Découverte 18 : Mardi 27 Novembre de 11h15 à 12h15

Intervenant Christian MOREL, sociologue, ancien DRH, auteur de "Les décisions absurdes" 2ème édition 2012

06 75 29 33 91 ; [email protected]

Actualité scientifique en risques et qualité : revue de littérature internationale et nationaleExposé interactif, approndissement et discussion avec la salle.

Pr Jacques FABRY, Université de Lyon, Rédacteur en chef de Risques et Qualité

Pour ne pas rater l'essentiel, voici une séance de rattrappage qui, sur de nombreux points, sera une vértable séance de découverte. La littérature est abondante, des progrès sont nombreux, une science de la qualité et des risques existe : na passons pas à coté d'elle !Voici une sélection d'articles internationaux et nationaux parus dans la littérature et un dialogue en direct avec le Pr Jacques Fabry. En deux mots : science et convivialité !

Sortir des décisions absurdes, un apport de la sociologie à nos activités en santéExposé interactif puis approndissement et discussion.

L'impact dramatique des erreurs, la complexité des processus de prise en charge et des système de pilotage rendent la santé particulièrement emblématique des activités humaines à haute valeur ajoutée et à fort enjeu médiatique. Sur le terrain, le meilleur cotoie non pas le pire, car la qualité globale est élevée, mais l'aberrant, l'étonnant, le stupéfiant : de temps en temps, il se passe parfois quelque chose de manifestement non désiré, imprévisible et pourtant bien réel. Et le phénomène aléatoire est persistant depuis des années. L'apport de la sociologie nous aide à mieux voir comment nous participons nous-même au progrès comme à ses limites. Ces phénomènes sont la conséquence de nos solutions d'hier et d'aujourd'hui. Pour franchir un saut, prenons du recul, tenons compte des phénomènes que nous mettons inconsciemment en place, et dressons de nouvelles perspectives. Elles sont stimulantes et, sur le terrain, des expériences montrent que c'est une voie à suivre. Alors empruntons-là activement.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Mardi 27 novembre après-midi 15h15 - 17hSymposium Symposium D : Mardi 27 novembre de 15h15 à 17h

Animation Pascal FORCILOI, président fondateur des JIQHS, directeur du groupe AHNAC

1

Auteurs Ghyslaine PERRAT, dir Ressources et organisation du travail, 04 66 68 69 45; Cécile BOISSON, ergonome, CHU de Nîmes

2a Faire face aux situations de violence

Intervenant

01 44 06 85 02 ; [email protected]

Discussion

2b Annonce flash de Poster : P211 PEC des professionnels victimes de violences, HIA de Brest

Symposiums et Ateliers

Pénibilité, souffrance, violence et stress contre la qualité des soinsLuttons contre ces sources intolérables de non-qualité

Introduction : intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement de questions de la salleEn introduction, cette réflexion de Philippe Davezies : "Prenons l’exemple d’un découpeur qui opère sur un massicot; une lame tombe et son boulot, c’est juste de faire des piles correctes de papier. L'idée d’un enjeu qualité n’est pas évidente, et pourtant ! Pour le chef, ce qui compte, c’est de faire taper la machine à grande cadence. Certes, cette cadence soutenue multiplie les malfaçons ; quand la machine va trop vite, on a un mauvais contrôle des longueurs, ça ne coupe pas bien. Car au-dessus du chef, « ils » ne connaissent pas le travail, « ils » ne connaissent que la vitesse. De telles situations sont surabondantes dans tous les métiers.

Dans l’enquête Esteve, qui porte sur le vieillissement au travail en France, il y avait une question: est ce que vous avez les moyens de faire un travail de bonne qualité ?C’est probablement la question qui s’est avérée la plus productive, en ce sens qu’elle était la plus explicative des atteintes à la santé. II existe une relation statistique forte entre le fait d’avoir les moyens de faire un travail de bonne qualité et la pathologie, tant ostéo-articulaire que psychique. Dans les cabinets médicaux, ce dont se plaignent les salariés ce n’est pas au premier chef l’intensification du travail, c’est la dégradation de la qualité et du sens du travail. C’est le fait qu’il devient difficile de distinguer le vrai du faux, l’utile de l’inutile, le juste et l’injuste, le sincère et le stratégique; le fait que dans nombre de cas, même les salariés n’ont plus les critères qui leur permettent de savoir si ce qu’ils font est bien ou non. À ce moment-là, la souffrance psychique n’est plus liée simplement à un problème d’intensification, mais à celui de la qualité du travail et de l’engagement dans le travail.

"Ce qui est alors attaqué, c’est l’identité et la santé. Faire du mauvais travail dégrade l’image personnelle, mine l’estime de soi, et permet que surgissent des comportements compensatoires, défensifs qui, dans nombre de cas, vont conduire à la pathologie."

Annonce flash : Poster 216 CHU de Nîmes, PRATIPRACT, un programme de lutte contre les troubles musculo-squelettiques

Anne-Marie DORE, FHF, et Prénom NOM, (un témoignage de terrain)

Enjeux de la montée des incivilités, difficultés face à la violence : des constats sur le terrain aux premières réponses pratiques. Quand un professionnel est atteint c'est toute l'équipe voire toute la communauté qui est touchée. Ne laissons donc pas seuls les professionnels en situation dangereuse pour les patients et pour eux-mêmes. La situation de violence exacerbe des tensions et conduit souvent les professionnels à des réponses inapropriées. Malheureusement pour eux et pour les autres, elles sont lourdes de conséquences. Que faire ? Heureusement, il existe des pièges à éviter et des comportements réflexes qui s'apprennent, tant individuellement que collectivement. L'encadrement y joue un rôle de premier plan. Mais difficile, et parfois très difficile. Nous touchons à l'essence même de ce qui nous fait choisir et vivre le métier de soignant !Nous verrons ici comment, en pratique, les "fiches réflexes en situation de violence", ont été élaborées et testées au sein de la FHF. Nous verrons comment elles peuvent servir les professionnels à mieux gérer les situations de violence et progressivement à collectivement mieux prendre soin du "soignant victime". Nous verrons comment se préparer, en équipe, afin d'être mieux armés face à ces événements particulièrement graves.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

3 Une révolution collective

Intervenant Véronique GHADI, HAS, Service développement de la certification, Pascale LEVET, ANACT Directrice Technique et Scientifique

01 55 93 72 62 ; [email protected] ; 04 72 56 13 20 ; [email protected]

Discussion

4

Intervenant

01 43 92 21 05 ; [email protected] ; 01 43 92 21 02 ; [email protected] ; [email protected]

Discussion

Synthèse et conclusions

Atelier Atelier 31 : mardi 27 novembre de 15h15 à 17h

Animation

01 43 29 92 38 ; 06 76 85 79 39 ; [email protected]

Témoin Elodie LAMBERT, RU

[email protected] ; 06 62 22 83 51 ou 01 34 28 30 23 ; [email protected]

Introduction, enjeu, présentations, règles des échanges, questions de la salle

1 "A la limite, le patient doit être content d’être venu"

Intervenant

01 46 25 28 18 ; [email protected] ; 01 46 25 21 34 ; [email protected]

2

Intervenant Salah Eddine ARIF, cadre paramédical, CHU de Sétif ; 00 213770271086 ; [email protected] ; [email protected]

Discussion sur l’implication des proches et sur le relationnel de leur point de vue

3

Intervenant Corinne FAU, directrice et Nathalie CHAINE, cadre de santé

04 92 55 11 49 ; [email protected]

La pression monte, de nombreux professionnels craquent. Nécessaire, la lutte contre les risques psychosociaux (RPS) et contre les troubles musculo-squelettiques (TMS), reste de portée limitée. Les actions contre les nuisances aussi. Après la crise de France Télécom, il y a deux ans, un plan national, tous secteurs confondus, a impulsé des audits, des débats, des négociations, des innovations. Il nous fallait aussi, dans la santé, participer à cet élan. Quand trop de choses sont à réparer dans la maison, mieux vaut entreprendre une véritable rénovation. Pourquoi pas repenser l'hopital en mieux, autour de la Qualité de vie et le faire avec ses acteurs, tous ses acteurs ? Faire progresser vraiment sans être normatif ni contraignant, est-ce possible ? C'est un projet ambitieux. Le serait-il trop ? Qu'on en juge sur pièce.

Depuis deux ans la Haute Autorité de Santé et l'Agence Nationale pour l'Amélioration des Conditions de Travail se sont engagées dans un projet commun : améliorer la qualité de vie des professionnels des établissements de santé. Voir : www.qualitedevieautravail.org Quatre chantiers sont ouverts :1- Quels enseignements tirer des établissements où il fait bon vivre ? Y compris dans l'intérêt des patients et des résidents ? Y compris sur le plan économique ?2- Comment les experts-visiteurs peuvent-ils concrètement rendre compte de la qualité de vie au travail au cours de la certification ?3- Les organisations syndicales et les professionnels peuvent-ils faire sauter les blocages historiques et se déprendre des stratégies d'affrontement pour se rassembler et pour agir ?4- Et la HAS elle-même affecte-t-elle la QVT ? Sera-t-elle capable de faire évoluer sa certification et ses actions pour qu'elle soit plus adaptée, plus pertinente, plus au service de la QVT ?

Recherche théorique et opérationnelle pour aider les professionnels face aux situations intrinsèquement difficiles. Exemple en soins palliatifs.

Cédric BOUTONNET, directeur, Marie-Carmen HEBRAIL, Responsable qualité gestion des risques, Dr Frédéric GUIRIMAND, Etablissement Jeanne Garnier, Paris

Ces dernières années, la prise en charge de la souffrance du patient fait l'objet de nombreux travaux, de multiples actions sur le terrain, de nouvelles recommandations scientifiques. Les JIQHS ont porté ce sujet et ont montrer le rôle des démarches qualité dans ces progrès. Toutefois, il faut continuer de progresser. La recherche opérationnelle est un double enjeu : celui du patient et de plus en plus celui des professionnels. Accompagner la souffrance, comme accompagner les situations difficiles, comme accompagner la fin de vie ne laisse jamais indemne le profesionnel de santé. Bien au-delà de la fin de vie, nous retrouvons ces problématiques dans tous nos secteurs, dans tous nos établissements. Et l'apport des médecins, des ergonomes, des sociologues, des soignants, de tous les gens expérimentés dans ces situations difficiles doit être connu, reconnu et soutenu. Jeannne Garnier a aquis une part de sa légitimité en progressant régulièrement sans cette dans cette direction où les exigences sont élevées et contradictoires. Inspirons-nous en tous.

connexion@

La qualité du relationnel vue du patient et des proches Le match privé-public

Jean-Luc PLAVIS, CISS IDF, Correspondant du Conseiller Santé du Défenseur des Droits, Maison de Santé des Chênes, Hôpital Foch et Santé Service (HAD)

Julie SWAENEPOEL, responsable qualité risques et gestion de projets, Diane LECERF, juriste chargée des relations avec les usagers, hôpital FOCH, Suresnes

Qu'au moins "le patient ait le sourire à la sortie" Pour cela, il faut que chaque agent s’implique comme si c’était sa propre famille. « Est-ce que si ça avait été un membre de ma famille, j'aurais fait pareil ? ». Comment partager cet état d'esprit, comment le faire vivre alors que les activités sont de plus en plus organisées, structurées, pensées comme des "routines", le mot étant en passe de devenir synonyme de qualité. Pourtant, il nous faut dépasser le paradoxe, pour nous mêmes et pour nos patients. "Et quand un agent, et notamment un médecin, se comporte mal, moi patient, je fais comment ?" Chaque patient étant différent, chaque journée étant différente, cet idéal se heurte aux difficultés de mise en oeuvre quotidiennes.

Pour progresser, il faut aussi des innovations qui répondent à des besoins émergeants et font vivre le métier de soignant avec des dimensions nouvelles : service de repas adapté pour certains malades, ateliers socio-esthétiques et soins de support, art thérapie, etc. En quoi, ces innovations changent la relation, la prise en charge, le "care" au-delà du "cure", en quoi cela influence notre politique qualité, nos actions d'améliorations dans tous les groupes de travail et, au fil de l'eau, notre management et notre service au patient sur le terrain. A partir d'exemples concrets, nous verrons comment coordonner état d'esprit et pragmatisme afin d'améliorer fortement le relationnel vu du patient et de ses proches.

Annonce flash : poster 214 du CHU de Sétif (Algérie) : Amélioration des synergies avec les parents en chirurgie pédiatrique

Prends ma place d'être patient : vivre l'expérience du parcours patient et aider l'établissement à progresser [Trrophée FHP]

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Discussion

Aux Etats Unis, un programme de Shadowing", qu'on pourrrait qualifier de "suivre le patient comme son ombre", consiste à faire faire aux Internes le parcours patient en suivant le patient pas à pas. Et en retirer des actions d'amélioration collective autant que des enseignements personnels pour le jeune médecin hospitalier. Mais cette idée a déjà son application en France.Le CRRF L’Eau Vive, centre de rééducation et réadaptation fonctionnelles, dans les Alpes-de-Haute-Provence, reçoit le Trophée «Relations avec les usagers » pour son programme « Prends ma place d’être patient ». Né de l’implication de deux anciens patients du centre, ce programme vise à mieux cerner les attentes et les besoins des malades. Pendant 24H, des professionnels de santé volontaires se mettent à la place des patients et suivent le parcours complet : de l’admission à la prise en charge rééducative, en passant par les bilans de santé et la mise en place de toutes les aides techniques et humaines liées à la pathologie fictive choisie. Par exemple : le flux d'informations qu'on reçoit comme patient est ... déroutant!Une sorte d'audit innovant, préfigurateur de la logique du patient traceur grâce auquel les professionnels découvrent... l'endroit du décor ! Plusieurs fois récompensé, le projet fait aujourd'hui figure de modèle. Une bonne idée pratique... qui ne demande qu'à faire école !

Reportage du France 5 http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-dans-la-peau-d-un-patient-7943.asp?1=1

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

4

Intervenant

0 826 888 882 ; 04 67 61 27 67 ; [email protected] ; [email protected]

Discussion

Approfondissement collectif, synthèse et conclusions

Atelier Atelier 32 : mardi 27 novembre de 15h15 à 17h

Animation Gilbert MOUNIER, SoFGRES

06 22 04 03 20 ; [email protected]

Témoin Dr Claire GATECEL, pdt CME, CH Bézier .

06 68 84 41 33 ; [email protected]

Introduction, intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement des questions de la salle

1

Intervenant Dr Patrice ROUSSEL, HAS, expert en qualité et gestion des risques

06 08 35 77 21 ; 01 55 93 38 82 ; [email protected]

Discussion

2

Intervenant Joëlle MAGNANI, Directrice de la Gestion des Risques, Qualité et Développement Durable du groupe Médi-Partenaires

05 56 79 99 33 ; 06 24 02 06 63 ; 05 56 79 99 39 ; [email protected]

L'infirmier référent des patientsUn nouveau rôle qui améliore la qualité de la prise en charge des maladies graves

Nicolas LE FELIC, cadre de santé, animateur du programme Antiope, Clinique Saint-Roch, Montpellier [Trophee FHP]

L’écoute, l’empathie, la confidentialité, le niveau d’informations fournies, les possibilités de choix éclairé : pas seulement lors de ce colloque singulier, mais intégrés au parcours de soins. Or cette dimension vient après les autres, s’il reste encore du temps et de l’énergie ! La qualité de la prise en charge du cancer du sein pose mille défis médicaux mais aussi paramédicaux, éducatifs, sociaux, relationnels. La clinique Saint-Roch s'est inspirée de l'expérience canadienne des "infirmières pivots" et a monté le programme ANTIOPE. C'est tout un écosystème relationnel : l'organisation de la fonction de référent, la réflexion interne sur l'ensemble des attitudes médicales et paramédicales, qui vont au-delà des actes et de la geste de soins, l'accueil, la prise en charge des patientes, la disponibilité 7 j / 7, la remise à chacune d'elles d'un livret, l'accompagnement avant / pendant / après sur ce qui influe sur la vie de la patiente, etc.

Non seulement, nous avons ici un modèle de prise en charge globale de la personne atteinte de maladie grave, mais nous avons aussi une nouvelle approche de la qualité avec un très beau rôle pour la fonction soignante. L'évaluation multiciritère présentée ici inclut l'analyse économique et nous ouvre des perspectives nouvelles tant dans la prise en charge des maladies graves et longues chez l'adulte que chez l'enfant ou la personne âgée. La qualité du relationnel à la personne sert la qualité des soins.

Simplifier la gestion des risques ?Le guide HAS c'est bien, mais maintenant qu'est-ce qu'on fait ?

Tout d'abord, que fait la direction ?Mettre en place un contexte favorable

Cette année, la HAS a publié le vademecum de la gestion des risques : 40 pages essentielles et de très nombreuses fiches pratiques. La gestion des risques est une fille de l'analyse systémique des organisations. Le risque est intrinsèque à la nature de l'organisation. Les grands facteurs émergeant du risque sont au niveau des choix stratégiques, puis en dessous au niveau de la coordination et du pilotage des activités et encore en dessous au niveau opérationnel. Encore trop rares sont les directeurs qui voient la Qualité et la Gestion des Risques comme un outil de management global et cohérent, dont la direction générale est le pivot. Beaucoup sont ceux qui la confient à une direction technique déléguée, la DQGR. Or le niveau de performance comme le niveau de risques sont collectfs, dans tous les pays, dans tous les types d'établissements. C'est pourquoi le guide de la HAS inclut notamment 8 pages pour les chefs d'établissements et les présidents de CME. Les analyses des événements graves le montrent invariablement : les causes profondes, celles de 4e ou 5e niveaux relèvent toujours du facteur humain, managérial et organisationnel.

Depuis une décennie, l'analyse de Shortell fait référence. La maîtrise du risque systémique suppose d'investir quatre champs : le champ stratégique (avec la gouvernance légitime pour valider les analyses globales, les orientations, les budgets, les niveaux d'exigence de la feuille de route), le champ culturel (avec les principes de la culture qualité et sécurité), le champ structurel (avec l'organisation des responsabilités managériales et des expertises) , le champ méthodologique (avec les outils et les démarches). Chaque champ participe au risque et à la sécurité globale. - Mieux vaut que les quatre champs soient effectivement investis plutôt que certains soient forts et d'autres faibles. Là-dessus, que fait la direction ?- Mieux vaut quelques outils, principes et raisonnements partagés par tous plutôt que des outils complexes entre les mains de supers experts dans un monde de supers ignorants. Là-dessus, que fait la direction QGR ?Enfin, pour répondre à la question "Et maintenant, que fait-on ?", on analysera les outils du guide à la lumière des critères : "A utiliser toujours", "A utiliser parfois" et "A utiliser spécifiquement".

Ensuite que fait la direction QGR ? Fournir à chacun son couteau suisse à trois lames et, sur le terrain, chacun utilise le couteau suisse

Et maintenant que fait-on ? Dans cet atelier nous aborderons concrètement trois de ces outils à usage élevé : nous montrerons leur mode d'emploi et l'usage réel qui en est fait dans des situations type très fréquentes. La séquence est très visuelle, très interactive, comme en situation réelle, sur le terrain. Et nous expliquerons notre choix.Notre choix consiste à nous rapprocher de notre idéal : celui de "bien faire" voire de "très bien faire" les fondamentaux en réponse à 80% des situations courantes. - Cela suppose des outils et des approches bien adaptées au terrain, donc bien conçus. Et de bien le faire toujours, partout, avec tous. Ceci est TRES PRATIQUE et TRES EXIGEANT. Notamment dans la mise en oeuvre et dans l'obtention de résultats.- Cela suppose une bonne diffusion des moyens, un bon déploiement des compétences, un bon engagement collectif. Ceci est TRES MANAGERIAL et TRES ORGANISATIONNEL. Notamment auprès et avec l'encadrement de proximité, dans tous les métiers de l'hôpital.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Discussion

3 Comment progresser collectivement ? Dans nos établissements ? Tous, globalement ?

Synthèse et conclusions

Cette vision relativement simple et pratique est corroborée dans la littérature par les multiples analyse des organisations qui sont très avancées sur le chemin de la qualité et de la sécurité. Elle nous évite de complexifier le traitement des situations-problèmes. Elle implique tout le monde. Elle suppose de se fabriquer son couteau suisse avec ses éléments de base et de le diffuser à grande échelle. Elle facilite notre progression collective sur l'échelle de maturité, dans la durée. Ainsi, nous le constatons, nous devenons davantage pro-actif et nous commeçons à avoir des raisonnements intégrés. Les résultats sont meilleurs, plus rapides, plus durables. L'approche du risque et des dangers d'une part, l'approche de la qualité et de ses opportunités d'autre part sont progressivement intégrées à notre culture, à tous les niveaux ainsi que dans nos modes de fonctionnement et de prise de décision. Le traitement des sutuations problèmes n'est pas plus simple (la réalité n'est pas simple), mais il est nettement plus fluide et plus efficace. La question maintenant est moins celle des outils et des démarches que celle du niveau de qualité/sécurité que nous voulons atteindre tous ensemble. Autrement dit, franchir ensemble un niveau de maturité et de sécurité supérieurs.

1) Franchir collectivement, étape par étape, un palier de maturité, donc maîtriser de mieux en mieux le déploiement des outils de gestion des risques et obtenir des résultats de plus en plus solides, constituent pour chaque organisation un nouveau défi dans les quatre dimensions de Shortell. La gouvernance de ce changement implique tous les métiers. Aucun outil n'est neutre. Chaque outil suppose un usage éclairé. Toutes les actions de progrès s'inscrivent dans un contexte local où le management conditionne leur succès. Alors les établissements pourront progressivement élargir leur spectre d'intervention et obtenir des résultats plus élevés. 2) Comment globalement faire le retour d'expérience du Guide de la HAS en 2017 ?

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Atelier Atelier 33 : mardi 27 novembre de 15h15 à 17h

Animation Gérard PARMENTIER, secrétaire général de l'UNHPC

01 30 32 43 11 ; [email protected]

Introduction : intérêt de l'atelier, présentations, rappel des règles des échanges, enregistrement des questions

1 L'ANAP et la HAS ensemble : une coopération étroite au service des acteurs du bloc opératoire

Intervenants

01 55 93 37 01 ; [email protected] ; 01 57 27 12 44 ; [email protected]

2

Intervenant Prénom NOM, titre, clinique Jules Vernes, Nantes

Intervenant

Bloc et chirurgie ambulatoireDernières leçons en qualité, sécurité, organisation, management

Rappel : le décret du 20 août 2012 renforce les exigences de qualité et de sécurité en chirurgie ambulatoire.Le contexte de la chirurgie n'est pas simple : il comprend de nombreuses spécificités locales et nationales. Le défi est donc très élevé : atteindre les objectifs des CPOM, en qualité / sécurité / performance. Aucune solution n'est simple, contrairement aux propos de marchands d'illusion, lesquels sont souvent éloignés de la vraie vie du bloc. Toutes les dimensions sont concernées, dont le taux d'occupation du bloc, les taux de PEC en chir ambulatoire, de délai d'envoi des CRH et de réhospitalisation, la rémunération des activités du bloc, l'évolution des besoins spécialité par spécialité, les conditions humaines d'une transformation du bloc, etc. Prenons le taux d'occupation du bloc, futur indicateur contractuel avec les tutelles : quatre voies se présentent pour progresser. La démarche d'efficience : bien ; la démarche qualité : bien ; les deux démarches ensemble : très bien ; l'une des deux dominant l'autre : rien de va plus.

Dans cette perpective, nous verrons le rôle spécifique de l'accompagnement QGR des activités du bloc. Pas dans une optique bureaucratique, mais dans celle d'une véritable valeur ajoutée pour les professionnels du bloc et pour les patients. En voici la démonstration. Car nous ne sommes plus en 2010 ! Les retours d'expérience sont issus de la chirurgie ambulatoire comme de la chirurgie conventionnelle. Les réels progrès des dernières années nous apportent des arguments aujourd'hui très solides, certains sont nouveaux. Nous en ferons ici le point en qualité, sécurité, organisation, management et conduite du changement.Il faut le savoir : en 2013, des moyens, des ressources et des retours d'expérience permettent de passer à la vitesse supérieure.

Jean-Patrick SALES, directeur délégué, HASDr Christian ESPAGNO, ANAP, chargé du déploiement opérationnel des chantiers d'appui en chirurgie ambulatoire, ancien neurochirurgien puis directeur de la Clinique des Cèdres (31)

Rappel du cadre et des enjeux. Pourquoi la HAS et l'ANAP sont-elles ensemble sur l'évolution des blocs opératoires ? Parcequ'il y a un enjeu national et qu'il faut aider les professionnels dans la progression nécessaire. Trois niveaux de risques sont en présence.1. Le risque patient, le risque médical, le risque technique.C'est le domaine essentiel des chirurgiens, anesthésistes et paramédicaux, et notamment de leurs sociétés savantes. Mais il est lié aux autres niveaux. Il produit de la qualité, de la sécurité, de la bientraitance.2. Le risque organistionnel, fonctionnel. C'est le domaine essentiel de l'organisation du flux, de toutes les activités en amont et en aval. Là se révèlent immédiatement tous les dysfonctionnements potentiels et les aléas. Il produit de l'efficicence. Il facilite ou handicape le niveau précédent. 3. Le risque institutionnel. C'est le domaine de la conduite du changement, du jeu d'acteurs, des contraintes locales et du niveau de maturité de tout l'éco-système. Il ne soigne personne mais il conditionne les niveaux précédents.

C'est donc ensemble que nous apprenons à progresser, à retenir les leçons aux trois niveaux. Comme en témoignent les expériences récentes, des amélioratons considérables sont possibles. Interactions avec la salle sur les démarches de l’ANAP pour favoriser le développement de la chirurgie ambulatoire. Une approche par chantier concret, non normative. Six dimensions travaillées simultanément, dans chaque chantier : le médico-économique, le flux et son organisation, les indicateurs, l'accréditation, etc.

Visite pratique en chirurgie ambulatoire : pourquoi et comment nous avons fortement progressé en associant qualité, sécurité et efficience organisationnelle (retours d'expérience de deux chantiers de terrain)

Dr Hélène SOLUS, médecin anesthésiste, Céline BURKHARDT, cadre, Unité de chirurgie Amabulatoire, CHI Poissy-Saint-Germain01.39.27.52.85 ; [email protected] ; [email protected]; ; 06 65 87 34 11 ; 01 47 36 41 01 ; [email protected]

En dialogue avec la salle et sur la base d'illustrations, notamment ce point clé : l'organisation très minutieuse des flux et les conditions d'un fonctionnement collectif sans stress sur le principe de la marche en avant. Revue des distinctions importantes relatives aux circuits courts et aux circuits longs.

"Vécu et vu du patient" : vidéo d'une prise en charge optimale à toutes les étapes (Clinique Mathilde, Rouen)

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

3

Intervenant Dr Henri BONFAIT, Hôpital Franco-Britannique (92 Levallois-Perret), ORTHORISQ

01 47 59 18 61 ; [email protected]

Synthèse et conclusions

Atelier Atelier 34 : mardi 27 novembre de 15h15 à 17h ANNULE ANNULE ANNULE ANNULE

Restitution posters, images et vidéos pour la qualité

Animation Christophe GEISLER, commissaire des JIQHS et AFQHO

01 45 46 19 00 ; [email protected]

Témoin Introduction, présentations, règles des échanges

1 Restitution des posters primés et nomminés

Visite pratique en chirurgie conventionnelle : pourquoi et comment nous avons fortement amélioré la qualité et la sécurité par un fonctionnement plus collectif réduisant les risques et améliorant la qualité et l'efficience.

L'amélioration du processus de prise en charge chirurgicale conventionnelle est ici obtenue grâce à des outils extrêmement pratiques et pertinents mis au point par Orthorisq, qui coordonne les démarches qualité en chirurgie traumatique et orthopédique. Ils recouvrent :1) Les aspects organisationnels 2) Les facteurs de risques avec la déclaration des EPR, événements porteurs de risques, 3) Les aspects qualitatifs avec l'analyse des causes réelles, y compris les facteurs humains. Le chemin clinique, indispensable, n’est que la traduction opérationnelle d’un fonctionnement collectif en process.La boîte à outils n'est pas tout : la démarche compte. Le travail inter-spécialités permet, outre la mise en place de barrières efficaces, la prise de conscience du fonctionnement collectif en process. Il en résulte des modifications de comportement et des anticipations sécurisantes exemplaires. Remarquable travail, soit dit au passage.Les chirurgies conventionnelles et ambulatoires rapprochent leur modus operandi grâce aux démarches qualité / sécurité.

Discussion sur les progrès en cours même si nous n'avons toujours pas de "tarif identique" (sauf exceptions rares) quelque soit le type de séjour choisi par le trio chirurgien-anesthésiste-patient

Rappel : Les trois indicateurs proposés pour les prochains CPOM sont :- le taux de chirurgie ambulatoire,- le taux d’occupation des blocs opératoires,- le délai d’envoi des comptes-rendus d’hospitalisation (CRH).C’est un concentré, un jus de qualité, il est vraiment difficile de concentrer plus…

UTILE et NOUVEAU. Document du NHS anglais "Day surgery: operational guide". This guide is an aide to managers and commissioners to improve efficiency in day surgery units. The NHS Plan sets the patient firmly at the center in order to reduce waiting times, implement booking systems and introduce choices. It requires fundamental changes in practice, to "do things differently". Téléchargeable sur http://www.dh.gov.uk/en/Publicationsandstatistics/Publications/PublicationsPolicyAndGuidance/DH_4005487

connexion@

Prix Poster MIEUX SOIGNER ENSEMBLE - prix du public - prix du juryPrix Poster MIEUX PROGRESSER ENSEMBLE - prix du public - prix du juryPrix spécial JIQHS 2012

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

2 Vidéo : qualité et pédagogie : exemple du CHU de Bordeaux

Intervenant Josseline BERTRAND-BARAT, resp des matério-vigilances, CHU de Bordeaux, MCU

Discussion

- Extraits de la vidéo pédagogique sur la pose du catheter veineux central- Reportage du France 5 : http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-dans-la-peau-d-un-patient-7943.asp?1=1- Vidéos pédagogiques surprises pour sensibiliser à la qualité et aux conduites du changement : deux belles américaines !

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Atelier Atelier 35 : mardi 27 novembre de 15h15 à 17h

Témoin Anthony STAINES, Ph.D., Suisse, Recherche en qualité, sécurité et management des systèmes de santé

Introduction, présentations, règles des échanges, questions de la salle ?

1

Intervenant M. WENDLING, responsable transports internes, Mme CHOLET, adjointe, CH de Valenciennes

06 07 64 91 89/ 06 45 14 86 89 ; [email protected]

Discussion

2

Intervenant Nathalie SAC WANDERVILDT, responsable QGR, groupe Saint-Vincent, Strasbourg

03 88 21 71 37 ; [email protected]

Discussion

3

Intervenant Bruno PEREZ, directeur de CALMES

04 93 40 69 99 ; [email protected]

Discussion

4 Annonce flash de poster : P101 CH La Rochelle - Chimiothérapies

Halte aux dysfonctionnements quotidiens Tous concernés

00 41 21 800 01 72 / 43 243 76 70 ; [email protected]

Mais où est le patient ? Réduire les dysfonctionnements quotidiens par une approche technique : le cas du brancardage

Mille dysfonctionnements par jour naguère. Proche du zéro défaut aujourd'hui. Obtenir un flux FLUIDE au brancardage, et sans baguette magique : les patients, les professionnels et les brancardiers eux-mêmes en rêvent. Mais le rêve est difficile à réaliser et parfois le cauchemar stresse toute la structure de soins.Voici une belle histoire d'amélioration continue et de lutte contre mille dysfonctionnements dont tout le monde a de bonne raisons de se plaindre.

Traiter les dysfonctionnements au fil de l'eau et selon leur gravitéRéduire les dysfonctionnements quotidiens par une approche méthodologique : le circuit des EI

Trois points clés :- dynamique des EI couvre le champ des dysfonctionnements quotidiens : le traitement rapide est la clé de la crédibilité et de l'efficacité- des petits problèmes peuvent en cacher des gros, ou des graves ou des complexes : alors pas de précipitation mais un suivi et au moins une réponse- le management de proximité et la communication en retour sont au coeur de cette dynamique.Derrière chaque dysfonctionnement, il y a quelqu'un ! Bien plus qu'une méthodologie, un état d'esprit, une volonté, un plaisir de faciliter la vie des autres. Quelles difficultés, ques pièges, quelle erreurs éviter ? Retour d'expérience sur l'un des fondements de toutes les démarches QGR !

La direction au service du terrain : le modèle inversé, testé et approuvé dans une SCOPRéduire les dysfonctionnements par une approche managériale

Le traitement au fur et à mesure des dysfonctionnements quotidiens repose sur deux triptyques :1) Ils apparaissent régulièrement et de façon imprévisibles2) Ils sont intolérables pour les professionnels, et leur impact est maximal au niveau du terrain et du patient, minimal aux niveaux supérieurs3) On peut les réduire fortement et tout le monde y gagnePourtant, peu d'établissements peuvent affirmer : "Nous maîtrisons". Modestement, un établissement vient témoigner. Car il s'y passe quelque chose d'intéressant qu'il faut partager. 4) Le traitement des petits problèmes est plutôt rapide5) La façon de s'y prendre n'est pas neutre. On peut parler de méthode...6) Le management s'y implique fortement. Le fait que cet établissement soit une société coopérative serait-il le secret ? Ou plutôt : ayant placé le management participatif au fondement de leur fonctionnement, n'ont-ils pas réussi tout simplement à éviter qu'un fossé ne se creuse entre la base et le sommet ? Le sommet au service de la base : le modèle est inversé, testé et approuvé. Il faut nous en inspirer.

Approfondissement collectif enrichi avec l'apport du témoin : les démarches collaboratives et proactives, un apport méthodologique pour réduire les dysfonctionnements sur des thèmes ciblés. Exemple suisse : réduire de 20% les événements indésirables liés au médicament, en 18 mois, dans 10 établissementsSynthèse et conclusions

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Atelier Atelier 36 : mardi 27 novembre de 15h15 à 17h

Animation

Tél : 01 41 13 18 13 ; 06 81 25 09 17 ; [email protected] ; Tél : 06 79 18 38 10 ; [email protected]

1 A l'épreuve du feu, de la routine et de soi

1a A l'épreuve du feu

Intervenant Dr Nelly LAVILLUNIERE, chef de la Cellule Médicopsychologique, Brigade des Sapeurs Pompiers de Paris

Bur : 01 53 55 23 70 ou 1 330 580 ; Sec : 01 53 55 23 56 ou 1 330 503 ; [email protected]

1b A l'épreuve de la routine

Intervenant

06 80 66 77 11 ; [email protected]

1c A l'épreuve de soi, l'art de manager et de dialoguer au féminin comme masculin

Intervenant Isabelle HASTINGS, sophrologue et formatrice

06 99 72 53 29 ; [email protected]

2 L'art de débriefer, une approche spécifique en santé ?

Approfondissement collectif, synthèse et conclusions

L'art de débriefer en 2012 : l'art d'apprendre de nos expériencesUne dimension clé de la qualité en équipe : staff, CREX, RMM, CoDir, en réunions périodiques...

Angela MINZONI Professeur, Ecole Centrale ParisDr Patrick TRIADOU, MCU, Paris Descartes, Hôpital Necker

Introduction, intérêt de l'atelier, présentation, règles des échanges, questions de la salle L'art de débriefer : apprendre de nos erreurs comme de nos échecs, de nos forces comme de nos réussites, en développant l'écoute active collective, le respect et l'interdépendance au service de la cohésion d'équipes et de l'intérêt des patients. Il faut un climat d'adhésion. Si le climat est tendu, si chacun est sur la défensive, alors ça dérive sur autre chose. Le débriefing est envahi pas les sujets connexes et l'un d'eux devient le sujet principal. Comme le révélait Chris Argyris "Alors la bonne communication se révèle une fausse communication qui bloque l'apprentissage réel des acteurs".

L'art de débriefer, comme l'art de briefer, sont des compétences collectives qui s'apprennent peu à peu, à l'épreuve du feu comme à celle de la routine. Tous les sujets sont évoqués : techniques, humains, organisationnels, plus ou moins urgents, plus ou moins importants. Il faut savoir libérer la parole mais aussi la contenir, sélectionner les informations sans les étouffer. La subjectivité et l'objectivité devraient y prendre toute leur place, c'est-à-dire suffisamment libres et canalisées. Cet art collectif devient de plus en plus un facteur clé de la performance, de la maîtrise des aléas et des crises. C'est surtout une source importante de satisfaction au travail. Des techniques, des méthodes et du vécu aident à s'améliorer. Certaines équipes ont progressé dans cette direction : écoutons-les et inspirons-nous d'elles. Nous sommes au coeur de la qualité du facteur humain !Pour lire l'interview d'Angela Minzoni "How men and women manage projects and risks differently" : www.pm4girls.elizabeth-harrin.com/

L'art de débriefer, comme l'art de briefer, sont des compétences collectives qui sont requises quand on vit l'épreuve du feu. Cela suppose aussi de tenir compte de cette expérience singulière où les acteurs sont dans le dépassement de soi et d'où ils peuvent sortir renforcés ou usés, grandis ou détruits. Individuellement et / ou collectivement. Que nous dit l'expérience des sapeurs pompiers ? Que nous apprend l'analyse clinique de ces situations ? En quoi nous vivons des expériences comparables et dissemblables mais dont nous pouvons tirer des perspectives utiles de progrès, notamment dans des situations potentiellement favorables aux risques psychosociaux, objet d'importantes réflexions tout au long de ces JIQHS ?

Michel BELLEZIT, enseignant, formateur, consultant, membre du MFQ, mouvement français pour la qualité (a travaillé notamment avec l'industrie, les militaires et la santé)

L'art de débriefier, comme l'art de briefer, sont des compétences collectives qui s'apprennent aussi à l'épreuve de la routine. C'est un facteur clé d'amélioration des interactions et du relationnel, donc de la maîtrise des multiples aléas et des risques émergents. C'est une importante source de respect mutuel et de satisfaction au travail. Au fil de l'eau, il s'agit plus d'un savoir faire et d'un savoir-être. Mais des techniques simples sont utiles. Le 3 fois 3, vous connaissez ?

Féminin versus masculin. Hommes et femmes, nous n'avons pas une même vision de la qualité (titre d'un atelier des JIQHS 2011). Ce thème que nous approfondissons ici cette année, part de cette reconnaissance : nous ne nous autorisons et nous ne nous interdisons pas les mêmes postures. Nous ne sentons pas les mêmes sensations. Nous ne nous ressourçons pas de la même façon et nous n'entendons pas les mêmes choses. Impasse ou richesse en santé ? Mais nous avons tous des facteurs communs de stress et de difficultés. Pour encadrer, manager, animer, il faut des ressources personnelles sur lesquelles comptent les équipes. L'art de briefer et de débriefer s'épanouit quand celles et ceux qui le pratiquent sont en mesure de le faire. Il faut être en mesure de se projeter en confiance, de gagner en assertivité, de témoigner d'une pensée positive pour que les moments collectifs soient aussi des lieux de vie apaisés. Nous aborderons ici, une vision enrichie grâce à la sophrologie ainsi que divers trucs, astuces et compétences pratiques :- pour repérer chez soi des signes de tension, prendre la bonne distance par rapport aux événements, - pour développer ces ressources personnelles si nécessaires dans les situations de management, de travail en équipe, de relations au quotidien ou en terrain tendu.

Analyse et réflexion collective, introduite et animée par les modérateurs. Une approche adaptée du management issu du secteur privé et, en retour, un enrichissement du management grâce au regard spécifique de la santé.

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Programme et Liste des Intervenants 13èmes JIQHS Version au 05/11/2023

Atelier Atelier 37 : mardi 27 novembre de 15h15 à 17h

Animation Anne GUIDAT, Donata MARRA, Celine SCHNEBELEN

n° de tél ; adresse du courriel

1 Réaliser l’annonce a d'importantes répercussions positives : c'est une démarche qualité

Intervenant Dr Anne GUIDAT, Coordonnateur des risques associés aux soins, CHRU Lille

03 20 44 68 40 ; 06 40 21 48 71 ; [email protected]

2 De la théorie à la pratique, passez par la simulation.

Intervenant

06 14 35 74 59 ; [email protected]

3

Intervenant Céline SCHNEBELEN, chef de projet, HAS

01 55 93 37 22 ; [email protected]

4 Discussion : comment développer la simulation individuelle ?

Intervenant Anne GUIDAT, Donata MARRA, Céline SCHNEBELEN

Synthèse

Simuler le risque individuelApprenez en pratiquant sans prendre de risques : exemple de l'annonce au patient d'un dommage lié aux soins

Introduction : intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement des questions de la salleSimulation vivante des risques, jeux de rôles, formations non culpabilisantes et communication dans l'apprentissage des situations difficiles : un enjeu grandissant, pressant et… intéressant : le professionnel transforme sa vision et son savoir être afin de mieux accompagner le patient. Et de tirer parti de situations malheureuses afin d'éviter leur renouvellement.

Certains pays ont mis en oeuvre des structures spécialisées d’aide 24/24 aux médecinsQuébec : www.pamq.org Suisse : http://www.fmh.ch/fr/services/remed.htmlFrance, pour les médecins libéraux : http://www.aapml.fr/

Promouvoir la bonne annonce d’un dommage associé aux soins suppose d'y associer d'une part des mesures de prévention et de protection des risques psychosociaux pour les professionnels; d'autre part des mesures de promotion du signalement; enfin des mesures garantissant le recueil et l'archivage de toutes les informations utiles. Lorsque survient un EIGAS, le professionnel de santé est confronté à une palette d’émotions négatives : peur, culpabilité, colère, humiliation et sentiment d’isolement. Leurs conséquences peuvent être graves, allant d'une déstabilisation passagère à des troubles psychiatriques et somatiques à long terme (troubles végétatifs, insomnies, isolement, syndrome d’épuisement professionnel, syndrome dépressif ou dépression avérée, suicide). Le sentiment de culpabilité n’est pas forcément corrélé à la réalité des faits. Les erreurs entraînent souvent un sentiment de dépersonnalisation et d’épuisement émotionnel. Cette baisse de l’empathie et le syndrome d’épuisement au travail accroissent la probabilité d’un incident dans les mois qui suivent.

Le doute modifie les pratiques, dégrade les performances et augmente le risque d’erreurs. Il incite à une « médecine défensive » : augmentation des actes diagnostics, des demandes de consultations spécialisées, évitement des activités à risques. Lorsque survient un EIGAS, c’est l’ensemble de l’équipe qui est impacté. Des mesures d’accompagnement simples peuvent être mises en œuvre : un débriefing au sein de l’équipe, le conseil individuel et l’analyse des causes latentes. Le soutien par l’entourage proche, de la part des collègues mais aussi de l’encadrement doit permettre d’offrir une écoute sans jugement et l’expression des émotions. Une prise en charge individuelle spécialisée peut parfois être necessaire.

La promotion du signalement est également indispensable. La recherche des causes latentes, suite à un signalement, permet de répondre aux demandes d'explications des patients, participe à la reconstruction de la confiance des professionnels de santé dans leur capacité et permet de transformer un évènement indésirable en une action positive d'amélioration des pratiques. Enfin, il est bien sûr indispensable d'adosser l'ensemble de ces mesures à un archivage efficace permettant de mettre à disposition de tous les informations nécessaires. Réaliser l’annonce à des répercussions psychosomatiques positives : accepter des excuses permet de sortir de la colère et d’envisager le pardon et cela améliore la qualité de vie du patient victime. Ne pas mentir au patient, même par omission, c’est respecter sa dignité, et maintenir une relation humaine de confiance. Réaliser l'annonce lorsque survient un EIG fait partie intégrante de nos métiers, il est donc indispensable de se préparer, de se former.

Dr Donata MARRA, PH psychiatre à La Pitié Salpêtrière et formatrice sur le dispositif d'annonce, responsable du bureau-interface professeurs-étudiants de l’université Pierre et Marie Curie

Le professionnel est au cœur du facteur humain, il EST le facteur premier humain, vivant, subjectif. - Situation n°1 : présentation, mise en scène, réaction de la salle, débriefing et conclusions avec l'ensemble des intervenants- Situation n°2 : idem- Situation n°3 : idem

Attention : il s'agit de saisir la nécessité de former par la simulation et les jeux de rôles, de voir les spécificités en santé et en situation grave et complexe comme dans le cas de l'annonce. Il s'agit aussi d'identifier comment on peut développer cette approche, rapidement, sous conditions, et d'éviter les pièges. Il ne s'agit donc pas d'une formation-action où les participants s'entraineraient ici à mieux préparer et conduire les entretiens d'annonce.

Voir séance Découverte 6 et Atelier 14 !

Suivez le guide !Oui mais comment ?

Guide HAS : "Annonce d'un dommage associé aux soins" téléchargeable en ligne. Voici la présentation du guide, rien que le guide et tout le guide : tout ce qu'il faut savoir… en 15mn.

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ANNUAIRE Nom Prénom

Mme ABDELMOUMENE Nafissa

Intervenant Mme AFTIMOS Stéphanieco-intervenant Mme AGOSTINO IsabelleIntervenant Mr AGUADERO AdelineIntervenant Mr ALAIN Didier

Intervenant Mme AMMIRATI Christine

Intervenant Mr ANASTASY Christian

co-intervenant Mr ANDRE FrédéricIntervenant Dr ANGENARD FrançoisIntervenant Mr ARIF Salah Eddine

Intervenant Mme BABU Anne-Alexandra

Intervenant Mme BACACHE Maya

co-intervenant Mme BARRANDON Frédérique

Dr BATAILLON Rémi

Intervenant Mr BECCAVIN Stéphane

Intervenant Mme BEHAGEL Cécile

animateur Mr BELAL Farès

Intervenant Mme BELLEZIT Michel

Intervenant Mme BELONI Pascale

Intervenant Mr BEN SAAD Farat

Intervenant Mme BENZAKEN Sylvia

Témoin discutant

Témoin discutant

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Intervenant Mr BERARD François

Témoin Mme BERGER Valérie

témoin Mr BERNARD Claude

Intervenant Mme BERT Martine

Animateur Mr BERTRAND Eric

Intervenant Dr BERTRAND-BARAT Josseline

Intervenant Mme BEUGNON Stéphanie

Intervenant Mr BIGO Bertrand témoin Mme BOCQUET NathalieIntervenant Mme BOISSON CécileIntervenant Mr BONFAIT HenriIntervenant Dr BONTEMPS Gilles

Intervenant Mr BOUCHER Aurélien

Intervenant Mr BOUDET Guy

animateur Dr BOURGAIN Jean-Louis

Intervenant Mme BOURGEOIS Eliane

Co-animateur Mme BOUSSEAU Marie-Anne

Intervenant Mr BOUTONNET Cédric

Intervenant Mlle BOYER Marie

animateur Mr BRUNEAU Charles

Intervenant Mr BRUNEL Camille

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Intervenant Mme BURKHARDT Céline

Dr BUSCAIL Sandrine

animateur Mme BUSCOZ LaetitiaMr CAILLET René

Co-animateur Dr CAILLETTE-BEAUDOIN Agnès

Intervenant Mr CERETTI Alain-Michel

Intervenant Dr CHABLOZ Claire

co-intervenant Mme CHAINE NathalieIntervenant Mme CHEVALIER Nasseraco-intervenant Mme CHOLET Nathalie Intervenante Mme CLAVEL Stéphanie Intervenant Dr CLEMENT Isabelle

Intervenant COLIN Christian

animateur Mr COLLOMP Remy

co-intervenant Mme COPPEE Marie Cécile

Intervenant Mme COTTIN Sandrineco-intervenant Dr COUSEIN Etienne

Animateur Mr CREPIN Daniel

Intervenant Dr DAUCOURT Valentin

Intervenant Dr DE GUISE Michèle

Intervenant Mr DE HEDOUVILLE Jean

Intervenant Mr DE MONTGOLFIER Denis

Intervenant Pr DECOULX Marc

Témoin discutant

Témoin discutant

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co-intervenant Mme DECROZALS Françoise

Intervenant Mme DELABY Sandrine

co-intervenant Mme DELAIDE Valérie

animateur Mr DESUZINGES Dominique

co-intervenant Mme DIZET SophieIntervenant Mr DOUCHAMPS Jacques

témoin Mr DOUESNEAU Christophe

co-intervenant Mr DU PORTAL Huguesanimateur Mme DUFAY EdithIntervenant Mr DUFOUR Pascal Intervenant Mr DUFOURT Laurent

animateur Mme DUMAY Marie-Françoise

Mr DUROUSSET Jean-Loup

Intervenant Mr ERRERA Vincent

Intervenant Dr ESPAGNO Christian

animateur Mme EYMARD Chantal

animateur Dr FABRY JacquesIntervenant Mme FAU Corinne Intervenant Mr FAUCONNIER Dominique Intervenant Mr FAURE AntoineModérateur Mr FORCIOLI Pascal

Intervenant Mme FRAISSE Pascale

Intervenant Dr FRENKIEL Jérôme

Témoin discutant

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Intervenant Mr FRITSCH David

Intervenant Dr FUZ Frédéric

Intervenant Dr GANDON Thierry

animateur Dr GARASSUS Paul

Intervenant Mme GARCELON Sophie

Intervenant Mr GARCIA Yannick

Intervenant Mr GAREL BenjaminJury pédagogiqu Dr GATECEL Claire Intervenant Me GAUSSENS Evelyne

Intervenant Mr GEISLER Christophe

Intervenant Pr GENTRIC ArmelleIntervenant Mme GHADI Véronique

Intervenant Mme GOLOKO Oumou

Animateur Dr GOUGET BernardAnimateur Pr GRANRY Jean-ClaudeIntervenant Mme GRENIER Catherine

Animateur Dr GRUSON Anne

Intervenant Dr GUARINOS Anita

Animateur Mme GUERI Christine

Intervenant Dr GUIDAT Anne

Intervenant Mme GUILLAIN PascaleIntervenant Mr GUILLAUDIN ChristianAnimateur GUIRAUD-BONNEAU Anneco-intervenant Dr GUIRIMAND Frédéric

Intervenant Mr HAAS Didier

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Intervenant Dr HANON Cécile

Intervenant Dr HAOND Pierre Intervenant Pr HAROUSSEAU Jean-Luc Intervenant Mme HASTINGS Isabelle co-intervenant Mme HEBRAIL Marie Carmen

Animateur Mr HOSOTTE Jacques

Intervenant Dr HOUDRE Nicolas

Intervenant Mr HUDDLESTONE PhilippeIntervenant Mme HURET NatachaIntervenant Pr IDJADI Didiertémoin Mme JACQUERIE Agnès

Intervenant Mme JAMAULT Béatrice

Intervenant Mme JAMOT MurielIntervenant Mme JARDEL Aude

Intervenant Mr KHAY IsamIntervenant Mme KRET MarionIntervenant Mme LABBE Annie

Intervenant Mme LACHOR-HOUVER Doriane

Intervenant Dr LAGRANGE Fabrice

témoin Mme LAMBERT Elodie

Intervenant Mme LANOUE Mary-Christine

Animateur Mme LAVAL Martine

Intervenant Dr LAVILLUNIERE Nelly

Intervenant Mr LE FELIC Nicolas

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Témoin Mr LE LUDEC Thomas

Mme LE VOYER Anne-Claude

co-intervenant Mme LECERF Diane

Présidence Mr LEDORZE ChristianIntervenant Mme LEFORT Marie-Claudeco-intervenant Pr LEMARDELEY Gaelle

Table ronde Dr Armelle

Animateur Pr LEROUX Vincent

Intervenant Mme LEVET Pascale

Intervenant Mme LEVY Rachel

Intervenant Dr LIMPAR Peter

co-intervenant Dr LLORENS Mathieu

Intervenant Mr LORIC Nathanaël

Animateur Dr LUQUEL Laurence

Mme LUSSIER Marie-Dominique

Intervenant Mme MAGNANI Joëlle

Intervenant Mr MAIGNE DominiqueIntervenant Mme MAINY Nadia

Intervenant Dr MARCHAND-MAILLET Florence

Témoin discutant

LEPERRE-DESPLANQUES

Témoin discutant

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Intervenant Dr MARRA Donata

co-intervenant Mme MASSON Nathalie

Intervenant Dr MASSOT Michel

Intervenant Mme MESSNER Laetitia

Intervenant Mme MEYRIEUX Charlotte

Intervenant Mme MIEGE Capitaine Audrey

Intervenant Mme MINBIELLE Aurélie

Animateur Pr MINZONI Angela

Animateur Dr MOLL Marie-Christine

Intervenant Mr MOREL Christian

Mr MOULAIRE Marc

Animateur Mr MOUNIER Gilbert

Dr NACHIN Patrick

témoin Mr NOTO René

Intervenant Pr NYSSEN Anne-Sophie

Intervenant Pr ORLIAGUET Gilles

Animateur Mme OUMAHI Jamila

Intervenant Mr OUVRARD RomainIntervenant Dr PARIENTE-KHAYAT AnnAnimateur Mr PARMENTIER Gérard

Mme PEOC'H Nadia

AnimateurTémoin Intervenant

Témoin discutant

IntervenantTémoin

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Intervenant Mr PEREZ BrunoAnimateur Dr PERNIN Françoisanimateur Mr PESTY Françoistable ronde Dr PETIT JeanIntervenant Pr PLAISANCE Patrick

Mr PLAVIS Jean-Luc

co-intervenant Dr PORCU Géraldine

Intervenant Mme PRONOST Anne-Marie

Intervenant Mr PRUSKI Marc

animateur Pr QUARANTA Jean François

animateur Mr QUEINNEC Laurent

Intervenant Pr RABAUD Christian

Intervenant Dr RENAHY Julie

Intervenant Dr ROUSSEL Patrice

Intervenant Mme RUAULT Geneviève

Intervenant Mme SAC WANDERVILDT Nathalie

Intervenant Dr SAILLOUR Florence

Intervenant Mr SALES Jean-PatrickIntervenant Pr SALOMON Jerômeco-intervenant Mme SAMI Yasmine

Mr SANZALONE Eric

Mme SCHERB Brigitte

Témoin discutant

Témoin discutant

Témoin discutant

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Intervenant Pr SCHMIDT Jeannot

Dr SCHMITT Bernard

Intervenant Mme SCHNEBELEN Céline Intervenant Dr SCHWARTZ-HAEHNEL Imelda Intervenant Mr SIAHMED Hamid Intervenant Dr SOLUS Hélène

Intervenant Mr STAELEN PatrickIntervenant Mr STAINES Anthony

Intervenant Mme SUTEAU Isabelle

Intervenant Mme SWAENEPOEL Julie

Intervenant Mr TALLA Majid

Mr THEBAUT Jean-François

Intervenant Mr THIVEAUD Dominique

Intervenant Mme TONOLI Anne

Intervenant Mr TOUSSAINT Jean-François

Animateur Pr TRIADOU Patrick

Intervenant Dr TRIPODI Dominique

Intervenant Mme VERBORG Soizika

Intervenant Dr VERHEYDE Isabelle

Intervenant Mr VERMOREL Michel

Intervenant Dr VIROT Claude

Témoin discutant

Témoin discutant

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Intervenant Pr VUITTON Dominique

Intervenant Mr WASILEWSKI Marc

Intervenant Mr WENDLING Jean-François

co-intervenant Mr ZANIBELLATO Franck

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MAIL Téléphone Portable Fonction

01 55 93 72 70

01 41 09 65 46

01 69 80 46 46

01 73 54 76 15

06 28 63 10 14

03 22 66 84 60

[email protected] 01 57 27 11 67 directeur général

03 27 14 36 60 DSIO

01 64 30 70 74 chef de service

Cadre paramédical

[email protected] 01 40 56 76 85

01 45 81 75 82

04 78 61 86 46

01 55 93 73 75

04 72 83 42 96 06 25 89 22 94

01 64 40 75 88

[email protected] 06 80 66 77 11

05 55 05 69 92

Directeur des soins

04 92 03 55 02

[email protected]

Chef de projet, Service

Développement de la certification

[email protected] 06 65 87 34 11

[email protected]

[email protected]

[email protected] 06 28 63 10 14

[email protected]

[email protected]

[email protected]

[email protected] 00 213770271086

chargée de mission à la MSIOS, DGOS

[email protected]@enst.frAuteur

"Les indicateurs absurdes"

[email protected] cadres de santé,

service des urgences

[email protected]

[email protected] Responsable santé France, courtage en

assurance

[email protected]

[email protected] Responsable Qualité

Formateur, enseignant

[email protected] Cadre supérieur de santé

[email protected] 00 41 22 719 64 80

[email protected] Vice presidente des CME

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06 70 24 62 91

06 26 83 61 86 Ancien DRH

[email protected] Chef de Projet

01 49 09 44 76

05 56 79 98 68 MCU PH

06 45 92 51 03

06 88 21 89 59 PDG

[email protected]

04 66 68 31 33 ergonome

01 47 59 18 61 Chirurgien

01 57 27 11 50 directeur associé

01 40 56 49 65

01 40 56 48 37

[email protected] 01 42 11 40 37

02 51 45 68 51

01 43 92 21 05 directeur

01 45 46 19 00

06 32 27 87 08

[email protected] 01 55 93 72 08 (sec)

Chef du service certification des

établissements de santé

[email protected]

Cadre supérieur de santé

Mission transversale de

recherche paramédicale

[email protected]

06 10 52 53 44

[email protected]@apr.aphp.fr 06 35 33 04 78

PrésidentCoordinateur des risques GH Ouest

Parisien

[email protected]

[email protected] 06 45 92 51 03

Responsable qualité

[email protected] 06 88 21 89 59

[email protected]

[email protected]

[email protected] 06 10 85 80 13

[email protected] Sous-direction de la régulation de l'offre

des soins

[email protected] du bureau de l'exercice et de la

déontologie06 60 44 20

15 chef du pôle blocs

opératoires

[email protected] ;[email protected] 20 10 20 82 / 90

06 33 18 26 05

coordonatrice générale des soins

[email protected] Réprésentante Usagers

[email protected]

[email protected] 74 48 97

85

[email protected] 06 09 34 65 50

[email protected]' 06 32 27 87 08

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01.39.27.52.85

03 21 79 60 67

01-56-88-03-04 directrice

01 53 83 56 56

[email protected] 04 74 31 30 95 médecin directeur

01 46 99 04 45

04 72 11 54 60

04 92 55 11 49

[email protected]

03 27 14 76 80 Adjointe

[email protected] 02 37 30 30 50 Pharmacien

[email protected]

[email protected]

04 92 03 62 74 SFPC

cadre du service

03 27 14 01 27 Pharmacien

06 10 77 91 50

[email protected] 03 81 61 68 10

04 72 52 99 75 Cartographe

[email protected] 06 10 24 71 12

[email protected] 03 20 44 47 26 06 09 12 79 61Président

[email protected], Unité de

chirurgie Amabulatoire

[email protected] 06 14 09 92 89

Directrice médicale, de la qualité et des relations avec les

usagers

[email protected]

[email protected]

[email protected]

Défenseur des droits, responsable

du pôle santé, fondateur du LIEN

[email protected]édecin

coordonnateurCEPPRAL /FORAP

[email protected]

01 34 23 28 5734 23 24 25

Responsable Qualité

[email protected]

[email protected] 06 18 48 50 92

[email protected] 00 32 71 92 51 08

[email protected] 04 72 11 76 52 / 76 45

[email protected]

[email protected]

Secrétaire de la FORAP

[email protected] 001 514 890 80 45

directeur de la Qualité

[email protected] 06 29 52 44 79

06 10 24 71 12

journaliste, formateur, enseignant

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[email protected] 04 90 27 60 40 Pharmacienne

03 20 44 60 36

05 55 05 69 92

04 78 56 41 63 pharmacien

03 85 92 84 06 Pharmacienne

[email protected]

01 57 27 11 97 Chef de projet

02 34 38 94 90

[email protected] 03 83 74 38 97 pharmacienne

[email protected] 02.37.44.76.06

01 45 46 19 00

[email protected] 06 16 27 90 85

[email protected] Président

01 34 06 60 12

01 57 27 12 44

06 61 41 43 49

04 78 78 56 05 Risque & Qualité

04 92 55 11 49 Directrice

06 81 42 77 57

01 73 54 76 15

[email protected] 03.21.79.69.48

04 78 61 86 46

[email protected] 06 71 58 80 49 Resp du DIM

[email protected] Déléguée à la communication et aux RU

[email protected] Cadre de santé unoté eizhemer

[email protected] 06 83 59 03 18

[email protected] 0032 71 92 51 24

0032 71 92 51 18

[email protected] 06 11 66 49 00

[email protected]

Directeur des soins, Q & GR

[email protected]

06 16 27 90 85

chargée des ressources humaines

[email protected] 06 64 67 52 58

Dteur adjoint chargé des RH et

des affaires médicales

[email protected]

Chargé du déploiement des

chantiers d'appui en chirurgie

ambulatoire

[email protected]

Présidente du programme national

PHRIP 2012MCU HDR

[email protected]

[email protected]

[email protected] 06 81 42 77 57

fondateur de CoopérÂge

[email protected]

[email protected] de santé,

service des urgences

06 71 58 80 49

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[email protected] 04 72 75 50 36

02 31 51 13 01 06 27 29 29 55 Médecin Directeur

[email protected] 06 85 23 77 55

01 42 68 52 08

05 58 58 10 58 Directeur

04 76 76 53 53

06 68 84 41 33 Pdt

01 69 80 46 79 Directrice

01 48 89 55 98

02 98 34 71 91 Professeur

01 55 93 72 62

01 40 56 46 89

01 44 06 84 70

02 41 35 44 39

01 55 93 73 57

03 21 21 10 85

[email protected] 01 55 93 64 22

01 45 59 32 24

[email protected] 03 20 44 68 40

[email protected]

05 53 69 72 93 Pharmacien

01 45 46 19 00

01 43 92 21 05

01 40 43 63 82 Délégué Général

06 85 71 91 70

Consultant en management des risques au Pôle

Services

[email protected] 04 72 75 50 87/25

06 85 71 91 74

Directeur du pôle service

[email protected]

président du conseil scientifique

[email protected] responsable de l'activité conseil

[email protected]

[email protected] directeur de la performance

[email protected]

[email protected]

[email protected] 06 86 41 70 38

ComissaireScientifique

[email protected]

[email protected]

[email protected] Chargée de mission à la DGOS

[email protected] 06 08 83 46 04

Commissaire de QUALIBIO

[email protected]

[email protected]

[email protected] 06 80 47 91 65

Certification de santé L'HAS -

AFFRAC06 70 43 17

50

[email protected] 06 79 84 11 61

Directeur qualite droit des patients

06 40 21 48 71

Coordonnateur des risques

03 27 94 76 20 (sec)

Présidente de la CME

[email protected]

[email protected]

[email protected]

[email protected] 06 86 07 79 63

E112
JIQHS:
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01 46 74 32 12

gériatre

01 55 93 70 00

[email protected] 06 99 72 53 29 sophrologue

[email protected] 01 40 08 89 45 Resp Qualité GR

01 53 23 17 17

03 27 94 71 56

01 30 86 38 55

[email protected]

[email protected]

03 22 66 81 16

[email protected] 01 44 06 84 77

[email protected]

AFQUARIS

[email protected] 0557.656.135

06 81 13 10 16

01 34 28 30 23 RU

[email protected] 02 34 38 94 90 Coordonnatrice

06 10 63 34 57

[email protected]

[email protected] Psychiatre, Praticien hospitalier

[email protected]

[email protected] Pdt du collège de la HAS

[email protected] 06 18 41 83

94 responsable qualié de la generale de la

santé

[email protected] 03 27 14 32 2303 27 14 33 33

Chef de projet et Urgentiste

[email protected] Directeur informatique

[email protected]

06 21 92 29 71

intervenant CNAM /Ecole

centrale

[email protected]

06 32 02 61 03

[email protected] 00 212 664641918

[email protected] 06 81 13 10 16

[email protected] 00 352 44 11 86 18

Responsable qualité

[email protected] 03 86 69 40 33 03 86 69 40 40

PH et président du CLIN

[email protected] 06 62 22 83 51

[email protected] 06 10 63 34 57

auteur de " N'écoutez pas votre

cerveau"

01 53 55 23 7001 53 55 23 56

Chef de la Cellule Médicopsychologiq

ue

[email protected]@gmail.com 0 826 888 882 04 67 61 27 67

animateur du programme Antiope

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01 44 06 84 57

[email protected] 01 40 27 37 60 Directrice

01 46 25 21 34

PDG

02 41 35 59 95

Professeur

01 55 93 70 00

06 62 10 43 24 Santé Publique

04 72 56 13 20

01 48 02 68 80

01 40 08 89 45

03 87 55 31 67

01 42 11 65 94

01 69 80 46 79 directrice médicale

01 57 27 11 44

d,[email protected] 01 55 93 70 00 Dteur de la HAS

03 81 61 43 74 Chef de projet

01 49 28 23 62

[email protected]

Directeur DéléguéDirection de

l'amélioration de la qualité et de la

sécurité des soins

[email protected] chargée des relations avec les

usagers

[email protected]

[email protected] 01 42 55 93 65 22

[email protected]

[email protected]

[email protected]

Technique et Scientifique

[email protected] Biologiste de la reproduction

[email protected] 06 24 14 26 15

anesthesiste -fondateur de l'organisme formation

[email protected]

[email protected] 06 64 90 40 04

responsable de la cellule d'appui à la

performance

[email protected]

[email protected]

[email protected] 05 56 79 99 3305 56 79 99 39

06 24 02 06 63

Directrice de la Gestion des

Risques, Qualité et Développement

Durable

[email protected]

[email protected] 06 82 08 84 24

PH, Anesthésiste-Réanimateur,

Chirurgie Ambulatoire,

Digestif-Anesthésie

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[email protected]

01 40 56 76 85

[email protected] 04 90 27 60 40

[email protected] 02 98 43 73 00

[email protected] 05 58 58 10 58

01 41 13 18 13 Professeur

06 75 29 33 91

06 07 61 29 39

06 22 04 03 20

03 81 61 68 10 Dteur requa,

06 07 64 91 89 Pdt

[email protected]

01 44 49 44 58

04 68 24 35 93

01 44 16 55 72 RQ

01 55 93 64 18 Docteur

01 30 32 43 11 Secrétaire Général

[email protected] 05 61 77 94 61

[email protected] 06 14 35 74 59

Psychiatre, Pdte bureau interface profs-étudiants responsable du

centre de formation

02 48 48 48 95/93

Médecin Responsable de

l'Information Médicale

[email protected]

responsable de la Mission des Systèmes

d'Information de l'Offre de Soins

Responsable qualité risquesresponsable

qualite-risqueresponsable qualité

& risques

[email protected] 06 81 25 09 17

[email protected] 02 41 35 78 11/37 33

06 55 80 75 41

Responsable Qualité

[email protected] 06 75 29 33 91

sociologue, ancien DRH, auteur de "Les décisions

absurdes" 2ème édition 2012

[email protected] 06 07 61 29 39

Ingénieur Risques et Qualités

[email protected] 06 22 04 03 20

Consultant qualité risques

[email protected]

[email protected] 06 07 64 91 89

00 32 43 66 46 66

[email protected] anesthésiste réanimateur

[email protected] Responsable qualité/GR

[email protected]

[email protected]

[email protected] 06 07 40 32 57

06 19 51 67 81

Cadre supérieur de santéMCU

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04 93 40 69 99 Directeur

06 15 70 64 49

01 30 45 03 59 Pharmacien

01 49 95 63 91

01 43 29 92 38

04 86 57 05 70 Docteur

[email protected] directeur adjoint

06 83 05 66 56

06 98 06 21 03 Directeur

03.83.15.34.73 PUPH

06 67 35 57 44

01 55 93 38 82

01 41 12 87 13 déléguée générale

[email protected] Responsable QGR

05 57 65 61 37 Chef de projet

01 55 93 37 01 Directeur Délégué

[email protected]

01 55 93 72 31

[email protected] 01 40 56 68 63

[email protected]

[email protected]

[email protected]

[email protected] 06 88 89 53 51

[email protected]

[email protected] chef du service Urgences

[email protected] 06 76 85 79 39

Correspondant du Conseiller Santé du

Défenseur des Droits

[email protected]

05 62 21 30 83(sec)

[email protected] 06 83 05 66 56

RQ EPSM représetant

[email protected] 04 92 03 44 42/43

06 11 56 83 23

[email protected]@infodium.fr 06 98 06 21 03

[email protected]@chu-nancy.fr

[email protected]@gmail.fr Docteur en linguistique, présidente

[email protected] 06 08 35 77 21

Expert en qualité et gestion des risques

[email protected] 06 85 30 00 85

[email protected] 01 57 93 70 00

[email protected]

[email protected] Evaluation des pratiques

Chef du Bur de l'organisation des rel sociales et des

pol sociales

01 58 41 10 99/93

coordinatrice gnle des soins

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04 73 75 19 99

01 40 05 30 75

01 55 93 37 22 chef de projet

03 89 12 60 87

[email protected] 05 55 05 61 13 Directeur général

[email protected] 01.39.27.52.85

[email protected] 09 64 41 95 17

41 21 800 01 72 PhD

[email protected] 02 51 45 68 11

01 46 25 28 18

07 78 66 52 83 Manager

01 55 93 73 75 Membre du Collège

05 61 32 42 05

[email protected] cadre de pôle

[email protected] 06 25 93 20 76

06 79 18 38 10

07 77 92 57 47

02 41 35 45 68 Ingénieur Qualité

03 28 55 90 81

09 62 16 34 17

[email protected] 06 30 24 79 99

président de la SFMU (société

française de médecine d'urgence)

[email protected] directeur du service médical

[email protected]

[email protected] anesthésiste réanimateur

Médecin anesthésiste

06 12 92 76 54

[email protected] référente

qualitéRelation avec les

usagers

[email protected]

qualité risques et gestion de projets

[email protected] 06 76 19 84 81

[email protected]

[email protected]

04 72 11 76 52 / 76 45

06 25 93 20 76

professeur à la faculté de médecine

[email protected] 06 79 18 38 10

[email protected]

[email protected]

[email protected] 06 85 75 68 46

Service réanimation/

Directrice médicale

[email protected] 04 27 86 57 5004 27 86 57 58

Directeur adjointHandicap et Grand

Âge

[email protected]@[email protected]

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[email protected]

[email protected]

Responsable transpo

professeur des universités-praticien hospitalier émérite

Ancien directeur d'établissement

[email protected] 06 07 64 91 8906 45 14 86 89

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Etablissement Atelier 2ème atelier

HAS SD13

GE Healthcare SD1Hôpital Les Magnolias AT16ANTARES Consulting AT12 ANAP SD16

SD6

SYMPC

CH de Valenciennes SD3CH Lagny (77) AT23CHU Sétif AT31

DGOS SD13

Telecom Paris Tech AT13

Saint-Luc & Saint Joseph, Lyon SD15

AT6 SD3

MARSH SD12

AT13

Etablissement Le Parc AT17

AT36

CHU Limoges AT16

AT25

CH DE NICE SYMPB

CPACentre de Pédagogie Avancée à Amiensl'ANAP Agence nationale d'appui à la performance des établissements de santé

HAS - Direction de l'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins

DGOSSous-direction de la régulation de l’offre de soinsBureau de l’évaluation, modèles et méthodes (R5)

Hôpital de La Tour (Suisse, Genève)

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HAS SANTE AT1

CHU Bordeaux AT16

ANAP SYMPA

SD4

AFGRIS SD1 AT11

CHU Bordeaux AT15 AT34

GCS AMPLITUDE (Bourgogne) AT5

QUALIOS AT5SD15

CHRU de Nimes SYMPDHNDPS AT33ANAP AT2 AT27

AT13

DGOS SYMPB

Institut Gustave Roussy, Villejuif AT6

EPSM Lille Métropole AT23

SD4

SYMPD

ESSEC AT11

HAS SD2

Institut de Culture Industrielle AT6

Institut de cancérologie de Lille MétropoleHôpital privé de Villeneuve d'Asq

Centre de Soins de Suite et de Réadaptation / EHPAD "La Chimotaie" de la MGEN

Etablissement Jeanne Garnier, Paris

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CHI Poissy-Saint-Germain AT33

AHNAC SD14

BAQIMEHP AT21

SYMPC

SD4

LIEN SYMPC

CHU Lyon AT11

Eau Vive AT31CH ARGENTEUIL AT1CH de Valencienne AT35Les Hopitaux de Chartres AT26

SD8

AT27

CHU NICE SD5

SD5

AT21CH Valenciennes SD3

AT7

FORAP AT17

CHU de Montréal SP1 SD14

Lyon AT2

Centrale Paris, Science Po Lyon AT3

SD4

directeur du pôle organisation sanitaire et médico-sociale, FHF

Centres de dialyse Calydial, Lyon et Vienne

CHU de BesançonService de santé au travailChambre Régionale des Comptes, Nord Pas de Calais Picardie

Clima, hôpital E. Herriot, CHU de Lyon

Association Française des Médecins Médiateurs

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AT4

CHRU de Lille AT2

CHU Limoges AT16

AT26

AT26CHU CHARLEROI (Belgique) SD5

ANAP AT12

AT4CH de Lunéville, SFPC AT4CH Henri Ey SP2REOR AT7

ARS Ile de France SYMPA

FHP SYMPC

AT24

AT33

Université Aix Marseille AT16

UNIVERSITE LYON AT24 SD17

Eau Vive AT31CoopérÂge AT22ANTARES Consulting AT12Président des JIQHS SP1 SD14

Saint-Luc & Saint Joseph, Lyon SD15

AT5

ancienne expert de l’ASN et pharmacien inspecteur, consultante en GDR

OMEDIT CentreCHU TOURS

groupement hospitalier d'Eaubonne Montmorency

Clinique des Cèdres (31)ANAP

APHPGHU Paris Centre

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SHAM AT3

SHAM SD12

AT12

Baqimehp / Capio SD3

SHAM AT4

SP1

CHU de Grenoble SYMPCCME, CH Bézier AT32

AT16

REOR AT11 AT34

service de gériatrie, CHU de Brest AT22HAS AT17 SYMD

AT16

FHF SD11CHU Angers AT14HAS AT13

CH ARAS AT21

Agence de la Biomédecine AT3

APHP, GH Paris Sud AT3

CHRU Lille AT37

CH Douai SP3 AT27

CH d'Agen AT26Reor SD7

SYMD

AT11

Réseau de Santé du Bessin(GCS « Soigner Ensemble dans le Bessin »)Basse-Normandie

Santé ServiceHAD Dax

Hôpital gériatrique "Les Magnolias" Essonne

DGOS bureau de l'innovation, programmes des PREPS et PHRIP

Etablissement Jeanne Garnier, ParisGROUPE HOSPITALIER MUTUALITE FRANCAISE

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AT22

CoopérÂge AT22HAS SP4

AT36CLINIQUE TURIN SYMD

GENERAL DE SANTE AT2 SD13

CH Valenciennes SD3

CH de Douai SD11CHS T. Roussel, Montesson AT4

SP3Bruxelles SD5

SD6

FHF AT12Pharmacienne consultante SD1

CHU Marrakech SP4FORAP SD16CISS IDF

CHG de Luxembourg AT11

AT26

QUINZE VINGTS AT31

AT4 SD1

"N'écoutez pas votre cerveau" AT23

AT36

Clinique Saint-Roch, Montpellier AT31

EPSM Erasme, 91 Médecin responsable de l'Unité Intersectorielle de Réinsertion, Membre du bureau de l'European Psychiatric Association

CPACentre de Pédagogie Avancée à Amiens

CH La Charité sur Loire (EPSM Pierre-Lôo, MAS et IME de La Charité)

OMEDIT CentreCHU TOURS

Brigade des Sapeurs Pompiers de Paris

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HAS SYMPC

SD4

Hôpital FOCH, Suresnes AT31

Groupe Vitalia AT7CHU ANGERS

Agence de la Biomédecine AT24

HAS AT12

ECOLE CENTRALE PARIS AT11

ANACT SYMPD

hôpital Jean VERDIER (BONDY) AT24

Practicescan AT6

CHR METZ THIONVILLE AT24

Institut Gustave Roussy, Villejuif AT21

AT22

ANAP AT22

Groupe Médi-Partenaires AT32

HAS SP4AT17

AT21

AP-HPDépartement des Droits du Patient et des AssociationsDirection du Service aux Patients et de la Communication

Hôpital gériatrique "Les magnolias" (91)

Réseau Qualité des Etablissements de Franche Comté

Hôpitaux Universitaires Paris Est (AP-HP)

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SYMPA AT37

CH de Lagny (77) AT23

CH de Bourges D11

DGOS SP3 AT27

AT4

HIA Clermont-Tonnerre, Brest AT5

SP1

Ecole Centrale Paris AT36

CHU ANGERS AT14

SD18

SOFGRES AT5 SD7

SOFGRES AT13 SD16

REQUA AT 1

AT3

AT6

Hôpital Necker AT14

CH CARCASSONNE AT 1

AT1Agence de Biomédecine SD16UNHPC SYMPC AT33

CHU de Toulouse SYMPA AT16

GHU Pitié-Salpêtrière, Fac de médecine Pierre et Marie Curie

Institut d'oncologie Sainte-Catherine

Santé ServiceHAD Dax

Société Française de Médecine d'Urgence

Faculté de Psychologie et des Sciences de l'Education de l'Université de Liège

Hôpital Privé des Peupliers, Générale de Santé, Paris

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CALMES AT35AT7

AFQHO AT26SP4

Hôpital Lariboisière AT23

HOPITAL FOCH AT2 SD13

SD16

SYMPA

ERASM AT22

CHU Nice AT7 AT15

SD12

CCLIN-Est, CHU Nancy AT24

AT25

HAS AT32

AT22

Groupe Saint-Vincent, Strasbourg AT35

AT17

HAS AT15 AT33

SP1HAS AT26

RH3 - DGOS SYMPA

GHU Paris Centre et ADRHESS SYMPA

Institut de médecine de la reproduction, Clinique Bouchard, MarseilleClinique pasteur Toulouse

Infodium (Finances Hospitalières et Santé RH)

PROLIPSIA (Traitement automatique des langues)

Société Française de Gériatrie Gérontologie, resp du programme MobiQual

CCECQAComité de Coordination de l'Evaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine

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CHU de Clermont-Ferrand SD15

CNAMTS AT27

HAS AT37Hospices Civils de Colmar SP1CHU LIMOGES AT3

AT33

cabinet Altense AT2Suisse AT24 AT35

SD4

Hôpital FOCH, Suresnes AT31

ANAP AT15

HAS SYMPB

AT15

AT21

Hôtel Dieu, Paris SP3

Hôpital Necker SYMPB AT36

D8

AT14

CH Roubaix AT11

ARS Rhône-Alpes AT12

AT17

Centre de Soins de Suite et de Réadaptation / EHPAD "La Chimotaie" de la MGEN

Euro-Pharmatet CHU de ToulouseClima, hôpital E. Herriot, CHU de Lyon

CHU de NantesService de santé au travailCentre de coordination en cancerologie - Chu Angers

Institut EmergenceSté Internationale d'Hypnose

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Université de Franche-Comté AT25

SD7

CH de Valenciennes AT35

AT 6

C2DS (Secrétaire Général)et Service de santé au travail de la Haute Vienne (Président)